Je suis arrivé à la même conclusion…
Le problème, c’est que je dois arriver à ces prévôtés et encore les payer
. Là où la France a pas moins de 196 ateliers, temples et prévôtés, l’Angleterre, elle, pour un nombre
semblable de cités n’en a toujours que 69…
Vu que mes taxes annuelles ne me permettent actuellement que d’engranger au maximum 50 ducats par an, il va encore falloir pomper… Et j’ai déjà une inflation
25% plus élevée que mes voisins directs, sans même parler de mes 16 niveaux de retard sur le Portugal, toutes technologies confondues.
Bref, l’Angleterre ne s’en sort pas et je vois arriver avec une terreur non dissimulée le moment tragique où il deviendra nécessaire de faire une modif de save en sa faveur pour qu’elle reste compétitive. Comme je souhaite éviter cette déchéance ignoble
, je me suis décidé pour des mesures drastiques : la vente des centres de commerce me permettra de financer sans pomper ces indispensables prévôtés, l’isolationnisme ( si on me laisse en paix naturellement
) me permettra de me concentrer sur la technologie du gouvernement, afin d’obtenir d’une part la possibilité de construire ces prévôtés, d’autre part d’acquérir enfin cette 4° idée nationale que mes proches voisins ont déjà tous.
Londres regrette la puissance monstrueuse que procure l’annexion des Aztèques et des Incas ( non seulement des fortunes en or, mais aussi des centres de commerce), les éternelles coucheries des deux pays qui, avec ces annexions, ont pris la tête sur tout le monde
, le coloriage de carte Portugais qui lui a permis d’obtenir en plus les cots d’Afrique du sud et d’Australie, le fait que le centre de commerce apparu en Amérique du nord l’ait été en province Française et non Anglaise
et enfin le fait que cela n’ait pas empêché la France de rajouter à son panier le centre de commerce de Pensacola, qui aurait été une bouffée d’air pour une Angleterre privée de tout cot quand ses voisins en avaient 3 ou 4
.
Bref, l’Angleterre est fortement déçue de la situation et de ce destin tragique qui s’abat impitoyablement sur elle, jusqu’à la ravager et la laisser seule, ruinée et abandonnée de tous, raison pour laquelle elle se réfugie dans l’isolationnisme, où dans sa morbide solitude elle pourra hurler à la face des Dieux qui de toute façon ne l’écoutent pas toute sa détresse et son désarroi .