Missive du Régent du Royaume d'Angleterre et des Terres de France :
" La Guerre.
Seule celle-ci nous préoccupait dès le départ. Les usurpateurs français et leurs alliés, dont l'Ecosse, osaient se mesurer à Henry V, général hors paire, maitre de guerre redoutable.
Seule la lutte contre l'Ecosse fut quelque peut difficile. En effet, trois assauts contre leur armée qui assiégeait le Northumberland ne purent les en chasser. Les pertes demeuraient néanmoins toujours plus faibles que celles des écossais. Puis fut rassemblée une armée de plus de 25 000 hommes, riche en cavalier. Le sors de l'allié du prétendu Roy de France était alors scellé.
Pendant ce temps, en France, Henry V conquit et annexa l'Orléanais, puis conquit la province du Maine avant de déloger les Français de devant Rennes, où la victoire fut remportée in extremis face à une très nombreuse cavalerie française. Au sud, l'armée des Landes conquis la Guyenne, puis alla mettre le siège en Provence.
La chutte de la province permis de signer la paix avec cet allié ennemi : il nous cédait le Maine et 92 caisses pleines d'or.
Dans le même temps, le Français avait mis à genoux notre allié Bourguignon, récoltant au passage les Flandres et leur CoT, l'Artois, et la Franche Comté, avant de retourner ses armées contre à nous.
Henri V se mis alors en devoir de les chatier. La paix signée avec l'Ecosse, ce furent plus de 20 000 hommes qui arrivèrent en renforts.
Le sort de nos ennemis était scellé. Le Languedoc tombait ; le siège fut mis devant Paris et Lyon.
Une dernière grande bataille nous confronta à l'ennemi devant Paris. Les Français furent anéantis. Dépourvus d'armées désormais, ils étaient une proie facile.
Pourtant, je décidais de signer une paix avantageuse pour la France : seule la Guyenne nous était cédée.
Cette magnanimité, nous en avons fait preuve en prévision de l'avenir. La guerre contre la France reprendra, car leurs prétendants sont fiers, et n'abandonnent point si facilement la lutte.
Si nous devions subir le sort qu'ont connu nos ennemis, nous pensons qu'ils sauront se souvenir de ce traité de paix".
Au roy de France : Nous espérons que vous saurez revenir à la raison. Vos richesses ne vous permettront pas de nous chasser aisément du continent, et nos armées sont redoutables. Abandonnez volontairement votre trone, il en est encore temps.
Aux roys très chrétiens d'Europe : nous avons suivi de loin en loin vos progrès. Nous sommes heureux de bénéficier avec vous de bonnes relations. Nous espérons que notre magnanimité avec le parti français saura nous accorder votre confiance pour les années à venir.
Au sultant d'Asie : Vos avancées sur les terres chrétiennes nous inquiètent. l'espace islamique est-il trop réduit ou vous fait-il peur pour que vous vous acharniez ainsi sur des proies affaiblies?
edit orthographique
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"Péricliter = tourner autour du clitoris" d'après "Le Dictionnaire de ceux qui ne savent pas" de Ar Sparfell
Dernière modification par Chazam ; 04/11/2005 à 12h23.
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