Et un nouveau drame... la deuxième escadre de destroyers approche enfin!
Las!
Le Commandant Akmar, à la loose légendaire, percute le Perth! L'inertie fait encore avancer ce dernier, et il a coupé la route du destroyer!
Si les italiens ne subissaient pas un orage d'acier de la part du Dunkerque et de l'Effingham, ils riraient bien.
Les italiens, qui ne font plus le poid niveau puissance de feu, tentent de filer derrière leur propres tubes fumigènes.
Le Dunkerque et le HMS Effingham poussent les machines au delà des limites, les italiens sont plus rapides...
Mais avant qu'ils ne fuient, il y a moyen de leur faire mal!
Pari gagné, un des nuages de fumée est plus lent... En le dépassant, l'équipage du Dunkerque comprend: il peut rajouter le Gorizia à son tableau de chasse!
Au tour du Savoya. L'italien est rapide est prend le large à toute vitesse. Le Dunkerque tire, mais apparement les machines de l'italien restent intactes.
Les cargos étant en sécurité, l'italien s'éloignant, et la menace des autres bâtiments toujours réelles, le Dunkerque et l'Effingham prennent eux aussi le cap de dégagement. On leur a fait payer cher nos propres erreurs et ce qu'il reste du Voroshilov!
L'équipage du Voroshilov abandonnera son navire, laissant derrière lui une grande partie de ses membres.
Le Savoya ne rentrera jamais en Italie. Plus endommagé par les tirs du Dunkerque qu'il n'en avait l'air, il sombrera dans la journée sous le coup des incendies incontrôlables qui le ravagent.
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