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Vieux 27/10/2005, 11h34
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Eminence oisive
 
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Le 4 novembre 45, dans le cadre de l’opération « volontaires » nous avons donc réuni deux infanteries puisées sur nos forces de défenses du territoire nationale. Notre but est uniquement d’obliger l’ennemi à marquer une pause afin de laisser assez de temps à nos troupes de Misratah pour se renforcer.
C’est ainsi que le 8 novembre nous débarquons nos hommes intrépides à Al Aqaylah avec succès, provoquant ainsi la surprise des italiens et aussi la crainte que leurs 18 div de Sirt soient coupées de tout ravitaillement.
Satisfait par la stabilisation du front obtenue grâce à notre opération spéciale, nous décidons même de tenter de couper les troupes adverse de sirt de leur lignes en acheminant notre cavalerie à Al Aqayla afin qu’elle prenne la province désertique de Zallah.

Mais pendant ce temps, les allemands ont décidé d’en finir avec nous au caucase et ils lancent des attaques massives contre nos positions dans la région. Ainsi, le 8 novembre ils s’emparent de Tbilissi, et nous organisons alors notre replie en bonne ordre et sans pertes sur la grêce via la turquie. Les allemands controlent donc désormais totalement le caucase et ses puits de pétrole, néanmoins nous avons de notre coté fait quelques réserves qui vont nous permettre de tenir le cout quelques temps…

Cependant, le 12 novembre pas moins de 13 divisions bulgares et roumaines attaquent notre foterresse de niv 5 de la province de Ionia, qui n’est défendue que par 4 pauvres infanteries (mais 2 de génie). Nos adversaires seront heureusement décimés grâce à la qualité de nos défenses…

Mais en afrique, nos hommes d’Al Aqaylah sont attaqués par 8 unités ennemies bien avant que notre cavalerie ait atteint son objectif. Comprenant que la défaite est inéluctable nous envoyons notre flotte au large de la province afin de rapatrier nos valeureux soldats.
Néanmoins nous avons de la place que pour 2 unités terrestres et par conséquent nous devons donc faire un sacrifice… Ayant cruellement besoin de force combattantes nous préférons donc sacrifier nos braves cavaliers, qui se dévouent pour assurer la fuite de leur compatriotes.
Ces valeureux vétérans ne sont pas tombés pour rien, car ils nous ont permis de sauver Misratah et par conséquent toute l’afrique la cote ouest…


Le 3 décembre 45, 4 divisions roumaines débarquent à mitilini laissée sans défense (car nous avons du envoyer beaucoup de renforts en afrique, et nos troupes revenant du caucase sont encore en turquie. Mais nous ne sommes pas pour l’instant en mesure de les jeter à la mer alros nous organisons la défense de la province voisine, Chalkis. Et en effet, dès le 17 les roumains y lancent une attaque mais notre garnison y tient bon jusqu’à ce que de nombreux renforts affluent. Ainsi nous repoussons l’ennemi, mais nous faisons libérer Mitilini par une division traversant la turquie. De ce fait, quand les 4 div roumaines défaites se replient sur Mitilini, nous les accueillons comme il se doit et elles purement et simplement anéanties !!!

Mais entre temps , le 5 décembre, après que les anglais se soient mystérieusement repliés, une de nos infanteries est seule pour défendre Tobruk contre l’assaut des troupes italiennes. Et en toute logique nous sommes battus… Cependant l’ennemi ne peut pas en tirer grand profit car les alliés tiennent solidement les autres provinces de l’est.
Et c’est ainsi que dès le 7 janvier 46 les anglais attaquent tobruk et ils la reprennent assez facilement. Nous sommes soulagés car nous craignons que la capture de cette province fortifiée bloque longuement la progression de nos alliés.
Dès lors, sentant la volonté des anglais d’en finir, nous leur envoyons un maximum de renforts à Tobruk, certains d’ailleurs puisés sur les troupes de Misratah, car la province est désormais suffisamment bien défendue par de nombreuses divisions renforcées et réorganisées (ce qui nous a cependant couté un maximum de points de main d’œuvre, et pour la première fois notre manpower est maintenant réduit à néant, ce qui n’annonce rien de bon pour notre avenir...).

Mais ce début d’année 46 est pour nous l’occasion de faire un petit bilan de cette maudite guerre : en Asie nos alliés reculent, cette satanée perse résiste toujours, tandis que la russie tient bon heureusement, et que pour notre part nous faisons toujours face à l’adversité et nous nous payons même le luxe de contrarier les plans hégémonique italiens en afrique.
Malheureusement l’équilibre des forces a évolué : les allemands disposent de 266 div, les jap 209, les italiens 54, les bulgares 68 (beaucoup de corps expéditionnaires roumains) ; alors que les anglais ont 212 div, les Usa 129, et l’urss 156 (c’est moins qu’avant, mais c’est pas si mal car cela leur permet quand même de tenir tête aux allemands).
Ainsi, l’issue de la guerre est toujours aussi incertaine. Et bien malin est celui qui pourra nous donner le nom du camp vainqueur…

Toutefois, nous n’avons plus le temps de parler, car aujourd’hui le moment est venu de lancer une grande offensive…


Cette année 46 marque pour nous un tournant parce que pour la première fois nous commençons à entrevoir la possibilité d’un dénouement rapide en afrique. En effet, l’Italie semble s’être essoufflée durant sa fulgurante contre-offensive, pourtant elle est loin d’être vaincue et nous n’oublions pas qu’il y a seulement quelques mois celle-ci était en pleine débacle mais qu’elle avait finalement brillamment repris l’avantage. Mais cette fois-ci nous ne commettront pas la même erreur. Non, pour vaincre ces troupes qui nous sont supérieurs en nombre nous allons encore une fois utilisée la ruse. Nous avons compris que le plus sur moyen de gagner était de les priver de ravitaillement. Malheureusement nous avons bien vu que nos moyens maritimes étaient largement insuffisant pour imposer un blocus, et ainsi les italiens avaient pu se ravitailler tranquillement grâce au port de Benghazi. Par conséquent nous n’avons plus qu’un but désormais : les priver de tout port afin d’être certain que plus aucun ravitaillement ne pourra leur parvenir. Ainsi, nous devront nous emparer de Benghazi en priorité. Et c’est donc dans ce but que, tout comme nos alliés anglais nous amassons des troupes à l’est, là d’où partira la grande offensive anglaise…

Dès le 13 janvier 46 les anglais se ruent à l’attaque de Darnah (surnommée l’imprenable par les soldats anglais suite à leur nombreux assauts infructueux) et nous en faisons donc de même. La ville est conquise avec une très grande facilité grâce à notre supériorité numérique (car la majorité des forces italiennes sont encore à ce moment regroupées à Sirt).
Dans leur élan, les troupes anglaises (plus des corps expéditionnaires sud-africains, etc) reprennent la marche, et elles font tomber Aujila avec une aisance déconcertante. Incroyable les troues italiennes de Sirt sont désormais sans le moindre ravitaillement, la victoire nous tend maintenant les bras, il ne reste plus qu’à faire le ménage et à liquider les poches de résistance !!!

Mais les italiens étaient loin d’avoir dit leur dernier mot car début février ils conquiert finalement Aujila après d’âpres combats.
Nous comprenons alors que nous avions surestimer la valeur des troupes anglaises : elles ont manifestement besoin de nous pour l’emporter. C’est ainsi que nous amenons de nouveaux renforts et que nous venons leur porter main forte lorsque celles-ci lancent un assaut pour reprendre Aujila le 20 février 46. Une bataille décisive se déoule alors et nous jetons toutes nos forces de la bataille. C’est ainsi que nous l’emportons le 22 février après le sacrifice de nombreux patriotes grecques. Nous (enfin les anglais) controlons enfin Aujila pour de bon, et nous entendons désormais affamer les armées ennemies avant de les attaquer afin qu’elles nous tombent dans les bras tels des bruits mures (ce qui nous évitera de nouvelles et insupportables pertes, ce qui n’est pas négligeable quand on est à 0 en main d’œuvre et que sa production en la matière n’est que de 2.2 par mois !!!).

C’est ainsi que dès le 22 février de nombreuses divisions italiennes (dont 2 blindées !!!) survoltées lancent une contre-attaque afin de nous chasser de ce point de passage providentiel pour eux.
Mais le courage des infanteries grecques permet de l’emporter, car le gros des troupes anglaises venait de tenter en vain un assaut contre Benghazi.
Cependant, il ne faudra attendre que le 1er mars pour que les anglais attaquent de nouveau la province portuaire où 5 infanteries italiennes résistent vaillamment. Et cette foi-ci, nos alliés l’emportent, et ainsi ils neutralisent 5 divisions ennemies ! C’est une grande victoire pour notre camp, toutefois beaucoup reste encore à faire car 38 unités terrestres ennemies sont encore présentes sur le sol africain (même si heureusement elles sont coupées de tout ravitaillement)...




Le 8 mars l’Urss annexe enfin la Perse, mais cette bonne nouvelle ne parvient pas à masquer l’aggravation de la situation de la russie qui ne contrôle plus désormais que 135 div (contre 156 seulement deux mois + tot)…


En afrique du nord, après avoir pacifier la zone de Benghazi, les forces alliées se regroupent, et le 20 mars 18 divisions anglaises et grecs attaquent Al Aqaylah où se sont retranchées 30 div italiennes affaiblies. Nous remportons alors une éclatante victoire, nous en sommes d’ailleurs les premiers surpris. Une partie des unités ennemies sont tout bonnement anéanties, tandis que l’autre parvient péniblement à rejoindre Sirt la dernière province qu’ils controlent sur le continent.
Nous savourons ces instants car nous avons longtemps cru ne jamais y assister.
Le 16 avril 46 nos alliés anglais décident qu’il est temps d’en finir et ils se lancent à l’assaut de Sirt où 18 div ennemies affamées tentent désespérément de résister. Nous laissons les anglais attaquer seuls parce que leur victoire ne paraît faire aucune doute (et cela nous évite de nouvelles pertes en vie humaines). Et en effet, c’est une victoire facile. Que dis-je, c’est un véritable triomphe pour les alliés, et par conséquent une sérieuse claque pour l’Axe et plus particulièrement pour l’Italie qui perd ainsi une grande partie de son armée. Désormais, le grand allié de l’Allemagne n’est plus que l’ombre de lui même, il dispose de 20 divisions terrestres, ce qui est à peine suffisant pour défendre son sol nationale. Et dire que cette correction lui a été infligée par des troupes qui étaient nettement moins nombreuses, et que le grand instigateur de tout cela est un des pays les plus pauvres et les plus frêle d’europe : cette bonne vieille Grêce. Quelle honte pour la Grande Italie et pour son Duce, gageons qu’Hitler saura apprécier les exploits de son fidèle allié…




Cependant, une fois l’ivresse de la victoire passée, nous constatons avec stupéfaction que de minables divisions portugaises (donc membres de l’Axe) ont osé redonner le pouvoir au gouvernement de vichy de Casablanca à Oran. Nous allons leur faire payer cette affront sur le champs !!!


Afin de préparer la future opération « Clown », en avril nous lançons la construction de 3 cargos…
Mais pour l’instant notre principal objectif consiste en la libération des colonies françaises d’afrique du nord. C’est pourquoi nous donnons ordre à nos divisions qui occupent Misratah de s’y rendre…

Le 2 juin 46, 3 divisions portugaises (celles qui avaient osé débarquer au maroc) attaquent gibraltar, mais le rocher est solidement défendu par des blindés britannique qui ne font qu’une bouchée des assaillants.
Ainsi, le champ est totalement libre pour nous troupes qui n’ont plus qu’à pénétrer dans les provinces vichistes pour les libérer. Le 8 juin nous libérons donc casablanca.
Et pendant ce temps nous débarquons des divisions à malaga en Espagne républicaine (grâce au droit de passage que nous avons obtenu) dans le cadre de l’opération «Poux » que nous venons de mettre sur pied…
Le 14 juin nous disposons de 6 divisions à Cordoba et elles prennent la direction de la proche province portugaise d’Evora qui est sans défense apparemment. Deux jours plus tard nous acheminons 2 nouvelles divisions qui sont chargées de prendre Faro (elles aussi non défendue).

Le 20 juin 46 nous réalisons que nos informations étaient fiables et nous nous emparons d’Evora sans même tirer un coup de feu. En fait, il ne reste plus qu’une infanterie ennemie pour défendre la Portugal, ce qui est encore mieux que ce que nous avions prévu. Celle-ci a reçu la mission de protéger lisbonne, notre prochain objectif justement…
Le 22 juin nous prenons Faro, tandis que nos 6 divisions arrivent à Lisbonne où elles engagent le combat avec la seule infanterie adverse présente.



Cependant, bien que numériquement et technologiquement dépassés, les pauvres portugais nous résistent (et nous infligent donc des pertes non-négligeables) jusqu’au 28 juin où ils sont contraint de reculer sur Portalegre.
Nous atteignons cette province le 6 juillet, puis porto le 15 juillet où nous hors d’état de nuire les dernières forces portugaises, en récupérant au passage 1 précieux cargo (yes !).
L’opération « Poux » est donc un grand succès car nous avons totalement conquis le Portugal, ce qui nous permettra de profiter de ses ressources naturelles (celles qui nous manquent).
Nous organisons alors le retour de nos forces en grêce (hormis une divisions réduite à 45 en force que nous laissons à lisbonne pour prévenir tout débarquement adverse) où nos ennemis semblent s’être sérieusement décidé à nous attaquer…
En effet, le 11 juillet 6 divisions roumaines attaquent thessalonik, mais notre fort niv 5 nous permet de l’emporter.
Cependant, le 25 juillet, alors que nous étions en plein préparatif de l’opération « clown » et que toutes nos unités n’avaient pas encore été rapatriées, tous nos plans sont remis en cause par le débarquement soudain de 6 divisions italiennes à Argostoli, où ils sont accueillis par une de nos divisions. Mais celle-ci ne fait pas le poids et elle subit une grave défaite le 26, ce qui nous oblige à regrouper des renforts à Agrinion (qui dispose d’un fort de niv 2) en espérant pouvoir contenir les forces de Mussolini.
Mais au même moment, croyant que nous allions finir par fléchir, les roumains et bulgares lancent de nombreux assauts successifs contre thessalonik. Heureusement, nos soldats résistent vaillamment, et ils repousseront tous les multiples tentatives (quasi incessante mêmes) qui suivront…
Mais le 26 aout alors que nous avons enfin rapatrié toutes nos unités sur notre sol, en vue d’organiser l’opération « clown », un obstacle se dresse : les italiens paraissent fermement décidés à rester à Argostoli, alors que nous espérions qu’ils essayeraient plutot de conquérir Agrinion, ce qui nous aurait permis de leur infliger de lourdes pertes et ainsi nous aurions pu les rejeter à la mer. Pourtant, il n’en est rien, ces parasites demeurent accrochés à la petite île ce qui signifie qu’il sera difficile de les en déloger.
Néanmoins, lancer l’opération « clown » alors que 6 div italiennes ont mis le pied sur notre sol serait réellement périlleux. C’est pourquoi nous tentons de les déloger d’argostoli par la force le 23 aout 46.
Mais dès les premières minutes du combat nous comprenons que nos pertes seraient énormes si nous nous acharnions. Nous sommes donc contraint de battre en retraite en abandonnant Argostoli à ces sales fascistes.
En effet, même si nous redoutions de devoir prendre une telle décision, nous n’avons finalement pas le choix : l’opération « clown » est lancée, malgré la présence italienne sur notre sol.
Nous sommes conscients de prendre alors un gros risque, mais c’est maintenant ou jamais que nous devons agir…
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
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