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Vieux 27/10/2005, 11h27
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Eminence oisive
 
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Le 11 mars 41, comme nous le redoutions tant, l’Axe attaque la yougoslavie fellone; et (certainement à la demande de Mussolini) nous déclare la guerre par la même occasion…
Nous nous retrouvons ainsi, malgré nous, dans le camp Allié.

Mais avant de nous atteindre les allemands vont devoir s’occuper de la yougoslavie qui dispose quand même d’une trentaine d’unités terrestres, par conséquent nous disposons encore d’une étroite marge de manœuvre et nous devons donc en profiter pour marquer quelques points sur nos ennemis.
C’est pourquoi nous organisons une offensive contre l’ile italienne de Dodekanèse qui n’est protégée que par 1 infanterie ennemie. Mais celle-ci est fermement retranchée et nous préférons abandonner car nos deux infanteries sont incapables de vaincre…
Nous sommes très irrités et nous décidons de débarquer à nicosie récemment envahie par une cavalerie bulgare. Cette fois-ci nos troupes l’emportent et nous libérons donc nicosie en la rendant au contrôle de notre allié anglais (même si nous n’oublions pas qu’il s’agit d’une province nationale grecque, espérons que les anglais ne l’oublieront pas à la fin de la guerre).

En parallèle, nous avions planifié une attaque contre la province bulgare de Plovdiv, et nos 10 infanteries y parviennent le 27 mars , mais elles sont accueillies par 4 div bulgares bien retranchées. Les combats sont très violents et ils se prolongent à cause de l’arrivée de renforts bulgares, ce qui nous oblige à notre tour à envoyer des divisions supplémentaires.
Pendant ce temps, nous tentons un nouveau débarquement dans les iles grecs sous contrôle italien en début avril. Malheureusement c’est encore un échec, et nos 2 div se replient...
Mais notre bataille à Plovdiv se poursuit toujours, alors que l’Allemagne s’empare de zagreb, et elle continue de progresser rapidement au cœur de la yougoslavie…





Le 19 avril nous semblons proche de la victoire à Plovidiv car les 7 div ennemis n’ont plus que 200 points de forces !
Et là, contre toute attente nos hommes sont contraint à battre en retraite. Cette défaite nous rend fou furieux car elle signe la fin de notre espoir de balayer la bulgarie avant l’arrivée des troupes allemandes, et cette bataille nous a couté énormément de manpower (nous n’avons plus que 88 en main d’œuvre !) ce qui nous oblige à renoncer à toute idée d’offensive.

Le 23 avril c’est au tour de la hollande d’être attaquée par Hitler, et celle-ci est envahie en quelques jours seulement.

Dans les jours qui suivent la situation se détériore rapidement pour la yougoslavie sous les coups de boutoir de l’Allemagne et même de ses alliés roumains, hongrois, et bulgares.
Désormais l’avenir de la yougoslavie ne semble donc plus faire aucun doute : elle est en train de s’effondrer, ce n’est plus qu’une question de jours pour elle…



La perspective de la chute de notre voisin nous effraye réellement, car il est probable que quand s’en sera fini de la yougoslavie, ce sera au tour de la grêce de subir les assauts des puissantes forces de l’Axe. Pourrons-nous résister ??? Ou devrons nous subir le même sort que la Yougoslavie ???


Voilà la suite:

Le 29 avril 41, alors que la yougoslavie est en pleine déroute, nous tentons un nouvel assaut contre Plovdiv avant l’arrivée des allemands, mais les bulgares se sont réorganisé et nous préférons battre en retraite car nous ne pouvons plus nous permettre de subir de nouvelles pertes.
Le 2 mai la yougoslavie est sur le point de succomber, nous décidons donc d’envoyer 4 divisions à Skopje afin que cette province frontalière ne tombe pas entre les mains de nos ennemis.
Malheureusement nos troupes arrivent une petite heure trop tard car les bulgares se sont déjà rendu maitre de la province. Nous rapatrions donc nos hommes, et nous nous préparons à résister sur nos deux provinces clefs : Ionia et thésalonik qui ont toutes les 2 des forts de
niv 5.

Le 12 mai l’Allemagne annexe la yougoslavie en la partageant avec ses alliés. Le dernier rempart qui nous séparait de l’ogre nazi vient ainsi de tomber, nous sommes seuls désormais sur le continent européen à osé résister… Mais combien de temps y parviendront nous si les panzer nous attaquent???




Nous commençons à faire nos prière en voyant les unités allemandes affluer vers notre frontières…
Et brusquement, coup de théatre : le 16 mai 41 Hitler déclare la guerre à l’Urss !!!
Ainsi, nous serons peut être épargnés, car les allemands (215 divisions) vont avoir à faire à forte partie (urss 180 avant déploiement), et les alliés italiens (50), et roumains (27) ne seront pas de trop…
Le lendemain l’Urss et je japon conclue un pacte de non-agression (cf. l’évent pacte) et ainsi staline pourra concentrer toutes ses forces sur un seul front…

Et en effet la résistance soviétique est vraiment surprenante, les teutons doivent vraiment s’en mordre les doigts, car depuis mais ils n’ont guère progresser. On dirait même que le front russe est quasi-immobile…
Mais pendant ce temps, les anglais annexent l’afghanistan (qui était entré dans l’axe au début de la guerre).
Tandis que de notre coté nous voyons les troupes ennemies s’amasser le long de notre frontire cependant celles-ci n’osent pas affronter nos imprenables fortifications, et c’est tant mieux…

Cependant, en juillet nos hommes retranchés à thessalonik sont bombardés par l’aviation ennemie, sans que nous puissions leur opposer une résistance faute de flotte aérienne grecque…
Mais, fort heureusement, nos alliés anglais envoient immédiatement des chasseurs sur place pour faire taire ces attaques. Ils y parviennent en moins d’un mois. Ouf…

Nous commençons alors à influencer nos voisins albanais et turque afin d’éviter que ceux-ci ne rejoignent aussi l’Axe à leur tour… Et par la suite nous en profiterons même pour obtenir un droit de passage sur leur territoire…

Les choses semblent enfin se décanter sur le front russe, mais c’est une mauvaise nouvelle qui nous parvient puisque Kiev vient de tomber, et les allemands opèrent une rapide percée au sud. Espérons que les soviétiques sauront les stopper à temps…
Cependant staline semble pour l’heure focaliser ses forces contre la finlande qui a rejoint l’Axe dès le début de l’attaque allemande…
Ainsi, le 14 décembre 41 les russes annexe finalement la finlande. C’est une grande victoire pour staline. D’autant plus qu’au même moment l’armée rouge parvient à enfoncer la ligne de défense allemande, et coupe les forces ennemies en 2 avec une grande poche autour de kiev. Mais les forces allemande obtiennent toujours du ravitaillement transitant par la tchécoslovaquie et la roumanie…




Au même moment les italiens lance une grande attaque contre l’égypte et ils mettent en déroute l’armée anglaise qui est en sous nombre; en Asie la situation est assez stable malgré de violent et meurtriers combats ; quant à nous nous voyons toujours nos ennemis tourner autour de nos provinces en cherchant veinement une faille…


Juillet 42 : bouleversement en Asie car l’indochine rejoint brusquement la France libre (cf. évent d’orion sur ralliement des colonies françaises), ce qui n’est pas du gout des japonnais et du siam qui se retrouve maintenant pris en tenaille…

A cette date nous constatons avec soulagement que les anglais se sont finalement repris en égypte, et ils viennent tout juste de conquérir Alexandrie.
Mais le front égyptien se stabilise alors car les italiens amassent une importante quantité d’hommes, mais pas suffisaments pour venir à bout des troupes anglaises, qui quant à elle ne peuvent songer à une offensive en raison de leur non négligeable infériorité numérique…

Ainsi en cet été 42 les choses semblent sur le pont de se calmer, et chaque camp paraît se résigner au fait que cette guerre sera finalement plus longue que prévue.

Mais c’est alors que les combats reprirent de plus belle…


En ce mois de mai 42 nos alliés pensaient que l’Allemagne était à bout de souffle et qu’elle allait marquée enfin une pause providentielle pour nous. Et les russes paraissaient pouvoir tenir leur positions et ainsi empêcher les armées allemandes de la poche de kiev de faire la jonction…





Mais il n’en fut rien, car juillet fut justement l’occasion pour les forces de l’Axe de mener une fulgurante offensive, qui permit aux allemands de rétablir la communication avec leurs divisions isolées à l’est, et au passage ils encerclèrent 3 provinces occupées par les soviétiques avec de nombreuses divisions. Et les germains n’en firent ensuite qu’une bouchée…




Mais Hitler ne se contenta pas de si peu, puisqu’il ordonna à ses soldats de conquérir Stalingrad. Et dans leur élan ils y parvinrent !
Cependant, une fois que l’armée rouge se réorganisa, elle lança une contre offensive et elle reprit la ville à des teutons épuisés par tant d’efforts…
Mais les russes ne purent malheureusement pas stopper la percée allemande vers le sud est et ses provinces caucasiennes riches en pétrole.
Toutefois la situation de l’urss n’était pas encore préccupante car elle disposait encore de larges réserves de matières premières et surtout elles pouvait encore aligner 218 divisions, alors que les allemands n’en réunissaient que 213 et encore en y incluant les médiocres corps expéditionnaires de ces alliés italiens, roumains, hongrois, etc.
Par conséquent, malgré ce revers de l’été 45 nous nourrissons encore de grands espoirs concernant le front russe et la résistance acharnée des courageux slaves…

Nous demeurons donc positifs sur l’issue de cette guerre, d’autant plus qu’au même moment le Siam (allié des jap) est en passe d’être vaincu totalement par les anglais !!!

Mais c’est à ce moment que nous, la noble Grêce, connaissons pour la première fois une pénurie de matières premières. En effet nos réserves de pétrole et de charbon ont fondu comme neige au soleil sans même que nous nous en rendions compte. Ainsi notre production chute vertigineusement à 14 ce qui est loin d’être suffisant pour ne serait-ce qu’entretenir nos troupes, alors je ne vous parle même pas de nos recherches qui sont stoppées immédiatement en attendant meilleure fortune. Ceci nous oblige à nous contenter des modestes caractéristiques actuelles de nos infanteries…
Mais nous allons faire avec en essayant de faire des économies au maximum (comme dirait Guy Roux il faut pas gacher…)., car nous devons compter que sur nous même, nos alliés ne semblant pas prêt à nous apporter un soutien logistique (tiens il faudrait que je pense à incluse la grêce dans mon évent coopération entre alliés, ça tombe bien puisque de toute façon j’avais prévu d’y apporter quelques retouches).


Mais le 10 aout 42 c’est une très grande nouvelle qui nous parvient : les Japonais viennent d’attaquer les Etats Unis d’Amérique, la première puissance industrielle du monde !!! Les fous, ils n’avaient pas prévu à quoi ils s’exposaient, et c’est tant mieux pour nous parce qu’avec un allié aussi puissant que les usa la balance semble désormais pencher de notre coté !!!
En effet, même si la préparation militaire américaine est encore insuffisante, les usa disposent tout de même de 162 unités maritimes (contre 142 pour les jap) et 135 div terrestres (contre 146 pour les jap). Alors que les allemands ont 217 div, les italiens 57 ; l’urss 243 ( !), et les anglais 138 ( !).

Le 3 septembre 42 les choses se présentent plutot bien, puisque l’angleterre annexe le Siam, et remporte donc une précieuse victoire en asie… Tandis qu’en europe on nous informa qu’hitler avait songé à mobiliser les alsaciens et lorrains, mais en fin de compte il s’y est refusé car il ne leur accordait aucune confiance (cf. mes évents complémentaires sur vichy).


Le 28 septembre après plusieurs veines tentatives, les turques nous autorisent enfin à passer sur leur sol, ainsi nous projetons d’envahir l’ile de Rhodes par la Turquie…

Mais le 8 octobre nous constatons que les allemands se sont emparer de Bakou, c’est donc un gros coup dure pour l’urss car la prov produisait énormément de pétrole…
Cependant , nous avons la tête ailleurs à cette période : nos yeux sont tournés vers nos 4 infanteries qui vont tenter un assaut contre le div italienne qui tient rhodes.
Nos forces arrivent à destination le 6 novembre 42, mais elles y rencontre une résistance incroyable. Le combat est inutile, et c’est la rage au ventre que nous renonçons encore une fois à la prise de Rhodes. Que les italiens soient maudits !!!


Le temps s’écoule alors lentement, la guerre paraît plus incertaine que jamais. Au 1er janvier 43, les forces des 2 camps semblent équilibrées malgré une légère différence quantitative en faveur des alliés qui ont 207 div russes, 141 div anglaises, 137 div américaines, et 34 div grecques (entre autres) ; tandis que l’Axe dispose de 216 div allemandes, 154 jap, et 58 italiennes (mais il faut y ajouter les troupes des alliés des balkans).
Cependant la flotte américaine a explosée : elle est désormais de 215 unités !!!

Pour notre part la pénurie est de plus en plus critique, et constatant l’absence d’attaque de nos voisins contre nos positions fortifiées du nord, nous en sommes réduit à offrir en corps expéditionnaire 4 de nos infanteries à l’angleterre en égypte pour permettre du même coup à notre allié de tenir en cas de nouvelle offensive des soldats italiens qui sont supérieurs en nombre…

Mais c’est alors que nous subissons la première attaque surprise d’un de nos ennemis…


En effet, le 26 janvier 43 deux div roumaines débarquent par surprise à Argostoli. Heureusement nous avons une infanterie qui défend la plage. Mais les premiers combats se passent mal, et nous sommes contraint d’envoyer des renforts. Et malgré cela, la bataille ne s’achèvera que le 22 février (après de lourdes pertes) avec la victoire de nos troupes et l’anéantissement des 2 div ennemies.

Mais entre temps, le 11 février, lors d’une habituelle opération de piratage des convois italiens en mer méditerranée, notre seul et unique sous-marin est repéré et coulé par une flotte ennemie. Notre peuple pleure nos braves sous-mariniers, et leur disparition ruine nos espoirs de nuire au ravitaillement des troupes italiennes stationnées en afrique… Nous allons devoir envisager une nouvelle stratégie pour les vaincre…
Toutefois pour l’instant notre objectif prioritaire est de conquérir la maudite ile de Rhodes. Cette fois-ci nous lançons 6 divisions pour balayer la malheureuse infanterie italienne qui nous tient tête. Mais, c’est encore une fois un échec, car la résistance de notre adversaire est à peine croyable. Nous ne comprenons pas comment une malheureuse division peut nous poser autant de difficultés surtout dans une province qui n’est même pas montagneuse. Mais le fait est que cette province semble belle et bien imprenable.
Nous rapatrions donc nos troupes en passant par istambul , et c’est alors que nous remarquons que la province frontalière bulgare de Varna n’est pas défendue !!!
Nous ne pouvons pas laisser passer une telle occasion de nous venger de la défaite de Plavdov, aussi nous préparons dans la précipitation une invasion de Varna. Et le 18 juin nos troupes s’emparent de la province. Cependant, constatant l’inaction de notre voisin nous poussons le bouchon jusqu’à envahir la province de Ruse juste afin de l’humilier.




Dès lors la réaction bulgare est immédiate : toutes leurs divisions ou presque (15 div) prennent la direction des provinces occupées. Si bien que nous préférons nous replier car nos positions ne sont pas suffisament défendables à notre gout Et c’est la tête haute que nous partons en narguant nos rivaux bulgares…


Le 2 juillet 43, ces laches de roumains tentent de nouveau de débarquer à Argostoli, mais nous les neutralisons sans ménagements le 21.
A cet instant nous réalisons qu’il est temps pour nous d’aller de l’avant plutot que d’attendre et de subir des assauts ennemis. Non, nous devons porter le combat derrière les lignes de nos adversaires pour les vaincre.
Ainsi, nous proposons aux anglais de leur envoyer des renforts supplémentaires en égypte afin de leur permettre de battre l’armée italienne, mais nos alliés refusent poliement.
Nous devons avouer que nous sommes très déçu par leur manque d’audace. Aussi , nous décidons d’organiser nous même une audacieuse opération destinée à déstabiliser les positions italiennes en afrique.
C’est ainsi que nous élaborons rapidement l’opération « épingle ». La cible est la seule province non-ptrotégée disposant d’une plage permettant un débarquement, c’est à dire Al Aqaylah (à l’ouest de Sirt). Notre but est de couper le ravitaillement des troupes italiennes amassés en face d’alexandrie, ou tout du moins de prendre tobruk afin de créer une poche de résistance derrière leur lignes et les obliger à diviser leur forces dans le secret espoir que nos alliés en profitent pour attaquer…
Ainsi, début septembre une de nos infanteries et notre seule cavalerie sont acheminées par notre misérable flotte (1 destroyer et 2 cargo) qui parvient à se faufiler grâce à sa petite taille, et nous débarquons nos hommes à Al Aqaylah sans rencontrer la moindre résistance.
Nous décidons alors de laisser notre infanterie en garnison sur place en attendant d’amener des renforts (car à l’ouest quelques divisions italiennes sont en faction), et pendant ce temps nous lançons notre cavalerie à l’assaut des provinces à l’est de notre position qui (comme nous l’avions prévu et vérifier préalablement) n’étaient pas occupées.
La progression de notre cavalerie est extrêmement rapide : Aujila tombe entre nos mains le 18 septembre, puis c’est au tour de Darnah, et enfin de tobruk le 23 septembre. C’est un grand succès pour nous, mais pendant ce temps tout ne s’est pas dérouler comme nous le souhaitions…
En effet, alors que nos chevaux fonçaient vers tobruk, notre infanterie d’Al Aqaylah fut attaquée, celle-ci résista tant qu’elle pu afin de nous faire gagner du temps, mais nous fument finalement contraint de lui ordonner de se replier sur Aujila (libérée quelques jours auparavant) afin d’éviter sa destruction. Cependant nos adversaires nous pourchassèrent alors, bien décidés à nous rejeter à la mer…
Mais ceci n’était pas notre pire problème, car la chose la plus génante fut que nos bateaux furent repérés par une flotte italienne qui nous obligea à rentrer dans un de nos ports. Et celle-ci demeura au large, si bien que nous ne fumes bloqués pendant longtemps sans parvenir à forcer la passage malgré de nombreuses tentatives…

Par conséquent nos 2 divisions sont seules, elles ne peuvent compter que sur elle mêmes pour faire face aux hordes de fscistes qui les oppressent…
En effet, le 7 octobre 43 nous voyons arriver une infanterie italienne bien décidée à conquérir Tobruk. Que le diable les emporte, ils savent que notre pauvre cavalerie est incapable de leur tenir tête et ils en profitent. Mais nous exhortons nos braves soldats à tenir bon en attendant au moins que notre autre division ait atteint Darnah, dans l’espoir de pourvoir rembarquer tout le monde (si par chance notre flotte parvient à se libérer…).




Hé oui, désormais le temps n’est plus à la conquête, il faut se rendre à l’évidence l’opération « épingle » a échoué, et les anglais n’ont même pas bougé le petit doigts. Tant pis… Maintenant nous devons organiser le rapatriement de nos braves aventuriers, car leur perte nous causerait bien des tords…

Mais le 9 octobre notre cavalerie est finalement battue à Tobruk, et elle se replie sur Darnah. Cependant, fort heureusement, notre infanterie de rejoindre Aujila et elle marche déjà elle aussi vers Darnah.
Nos hommes ne sont toutefois pas sortis d’affaire, car nos ennemis prennent à leur tour la direction de Darnah, et par conséquent nous n’avons plus que quelques jours pour organiser le rapatriement de nos intrépides soldats…
Malheureusement notre flotte est systématiquement interceptée par les navires italiens qui sont bien plus nombreux et puissants, à tel pont que nous en sommes réduit à retourner au port à chaque foi pour éviter une destruction pure et simple. Et dans ces conditions il est difficile d’envisager que nous pourront traverser la méditerranée pour ensuite faire embarquer des milliers d’hommes ayant une armée aux trousses…
D’autant plus que nous ne disposons plus que de trois petits jours pour trouver une solution, sans quoi deux de nos meilleures divisions seront perdues corps et biens…



La suite la prochaine fois… Suspens…
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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
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