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Vieux 27/10/2005, 02h16
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****Chroniques de l'Empire Ottoman****



La reprise de l'expansion contre les Mamelouks 1432-1436

Après les années de modernisation, notre administration s'est adaptée aux territoires conquis par les campagnes des années 1420. Les salles du trésor d'Istanbul regorgent d'or, et l'armée est mieux organisée que jamais.

C'est alors que j'entretiens le Sultan d'un projet que j'ai muri au fil des années depuis mon installation à Istanbul: une campagne contre le domaine des Mamelouks. Les raisons ne manquent pas: d'une part les nombreux contacts que j'ai gardés au Caire, à Alexandrie et à Damas me font régulièrement parvenir des missives désespérées sur les pratiques hérétiques des monarques mamelouks, qui ont embrassé le schisme chiite, et sur la dépravation de leur moeurs. D'autre part, les populations de leur domaine (très majoritairement de bons musulmans) se plaignent de tentatives de conversion forcée imposée par les tyrans qui les gouvernent. Tentatives qui n'ont heureusement pas abouti pour l'instant, mais qui pourraient à terme réduire la puissance de l'Islam. Or depuis la prise de Byzance, il n'apparaît plus impensable qu'une puissance (la nôtre) se dresse contre les Mamelouks et les chasse d'Egypte pour y restaurer la dignité et la paix qui conviennent à cette terre si chère à mon coeur.

Lorsque je m'ouvre de ce projet au Sultan Murad, il est immédiatement enthousiaste. D'une part car il se sent prêt à repartir en guerre, d'autre part car il voit dans une telle campagne un moyen de poursuivre son rêve de recréation de l'empire défunt de Byzance. Après consultation de nos chefs de guerre, il est rapidement décidé de mettre ce projet à exécution dans les plus brefs délais.

Les préparatifs de la campagne

Murad veut frapper les Mamelouks sans leur laisser le moindre répit, et pour cela il est rapidement décidé qu'il faut porter immédiatement le fer au coeur de leur royaume. Il décide de partir à bord de notre flotte, dans le plus grand secret, à la tête d'une armée de 20 000 soldats à pied et de 12 000 cavaliers. Nos 40 galères feront escale en Morée avant de traverser la Méditerranée pour venir mouiller au large des côtes égyptiennes. La guerre sera déclarée juste avant de débarquer, afin de ne pas permettre aux Mamelouks de rassembler leur cavalerie, et Murad II cherchera à s'emparer immédiatement du Caire avant de partir pour le reste de l'Egypte.

Par ailleurs, une deuxième armée de 20 000 hommes, dont 5 000 cavaliers, est levée dans l'Est de la Turquie et devra déferler de nos montagnes pour attaquer les territoires du Nord du royaume Mamelouk.

Les triomphes militaires

Nous craignons un moment, en croisant au large de la Crête, que les Mamelouks ne soient informés de ces mouvements de troupes, mais ces craintes s'avèrent infondées et, lorsque notre déclaration de guerre leur parvient, les impies sont totalement pris par surprise. La plan du Sultan fonctionne! L'armée du Nord file vers Alep et écrase un petit contingent mamelouk avant de mettre le siège devant la cité. Tel un cheval de feu, l'armée de Murad déferle autour du Caire et ne tarde pas à harceler ses fragiles défenses.

Totalement désorganisés, les Mamelouks essayent de se regrouper, mais le siège que nous imposons au Caire coupe leur armée et leur territoire en deux. Plusieurs escouades de 1000 à 3000 soldats tentent de harceler l'armée de Murad, mais sont impitoyablement taillées en pièce. Hélas, tous nos chefs de guerre n'ont pas son génie, et une contre attaque mamelouke en provenance de Syrie parvient temporairement à chasser notre armée du nord des environs d'Alep. Ceci devait être la seule défaite de la campagne. Peu de temps après, le Caire s'offre à notre armée, et, sans laisser de répit à nos ennemis, Murad scinde son armée en deux parts égales: l'une, commandée par lui, partira prendre le Delta du Nil, l'autre en remontera le cours pour s'emparer de la Haute Eypte. Après la regrettable défaite d'Alep, l'armée du nord reçoit des renforts et parvient à bousculer les mamelouks, puis à prendre Alep et à aller mettre le siège devant Damas. Impressioné par ces succès, le royaume du Hedjaz, vassal des Mamelouks, nous demande une paix blanche. Nous l'acceptons, n'ayant aucun grief contre ce royaume victime de la tyrannie des anciens maîtres du Caire.

La guerre se poursuit deux années durant, deux années employées à conquérir méthodiquement toutes les provinces des Mamelouks, de sorte que nous puissions leur imposer la paix la plus avantageuse possible. Après la Syrie, le Delta et la Haute Egypte, ce sont ainsi le Liban, la Judée et la riche province d'Alexandrie qui cèdent devant nos armées. Puis toutes les autres... Désespérés, les Mamelouks n'ont plus qu'à céder, et ils nous offrent pour que nous acceptions la paix pas moins de huit provinces! Un traité de paix est ainsi signé, garantissant la non agression de l'un par l'autre pour une durée de cinq ans. Mais dès cette signature, Murad avertit les impies: au terme de ces cinq ans, la guerre reprendra si ils ne renient pas leur hérésie. Ceux-ci nous font l'affront de refuser, scellant ainsi irrémédiablement le destin de ce qui reste de leur royaume...


Le retour à la paix 1436-1441

Encore auréolé de cette victoire, Murad revient en vainqueur à Istanbul et entreprend d'intégrer nos nouvelles conquêtes. La cas particulier du Liban retient son attention. Celui-ci est en effet peuplé d'une secte chrétiene connue sous le nom de "Maronites". Bien que n'ayant rien à voir avec le culte pratiqué par les princes de la chrétienté, ce culte nous semble être une menace pour l'équilibre intérieur de notre Empire. Aussi est-il décidé de couvrir le Liban de mosquées et d'amener les populations à rejoindre l'Islam. Malgré le coût de cette entreprise, nous décidons de la tenter. Grand bien nous en prend, car les peuples du Liban parviennent à ouvrir les yeux au bout de quelques années et nous rejoignent dans la vraie foi.

Ces années sont aussi celles d'un essor considérable de notre économie. L'intégration des provinces Mameloukes, dont la riche cité marchande d'Alexandrie, ainsi que l'envoi de marchands vers de nombreux autres centres de commerce, nous permettent de presque doubler les revenus fiscaux de l'Empire. Cet or est employé à consolider notre armée, à renforcer notre flotte de 11 vaisseaux de ligne supplémentaires, et à fortifier certaines provinces stratégiques.

La deuxième guerre d'Egypte 1441-...

Seulement deux mois après la fin de la trêve prévue par notre traité, nous réattaquons les Mamelouks. Ceux-ci n'ont pas réussi à se relever de leur défaite, et ne peuvent que regarder nos armées se relancer à la conquête de leurs cités. Après une brêve escarmouche victorieuse, Murad remet le siège devant le Caire, alors qu'une autre armée encercle Damas.

La chute du royaume des Mamelouks approche...

Khig Ologlu Al-Masri, Grand Vizir de Sa Majesté le Sultan Murad II, Sultan Ottoman et Triomphateur de Byzance.






1431-1443: Don Alvaro sauvé des eaux.

Gilbratar et Tangier? Pfff... une broutille comparé à ce qu'il nous attend... Voyez donc! Ces années 30 sont celles de tous les dangers pour les royaumes arabes. Des 2 côtés du détroit de Gilbratar, l'entre deux guerres voit les différents bélligéreant entamer une montée à la guerre. Le Maroc, qui nous avait chippé la province de Fez sous le nez en entrant en guerre contre l'alliance algérienne, devait payer. Aussi tôt dit, aussi tôt fait. Quelques années plus tard l'affaire était entendue, et seule une province subsistait encore à l'intrépide mais limité Maroc. Au même moment une affaire très grave secouait la cour... les fils de Ferdinand formentèrent une rebellion pour faire tomber Don Alvaro. L'affaire se joua aux dés. Juan II décida alors de supporter le bel Alvaro, et par la même occasion d'envoyer les impétueux rebelles dans un kolkhose sibérien, fort gentiment mise à notre diposition par le prince moscovite. Les révoltes qui enflammaient plusieurs provinces furent une à une mattées, et le calme revenait enfin dans la péninsule hibérique.

De l'autre côté des Pyrénnées la France s'attache toujours à faire entrer dans son giron les différents vassaux francophophiles, prenant enfin du même coup le port de Marseille. Les anglo-saxons, en vassalisant l'Irlande, en modifiant son système d'alliance et en sécurisant les eaux territoriales entre chrétiens et infidèles, montrent que l'on peut compter sur leur vertu et leur bonne volonté. De l'autre côté de la Méditérranée, musulmans et musulmans s'étripent, au grand étonnement des peuples chrétiens. En voilà de drôles de manières... "Vive l'Empereur"... c'est le seul commentaire que nous ayons à formuler envers l'Autriche, dont la discrétion n'a d'égale que les bonnes intentions dont elle fait part. Quant à la Moscovie,....euh c'est où déjà??....


PS: Euh je viens de recevoir un fax,... il paraitrait que la province de Gilbratar se soit convertie à la foi chrétienne. A confirmer... toujours est-il que quelques pendaisons seront tout de même effectuées dans ce territoire, prudence est mère de sûreté!




*** CHRONIQUES DU ROYAUME DE FRANCE ***
------------ ***1419-1443***---------

Je profite de cette année de 1443 pour apparaitre au grand jour sur l'échiquier de la diplomatie Européenne.
Beaucoup m'ont rencontrés dans les alcoves de grandes capitales Européennes, mais sans jamais mettre un nom sur mon visage ou une origine à mes propos.

Je suis le Baron Gilles de Thibaut et j'oeuvre pour la plus grande gloire du Royaume de France et de ses Rois.

Je ne ferais pas les reçits des heures de gloire et des tragédies qui ont secouées notre royaume ces 34 années. J'ai été dans le secret partie prenante à l'ensemble des évenement qui ont boulversés notre Royaume.

Mon rôle a été de guidé notre roi dans ces heures difficiles afin de préserver l'intégrité et la stabilité de notre pays.

***Le conflit franco-Anglais*** 1419-1423

je sais que la guerre est inévitable et que nos armées sont que peu préparées. Je conseil à notre roi de replier le gros de ses forces dans la province du Dauphiné afin de palier par le nombre le manque de chefs de guerre et la qualité de nos hommes. De ce fait nous esperons attirer les anglais qui par ce fait ne s'attaqueront pas à nos alliés.
Cette stratégie est un succés nos alliés vont résister pendant tout le conflit et préserver l'intégralité de leur domaine. Nos alliés qui sont également nos vassaux sont donc à fin 1423 inaffecté par ce conflit. Le fruit de cette stratégie nous sera que bénificiable dans les années suivantes.
Pour ce qui est du conflit il a été fidélement raconté par le sir Aedan Doesiere et nous ne sommes pas du type à nous morfondre sur le passé. Je tire ma réverance cependant à nos vaillants soldats qui auront sus faire face à un enemi supérieur et quelque fois l'emporter sur une armée plus aguérie qu'était celle de l'Anglois.

Mais n'y a-t-il pas de leçon à gagner des echecs du passé.

Nous perdons dans ce conflit la Vendée et l'ensemble de nos ports en Atlantique.
Nous devons payer un tribut de 1000 Ducats .
Nous devons casser notre alliance avec l'Ecosse.

Ce traîté de paix est acceptable par la France et sera respectée à la lettre. En revanche le point 2 de la déclaration de Sir Doesiere n'a jamais été discuté. La France peut tolérer la presence des anglais dans les provinces nationales françaises, mais en revanche elle ne reconnaitra jamais la suzeraineté Anglaise dans les dites provinces.

***La reconstruction****

La paix revenue je vais enfin pouvoir user de mes qualités afin de réformer notre pays.

Mes premières initiatives sont diplomatiques.

je vais intervenir activement dans la politique intérieure du Duché d'Orléans afin de rallier à la cause française bon nombre de seigneurs vassaux de ce duché.
Cette manoeuvre sera un succés et le duché rejoindra la France en tant que province nationale.
Cette même manoeuvre sera réedité avec la Provnece et le Boudonnais qui rejoindons également la France.

Notre pays c'est donc renforcé de 5 provinces acquises politiquement et non par la Force.

Helas la diplomatie devra faire face à la force en 1431 lors de la guerre entre la bretagne et la Provence. Cette guerre se soldera par la vassalisation de la Bretagne qui rentrera plus tard dans une alliance défensive avec notre pays. Nous serons également attaqué par la Bourgogne a laquelle nous prendrons la province de Franche-Comté. Nous utiliserons également toutes nos forces politiques pour vassaliser la Bourgogne.
Enfin nous vassalisons la Lorraine à la suite d' une diplomatie intensive.

Je fais également un point d'honneur à rembourser le tribut à l'angleterre. A ce jour nous avons remboursé 385 ducats. L'angleterre a décider de réduire son tribut total à 800 ducats en contrepartie de l'accés militaire dans les provinces françaises. Nous avons accepté.
Notre dette ne se monte plusqu'à 415 ducats.

La France se redresse à la plus grande gloire de Dieu et du Roi.

Baron Gilles de THIBAUT
1er conseiller du Roi de France
1419-1443




****Chroniques de l'Empire Ottoman****


1443-1460: l'expansion continue irrésistiblement

La guerre contre les Mamelouks s'achève par une facile victoire en 1444, et nous leur prenons le reste de leurs territoires. Ce qui fut notre principal ennemi ne se résume plus qu'à la province du Caire. Nous avons ainsi parfaitement sécurisé nos frontières au sud et à l'est, car aucun royaume musulman n'est plus en mesure de nous menacer.

Les Mamelouks refusent une fois de plus, hélas, d'abjurer leur culte. Il faudra donc qu'ils disparaissent, mais nous avons désormais cinq ans devant nous avant de retourner les punir. Ebloui par nos succès, le petit royaume de Candar accepte de nous reconnaître comme son suzerain juste au sortir de la guerre.


L'expédition des Balkans (1444-1449)

Or le Sultan Murad II, incontestablement le plus grand de tous nos souverains, n'est point rassasié de victoires. Les cinq années de tranquillité que nous avons à disposition vont lui permettre de lancer une vaste expédition punitive contre les petits royaumes balkaniques qui s'agitent à nos frontières. Cette opération est décidée suite à l'annexion de la Bosnie par la Serbie, alliée à la Valachie et à la Moldavie. Ces pays sont si petits qu'ils apparaissent à peine sur nos cartes, mais les remettre au pas permettra de maintenir l'armée en exercice et de sécuriser nos frontières.

En 1445, Murad II lance ainsi une expédition qui s'avérera triomphale. La guerre est déclarée à la Serbie, qui appelle ses alliés. En 4 ans, nous parvenons à prendre la province de Bujak à la Moldavie, qui est immédiatement vassalisée. Nous prenons le Kosovo et la Bosnie et à la Serbie, qui rejoint également le nombre de nos vassaux. La Valachie sera quant à elle annexée par les voïvodes de Transylvanie.

L'expédition à peine finie, les royaumes de Pologne et de Hongrie choisissent de profiter de la faiblesse de ces petits royaumes pour les assaillir. C'est ainsi que la Moldavie sera annexée par la Pologne, et la Serbie par la Hongrie. Les derniers royaumes orthodoxes indépendants ont disparu des Balkans.


La fin des Mamelouks (1449)

Comme prévu, nous réattaquons les Mamelouks en 1449 et parvenons sans mal à prendre la ville du Caire, une fois de plus. Murad n'aura même pas eu besoin de quitter Istanbul pour que cette formalité soit accomplie. Al-Qahira est ainsi définitivement anexée à notre empire, chassant pour de bon l'hérésie chiite des bords de la Méditerrannée. L'Empire ottoman s'en trouve ainsi unifié, et il est désormais possible de passer à pied des lointaines provinces roumaines proches des frontières polonaises, aux arides désers de Haute-Egypte qui bordent la Nubie. Le rêve de reconstitution de l'Empire Byzantin franchit un nouveau cap.


Les années de paix (1449-1459)

Notre Empire n'a cessé de croître sous le règne éclairé de Murad, et celui-ci, adouci par les vieux jours, aspire à installer une période de prospérité et de paix. Revenu à Istanbul, il ordonne un vaste programme de fortification de nos provinces stratégiques, de nomination de collecteurs de taxes, et de conversion religieuse. La présence des bosniaques catholiques, notamment, trouble la quiétude intérieure de l'Empire. Il est décidé de les amener à la vraie foi, comme nous le fîmes quelques années plus tôt au Liban. L'envoi d'Imams en Bosnie permet ainsi, quelques années plus tard, la conversion à l'Islam de cette province aux confins de l'Empire.

Epuisé par ses combats, Murad rejoint les jardins d'Allah en 1451 et son fils Mehmet, deuxième du nom, prend sa succession. Mehmet est un soldat exceptionnel, mais aussi un homme sage et visionnaire. Il comprend que notre royaume a besoin de se consolider et décide de réfréner ses ardeurs guerrières pour poursuivre quelques années de plus l'oeuvre de son père. Il emploit donc son temps à fortifier notre alliance, et le premier de ses succès sera d'obtenir la vassalisation d'Ak Konolyu. Il nous plairait d'inclure ce petit royaume dans nos frontières, car il bénéficie des mines d'or de la riche province d'Arménie. Quelques temps plus tard, Candar accepte de nous rejoindre et l'Empire s'agrandit une nouvelle fois de deux provinces supplémentaires.

Mehmet comprend aussi que notre administation très centralisée pourrait s'avérer être une menace pour la stabilité intérieure en cas de conflit prolongé. Malgré notre puissance actuelle, c'est avec sagesse qu'il entreprend de donner de l'autonomie aux pachas pour que l'Empire puisse rester paisible. Ceci n'affecte que peu nos rentrées fiscales, mais nous met désormais à l'abri de troubles intérieurs éventuels dans le futur, de même que la politique religieuse éclairée de Murad et de son fils permet à nos sujets de vivre en bonne intelligence.


La campagne contre Venise (1459-...)

Aucune puissance à nos frontières ne nous est hostile, à une exception. La cité marchande de Venise, sous la coupe de laquelle nous fûmes jadis, continue de drainer les ressources commerciales de notre Empire et occupe encore des positions stratégiques en Méditerranée orientale. Notamment les îles de Crête et de Corfou, ainsi que les rivages occidentaux de la mer Egée.

Après dix ans de paix et de réformes, l'Empire est à même de repartir au combat, et Mehmet a hâte de montrer que ses talents militaires n'ont rien à envier à ceux de son père. Aussi une nouvelle guerre est-elle décidée contre Venise au moment où celle-ci sort épuisée de longues guerres contre ses voisins italiens. Mehmet II part assiéger Raguse, alors qu'une lourde flotte de plus de cinquante voiles fait débarquer un torrent de guerriers sur l'île de Crète. Le fracas des combats se poursuit actuellement...






Journal personnel de la Dynastie Crusadrov, Grand ducs de Moscovie. (2ème partie)
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Moi, Dimitri Crusadrov, j’allais avoir la charge de la Moscovie, capitale à présent incontestée des principautés russes pendant une période s’étendant de 1432 à 1462 sous le règne de Vassily II Temny.

Notre nation et ses alliés allaient avoir deux tâches principales à remplir dans cette période. La première allait consister en la défense de l’intégrité de nos territoires et l’autre visait à repousser les Hordes Mongoles, nos ennemis héréditaires depuis leur arrivée à l’ouest il y a 200 ans dans les Steppes dont ils n’auraient jamais du sortir.

LA SECONDE GUERRE DU NORD (ordre Teutonique, novgorod)
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En 1432, la principauté de Pskov, notre allié turbulent et indocile à toute forme de vassalisations en dépit de nos demandes répétées, déclarait la guerre à un autre de nos ennemis séculaires : l’ordre Teutonique. Celui-ci, depuis sa défaite au lac Peïpous par le grand Alexandre Nevski, n’était plus que l’ombre de la puissance militaire qui était chargée de protéger les marchands de la Hanse d’une part et la prosélytisme catholique d’autre part. Ceux-ci étaient déjà en guerre contre les Lithuaniens, cette autre nation agressive et expansionniste qui ne cessait d’agresser ses voisins.

Dans cette affaire, nous allions nous contenter de défendre les intérêts de nos alliés et de prendre l’Estland et exiger un tribut de la part de l’ordre religieux pour nous retirer du conflit.

En 1433, le prince Yuri tentait de mener un coup d’état à Moscou et ce en plein conflit avec les chevaliers. Une telle trahison fut contrée grâce à la fidélité sans faille de l’armée et le prince félon fut mis à mort.

En 1435, la dernière guerre contre Novgorod est déclenchée et les derniers vestiges de cette insolente nation sont intégrés dans notre principauté.

LA MARCHE VERS LE SUD.
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En 1438, la horde d’Or nous déclare alors la guerre tant elle sent que notre puissance commence à la menacer et parce qu’elle veut enfin nous remettre dans l’état de vassalité dans lequel nous avions du rester pendant 2 siècles. Mais nos forces sous les ordres du général Shemiaka feront mieux que se défendre et nous investirons, avec l’aide de nos alliés, peu à peu l’ensemble des territoires de la horde. Ce conflit durera 4 années et verra la victoire complète de nos armes. Afin de nous assurer que les Mongols ne puissent plus jamais nous menacer, nous couperons leur pays en deux récupérant au passage 4 provinces peuplées de Russes et le centre de commerce d’Astrakhan qui augmentera plus que sensiblement notre prospérité.

Cette victoire éclatante allait nous valoir un intérêt inattendu des grandes et puissantes nations de l’occident et notre nouvelle prospérité allait nécessiter la mise en place d’accords commerciaux avec certaines.

En 1453, une nouvelle guerre éclatait avec les Mongols. De nombreux marchands en provenance d’orient nous avaient fait savoir que de nombreuses terres à l’est n’attendaient que d’intrépides aventuriers pour être mises en valeur. Elles se situaient au-delà des Khanats de Nogai et Sibir. Ce conflit visait à nous ouvrir une voie d’accès vers ces lointaines contrées. Si la Horde d’Or et Nogai furent facilement submergées par nos forces commandées par le comte Obolenski-Striga, le Khanat de Sibir ne semblait pas encore avoir été touché par la décadence des Khanats occidentaux et nous retrouvions là des guerriers dignes de leurs ancêtres. Même la cavalerie, commandée par le duc Basenok, ne pus qu’à grand peine repousser ces combattants valeureux et ce au prix de nombreuses pertes et déconvenues.

En 1457, nous allions tout de même les convaincre de nous céder la province nécessaire à nos desseins.

Immédiatement, nous allions commencer la mise en valeur des provinces de Turgai et Karaganda. Mais nos colons, n’osaient pas s’aventurer pour l’instant plus à l’est.

En 1455, le clergé, impressionné par les actions de notre principauté conférait au prince Vassily le titre de seul défenseur de la foi Orthodoxe.

De même, impressionnée par nos réalisations, la principauté de Suzdal, décidait alors d’intégrer notre nation.

Evidemment, la nouvelle de nos succès à l’Est n’était pas passée inaperçue chez nos voisins.

Tout d’abord nous reçûmes une missive menaçante de la part du Sultan qui n’appréciait pas de voir des musulmans asservis par des Orthodoxes mais il est vrai qu’il est plus habitué à l’inverse. Cependant, nous lui avons répondu qu’il ne pouvait y avoir d’accord entre les Mongols et les Russes. Et que d’autres conflits éclateraient sans doute encore entre nos deux peuples.

LA TROISIEME GUERRE DU NORD (Lituanie, Suède)
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Bien vite, la Lituanie allait nous défier. Nos armées se trouvaient encore dans la région de la Caspienne et elles durent bien vite remonter vers le nord afin de venir renforcer les troupes que nous levions en hâte autour de Moscou et Novgorod.
Le conflit fut âpre et se compliqua sérieusement lorsque les suédois nous déclarèrent la guerre à leur tour. Mais ceux-ci se retirèrent bien vite après avoir accepter un tribut de 100.000 ducats.

Mais cette somme fut en partie compensée lors que la Lituanie reconnut sa défaite et nous versa 51.000 ducats.

A l’issue de cette guerre, la principauté de Pskov acceptait enfin de reconnaître notre suzeraineté.

Les récentes agressions suédoises et Lituaniennes nous ont fait comprendre qu’il était à présent temps de calmer notre expansionnisme et de nous consacrer à la gestion de notre nation dans les décennies qui viennent.

Notre monarque, Vassily II est à présent bien âgé et son fils, Ivan, semble être moins belliqueux que son père. Nul doute qu’il consacrera principalement son règne à l’administration plutôt qu’à la guerre.

Quant à moi, il est à présent temps que je me retire après avoir assister notre monarque pendant de si longues années.


Grand duc Dimitri Crusadrov, Grand chambellan de la principauté de Moscovie





Nous, prince Vassily II, défenseur de la foi Orthodoxe sommes outré et meurtri des agressions et de la disparition des principautés Orthodoxes de Serbie, Vallachie et Moldavie. Nous acceuillerons volontiers les réfugiés de ces nations décidant de fuir leurs terres meurtries et occupées.

nous sommes trop faibles et trop loin de cette région pour pouvoir tirer vengance de ces crimes contre nos cousins mais ces actes ne seront pas oubliés.

Acte additionnel, toute tentative de convertir des populations Orthodoxes à une autre confession comme l'a déjà fait la Lituanie sera considérée comme un acte de défi à la Moscovie.


Vassily II Temny, Grand Prince de Moscovie, défenseur de la foi Orthodoxe







Tout d’abord nous reçûmes une missive menaçante de la part du Sultan qui n’appréciait pas de voir des musulmans asservis par des Orthodoxes mais il est vrai qu’il est plus habitué à l’inverse. Cependant, nous lui avons répondu qu’il ne pouvait y avoir d’accord entre les Mongols et les Russes. Et que d’autres conflits éclateraient sans doute encore entre nos deux peuples.


Vous reconnaissez donc vous-même que vous asservissez les musulmans?

A quel titre vous élevez-vous contre l'intégration de provinces orthodoxes dans notre Empire? C'est le Sultan lui-même qui supervise le patriarcat d'Istanbul. L'orthodoxie, loin d'être votre chasse gardée, relève donc plus de l'Empire ottoman que des prétentions d'une lointaine principauté qui se croit autorisée à prendre des pauses de matamore suite à quelques succès militaires contre les mongols.

Croyez-vous que nous soyons de la même trempe que les Khanats mongols? Croyez-vous que votre éloignement vous mette hors de portée? Il n'en n'est rien, vous êtes même l'un de nos plus proches voisins désormais.

Nous vous invitons donc à faire le bilan de votre puissance réelle et de votre légitimité, et à adopter en conséquence un ton qui vous sierra mieux.


Khig Ologlu Al-Masri
Grand Vizir de la Chancellerie d'Istanbul






nous n'asservissons pas des musulmans mais des mongols qui sont nos ennemis héréditaires et qui se trouvent etre musulmans, nous n'avons fait référence à leur religion que parce que vous en faites continuellement un sujet de discussion.

Où nous sommes nous élevé contre l'intégration de populations Orthodoxes dans votre Empire ?

nous déplorons bien sur que des ETATS orthodoxes ont été privé de leur indépendance mais ce ne fut pas de votre fait si je ne m'abuse. Ce sont la Hongrie et le Sieberburgen qui furent responsables de ces crimes. Nous nous bornerons à espérer que si un jour le sultan venait à libérer ces territoires, il rendrait leur indépendances à ces états.

Quant à l'Orthodoxie, nous sommes reconnaissant envers le sultan pour la douceur avec laquelle il traite les populations Orthodoxes de son empire mais notre clergé supporte de plus en plus mal que notre religion soit régie par un patriarche sous le controle d'un Seigneur, aussi puissant et sage soit il, musulman. C'est la raison pour laquelle il nous a été conféré le titre de défenseur de la foi Orthodoxe par le métropolite de Moscou et ce sans en référer au patriarche de Constantinople.

Pourquoi tout à coup nous menacer ? Avons nous offenser l'empire Ottoman ? nous n'avons en rien porté atteinte aux intérêts du sultan et vos déclarations belliqueuses sont incompréhensibles pour nous.

Cela est donc la troisième menace que le Sultan nous envoie. Nous sommes bien conscient de notre puissance et de notre place dans ce monde mais c'est nous faire injure de pretendre qu'il en est autrement.


Grand duc Alexei Crusadrov, Grand Chambellan de la principauté de Moscovie







Fort bien, nous prenons acte de votre bonne volonté. Comprenez cependant qu'elle ne nous soit pas parue évidente jusqu'alors, car la plupart des décarations moscovites à notre endroit sont des reproches faits au principe (inaliénable et non négociable) de protection du patriarcat par le Sultan. Vous avez également déploré que nos marchands menacent les vôtres, alors que nous vous avions proposé un accord commercial. Et ce juste au moment où la crise algéroise nous a amené à punir la chrétienté en attaquant la Hongrie, ce qui nous a laissé croire qu'il y avait des arrières-pensées dans vos déclarations.

Enfin, le Patriarche d'Istanbul a été scandalisé de la prétention moscovite à se déclarer "Protecteur de l'Orthodoxie", alors que ce titre revient de toute évidence au Sultan son maître. Ce n'est que grâce à la sagesse de ce dernier, qui a tempéré les ardeurs du patriarche, que la Moscovie a évité ce que vous appelez "excommunication".

Nous ne demandons qu'un règlement de nos différents. Aussi, à titre de signes de bonne volonté, nous vous demandons de réaliser cet échange de bon procédé:

- l'Empire ottoman rendra son indépendance à la Moldavie et à la Serbie, ce qui recréera les Royaumes ortodoxes dont vous pleurez la disparition.

- la Moscovie offrira à l'Empire Ottoman la province d'Astrakhan. Celle-ci est peuplée de mongols, musulmans de surcroît, et le Sultan souhaite étendre sa protection sur eux.

En cas de réponse négative de votre part, nous serions contraints de constater que vous cherchez le conflit avec nous.

Khig Ologlu Al-Masri
Grand Vizir de la Chancellerie d'Istanbul





****Chroniques de l'Empire Ottoman****


1461-1473: La gloire de Mehmet II le Conquérant


L'humiliation de Venise (1464)

Venise l'arrogante est mise au pas après une guerre de 4 ans, dans laquelle le génie militaire de Mehmet fait merveille. Les vénitiens, trop couards pour aller au combat et rendus douillets comme des femmes par le luxe obscène dans lequel ils se vautrent, subissent une série d'humiliations. Ils ont d'ailleurs bien compris qu'ils ne faisaient pas le poids face à notre Sultan et à ses innombrables armées, aussi ont-ils fortifié leurs provinces en espérant que d'épaisses murailles puissent remplacer le courage qui leur fait défaut. Il n'en n'est cependant rien, et Mehmet étant également devenu un expert des sièges suite à ses campagnes, leurs villes tombent les unes après les autres. Quant à la soit-disant puissante flotte vénitienne, elle sera écrasée à plusieurs reprises. Notre Sultan a bien compris l'importance stratégique de la mer pour notre Empire, aussi nos vaisseaux sont ils constamment améliorés et valent sans conteste ceux des chrétiens.

Après Raguse, la Crète et la Ionie, c'est Corfou qui s'ouvre à nos armées. Nous envoyons alors près de 40 000 hommes, menés par Mehmet en personne, débarquer à Venise et en Illyrie. L'armée vénitienne a déjà été entièrement défaite et ces deux villes ne tiennent qu'un an face à nos troupes.

Le pillage de Venise l'arrogante restera sans doute comme le plus bel exploit de Mehmet. Traversant la lagune sur des radeaux, nos soldats s'égayent dans les ruelles, sur les ponts et dans les canaux de l'arrogante cité déchue, autrefois amie de Byzance. Le pillage de la basilique San Marco nous permet d'amasser un fabuleux trésor; tout n'est qu'or et pierre précieuse, tentures richement ornées de perles et de diamants. Il semble que la moindre des colonnes de cette ville honnie soit faite du marbre le plus pur, la moindre de ces portes ornée de décorations d'argent et incrustée de pierreries. Après le pillage, à la tombée de la nuit, et alors que les flammes se reflètent encore dans les eaux sombres des canaux, le Doge est amené enchaîné et jeté aux pieds de Mehmet pour qui un trône de fortune a été dressé dans la cour du palais des Doges. Celui-ci est contraint de signer un traité qui met un terme définitif à l'âge de la gloire pour Venise.

Toutes les possessions méditerranéennes de la sérénissime (qui mérite en ce jour bien mal son nom) sont saisies par l'Empire, ramenant ses possessions à Venise elle-même et à l'Illyrie. Un tribut de 500.000 Ducats d'or est prélevé sur le trésor vénitien, la rançon la plus importante qui se soit vue de mémoire d'homme. Enfin, Mehmet emporte pour la décoration de son palais à Istanbul la plupart des trésors de la basilique San Marco et des églises de Venise. Les reliques conservées dans la crypte de San Marco seront taillées pour que ses enfants se voient offrir un bilboquet et des osselets, et puisse ainsi s'amuser avec les restes adorés par les tenants de cette fausse religion.

Ainsi prend fin un nouveau chapitre glorieux de l'histoire ottomane.


Les nouvelles avancées diplomatiques

Une fois rentré à Istanbul, Mehmet II ordonne la construction de manufactures dans notre Empire, pour en développer le commerce et l'économie. Le tribut ainsi pris à Venise est largement mis à contribution.

Mehmet II s'affirme ainsi comme un guerrier aussi valeureux que son défunt père, mais s'il est un domaine dans lequel il veut le surpasser, c'est dans celui de la diplomatie. Il parvient ainsi à convaincre l'émir d'Ak Konolyu, notre vassal, de rejoindre l'Empire. Une nouvelle fois, notre empire s'agrandit de 3 provinces supplémentaires, dont les riches mines d'or d'Arménie.


La folie castillane et la guerre contre la Hongrie

Le pacha Hen-Rik Al-Katro, qui administre la partie ibérique de la chrétienté, est réputé pour son inanité et sa sottise. Donnant des directives inintelligibles à ses conseillers, il a envoyé les armées castillanes se fourvoyer en Afrique, où les soldats castillans tombent par milliers dans les déserts et les forêts tropicales. Mais il a aussi annexé l'essentiel de l'Afrique du Nord avec ses alliés aragonais, n'y laissant que le misérable royaume d'Algérie réduit à la province d'Alger. Il a ainsi violé en toute connaissance de cause les accords secrets que nous avions passés avec ses prédecesseurs.

Notre coeur saigne à l'idée de l'infâme traitement qui est fait à nos frères musulmans d'Afrique du Nord, et lorsque nous voyons la Castille déclarer une nouvelle fois la guerre au Bey d'Alger, nous ne pouvons nous retenir d'intervenir. Un message très clair est alors envoyé à la chrétienté:

- si Alger est annexé, nous déclarerons la guerre à l'Aragon, allié de la Castille, dont les avancées en Méditerranée nous sont insupportables.

- si Alger est annexé, nous ferons payer ce crime en taillant en pièces le plus proche royaume chrétien: la Hongrie.

Or malgré l'ultimatum que nous posons, la Castille maintient sa politique. Le pacha d'Autriche, que les chrétiens appelent "Empereur" alors que la taille de son domaine est des plus minuscules, essaye de sauver la Hongrie en protestant auprès de la Castille, mais rien n'y fait. L'ultimatum ayant expiré, nous déclarons donc la guerre à la Hongrie en janvier 1470.

Nos armées ont déja pris la Serbie et la Moldavie, et malgré les efforts du redoutable Pal Kiniszi qui les dirige, les armées hongroises ne cessent de refluer face à nos armées. La défaite hongroise ne fait plus de doute.

Aussi nous offrons aux chrétiens un choix fort simple:

- Si l'Afrique du Nord est libérée du joug castillan, nous n'infligerons qu'une paix douce à la Hongrie, qui ne se verra pas imposer de recul par rapport à ses frontières de 1419.

- si la Castille maintient son inacceptable politique, la Hongrie sera impitoyablement taillée en pièces et nos hommes s'installeront à quelques lieues de Vienne.

Aux chrétiens de décider entre eux.


Les autres royaumes chrétiens

La Moscovie s'est enfin calmée et a cessé son expansion injustifiable aux dépens des Khanats mongols. Elle cherche visiblement à nous agacer, et nous devons prendre sur nous pour ne pas laisser la situation s'envenimer.

L'Autriche se montre conciliante et pacifique, ce en quoi nous ne pouvons que conseiller aux autres de s'inspirer d'elle. L'Autriche n'aura rien à craindre de nous si elle maintient son attitude.

La France et l'Angleterre semblent réconciliées. Bel effort du pacha de France, qui doit être un pacifiste ou un couard pour ainsi tolèrer l'occupation de ses terres par l'Angleterre depuis des décennies sans en avoir jamais reconnu la légitimité. L'Angleterre a également mis fin à sa politique de conquêtes, mais des marchands juifs nous rapportent qu'elle occupe désormais de larges portions de terres sur le sol du continent européen. Nous continuons de discuter de façon constructive avec le pacha d'Angleterre Hed-Ouard Al-For, comme ses sujets le surnomment.

Quant à la Castille, nous ne savons plus que penser de sa folie. Cherche-t-elle la mort et l'humiliation?

Khig Ologlu Al-Masri
Grand Vizir de la Chancellerie d'Istanbul





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AAR Turquie HoI2 - L'Empire Ottoman est il vraiment mort ?

Malraux et De Gaulle sont dans dans les toilettes de la Comédie Française, durant l'entracte d'une représentation de théatre, chacun face à une pissotière.
Malraux, se tournant vers De Gaulle :
"- Belle pièce hein Mon Général ?
- Malraux, regardez devant vous !"
Réponse avec citation