Moi j'ai eu exactement la même impression que Marlouf.
Ca dépend de ce qu'on cherche dans un bouquin. Dans la série Fondation, j'ai particulièrement apprécié les passages "désincarnés", où les individus ne sont pas grand chose face au mouvement de l'histoire finalement. J'ai trouvé que l'ampleur épique en était fortement grandie.