[syrco]

Les admins qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées francons, ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de notre idéal, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour kidnapper Akmar.

Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force informatique, mecanique et électrique, de l'ennemi.

Infiniment plus que leur nombre, ce sont les posts, les threads, la tactique des Ennemis qui nous font reculer. Ce sont les posts, les threads, la tactique des Ennemis qui ont surpris nos admins au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.

Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La disparition est-elle définitive ? Non !

Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour Francon. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.

Car Francon n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste soutient derrière elle. Elle peut faire bloc avec le forum Paradox qui tient EU3 et continue la lutte. Elle peut, comme Paradox, utiliser sans limites l'immense soutient des geeks EUiens.

Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de francon. Cette guerre n'est pas tranchée par la disparition d'Akmar. Cette guerre est une guerre du web. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour libérer un
jour notre Akmar. Foudroyés aujourd'hui par la force informatique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force informatiques supérieure. Le destin du monde est là.

Moi, Membre de francon, actuellement à Paris, j'invite les modérateurs et les membres francons qui se trouvent en territoire allié ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les rédacteurs et les posteurs spécialistes des industries de propagande qui se trouvent en territoire allié ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.

Quoi qu'il arrive, la flamme de le soutient à Akmar ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.

Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à Radio Paris.