Un efemelle requin donne naissance sans avoir rencontré de requin mâle
 

Je rappelle que les requins sont des poissons vivipares (enfin la plupart... pour ce que j'en sais).

Je ne savais pas que ça pouvait arriver également chez certians oiseaux, batraciens et reptiles... :???:

Chez les insectes, c'est assez courant.

qui aurait cru que l'antéchrist serait un requin? :mrgreen:

Ca va pas être facile pour lui, lascension de sollutré..euh...pardon, ...du mont des oliviers. :chicos:

Trés etonnant effectivement ! :étonné:

Ou alors il faut chercher la solution du côté de ce jeune apprenti embauché quelques mois avant pour nourrir les différents animaux...

:lol: :lol: :lol:


C'est très étonnant, mais je ne vois pas en quoi ça peut inquiéter les scientifiques (ou alors leur ego en a pris un coup, de ne pas l'avoir découvert par eux-même), ça serait plutôt une bonne nouvelle qu'ils arrivent à se reproduire plus "facilement" ... reste à voir la santé du bébé ...

Le probleme c'est que les copies conformes ont tendance a etre plus sujet a des maladies rares et si trop de requin doivent avoir recourt a de tels moyens de reproduction, alors on verra une recrudescence de maladies génétiques normalement rares chez les requins et ca peut les menacer d'exctinction a moyen terme (enfin ca c'est d'apres mes souvenirs de bio, donc je peux me tromper)

Ben en fait, c'est surtout que la diversité génétique permet de mieux résister aux maladies contagieuses à court terme. Il suffit qu'un virus ou que sais-je auxquel sont exposés régulièrement les requins mute et devienne plus virulent... Du coup, voir les populations de requins se multiplier en perdant de la diversité génétique (et donc les possibilités de voir naitre des individus plus résistans que d'autres) devient inquiétant.

En outre, c'est en mélangeant les gènes que la diversité s'entretient et qu'elle peut même croitre (mutations = évolution des espèces = adaptation à long terme au milieu).

:hello:

edit : l'exemple de Florian me fait penser à la consanguinité. C'est un autre "moyen" de perdre de la diversité génétique, puisque seul un pool de gènes est reproduit par la population qui les porte, sans apport extérieur (pour une consanguinité absolue). Certains animaux ne supportent pas cet appauvrissement (l'être humain), qui fait apparraitre des défauts génétiques graves, tandis que d'autres d'y trouvent aucun inconvénient (les souris), à moins qu'un virus ou une bactérie pas gentil(le) passe par là, évidemment. ;)

Clair. A l'adolescence, je pense qu'il va avoir de gros problèmes d'identité. Il reprochera peut-être à sa mère d'avoir été une marie-couche-toi-là, ou d'avoir parthénogénisé. Il aura sans doute la honte devant ses copains, mais j'espère qu'il ne fréquentera pas trop les requins dents de scie non plus... :yeux:

Généralement, les organismes qui sont capables d'effectuer les deux modes de reproduction (sexuée et asexuée) favorise l'une au détriment de l'autres selon les conditions du milieux notamment.

Par exemple, lorsque le milieu est "hostile", pas stable et offre des conditions de vie difficiles, les individus vont favoriser la reproduction sexuée pour multiplier les chances de survie (en accroissant la diversité génétique à chaque génération). Ensuite quand le milieu est plus favorrable à la survie de l'espèce, les individus peuvent pratiquer leur parthénogénèse en tout intimité devant un bon film, une canette de bière à la main, ou pendnant leur sudoku dans les transports publics, le matin en allant au travail.

Apparement la femelle requin c'est faites plaisir à sortir un rejeton alors qu'elle était en captivité...peut-être qu'elle a estimé que le milieu était assez stable pour se multiplier.

La multiplication des requins, :pigepas: ça me fait penser à ce fameux mythe du type qui multipliait les pains il y a deux milles ans (ce jour là, il a inventé la tranche de pain...)

:lol: fallait y penser.