GPO 2-AAR et diplomatie
 

Voila voila, c'est ouvert ;)

Pays joués :

France (Manumilitari)
Angleterre (Curtis Newton)
Castille (Danton)
Autriche (Coelio)
Empire Ottoman (Yboompook)
Moscovie (Cypho)
Portugal (Marlouf/Schnick)
Suède (Illuvatar)
Venise (Jagermeister)

A nous ;)

L'orthodoxie et les Steppes...


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De Naissance d'une puissante Principauté:

4 petits siècles... C'est le jeune àge de notre foi chrétienne en Sainte terre russe. Alors que Kiev ne fait plus figure de capitale depuis fort longtemps, les Princes russes n'ont eu de cesse de se livrer guerres et conflits. A tel point que la nation des peuples russes est aujourd'hui une mosaïque de Principautés qui, divisées, sont faibles. Beaucoup sont sous le joug de l'impie mongol mahométien, qui depuis son palais d'or asservit en esclavage nombre d'honnetes chrétiens russes. Depuis leur arrivée il y a moins de deux siècles, les mongols ont commis assez de crimes envers nous pour brûler 20.000 fois l'éternité en enfer. Beaucoup de nos frères, morts, n'ont jamais été vengés. Beaucoup de ceux ayant survécus au razias des cavaliers mongols et tatars n'ont plus foi en Notre Seigneur. Saint Sauveur aurait-il laisser tomber l'orthodoxe peuple de Russie? Bien sûr que non... Mais que peuvent les Principautés divisées? Ryazan et Vladimir n'osent lever la moindre armée contre les mongols de peur de perdre, comme Tambov, Saratov, Voroness, Lugansk et tant d'autres villes russes leur indépendance.
Tver et Pskov ne peuvent laisser leurs soldats s'éloigner de crainte des Chevaliers de l'Ordre Teutonique ou des lithuaniens.
Novgorod, puissante alliance marchande bi-nationale ne pense qu'à ses interets personnels, tournés vers la Baltique et seulement vers la Baltique.
Seule la Moscovie tente, en vain, de ronger l'Empire Mongol de la Horde d'Or, en libérant les villes russes sous leur domination. Que pourra la Principauté Moscovite, seule, avec ses faibles moyens, contre les dizaines de milliers de barbares à cheval traitant l'homme en animal.

Que Dieu aide la Moscovie à sauver la Russie et les Orthodoxes orientaux de l'esclavage éternel. Que Dieu donne la force à nos Prince et Boyards de défaire les armées mongoles et tatares. Richesse et puissance ne serviront pas les interets de la Dynastie mais les interets de l'Eglise russe et du peuple qu'elle protège.

Seigneur, donne nous la force...

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Historia :

• Les suèdois-varègues, peuple germanique installé en Upland, sur les rives du lac Mâlaren avaient une faible culture maritime, c'est donc par terres et voies fluviales qu'ils envahirent les principautés slaves orientales, alors que leur cousins vinkings se lancèrent vers l'ouest. Ils influancèrent grandement la culture de la toute jeune Principauté de Kiev, et atteignirent même Constantinople et servirent l'Empire des Rhomaoï dans le cadre de la Garde Varègue, garde personnelle du Basileus. Rapidement, les scandinaves devinrent incontournables dans le commerce du nord, qui etait très florissant à cette époque.
• L'arrivée du Christianisme au XIe siècle coïcida avec celle du féodalisme, et d'un pouvoir royal. Vers le XIIIe, les suédois commencèrent à coloniser la Finlande Ougienne. Cette époque fut aussi marquée par l'essor des allemands dans le commerce en Baltique, et la création de la Ligue de la Hanse sonna le glas de la domination scandinave. Pour contrer cette menace allemande, on va voir que les Etats scandinaves vont vite se regrouper.
• Cela commenca en 1317 : Magnus VIII Eriksson, par union personnelle reunissait le Royaume de Suède et de Norvège. Son fils, Haakon Magnusson le succéda en Norvège. Mais en Suède, le Landsraad, qui regroupe l'aristocratie du pays, a élu Albrekt av Meklemburg, qui était très favorable à la Hanse et à la domination allemande en Baltique.
• Margareta av Danmark, épousa Haakon Magnusson, et ainsi le Danemark et la Norvège etaient unis. Haakon est mort assez vite, et son fils Olof le suivit assez rapidement en 1387. Margareta resta seule a gouverner. Elle envahissa en 1389 le Royaume de Suède, et Albrekt fut déposé. Ainsi etait né l'Union de Kalmar. Le but de cette union était simple : créer un Etat scandinave assez fort pour contrebalancer l'influance allemande.
• En 1396, les chambres scandinaves dont l'Unionsraad choisirent l'héritier de l'Union. Ce fut le neveu d'Albrekt : Erik av Pommern. Néanmoins il devennait de plus en plus evident que le Roy favorisait grandement les danois, et les impots trop lourds en Suède favorisa vite le mécontentement...

Oh seigneur , pourquoi nous as tu abandonné ? Qu'avons nous fait pour mériter ce chatiment ?
Notre douce France n'est plus que larmes et peines, partout des escorcheurs pillent et ravagent, des quatres coins de France des ennemis nous assaillent. Ces maudits anglois ripaillent et festoient dans les restes de nos demeures ... nos seigneurs se disputent ou pire pactisent avec l'ennemi


Quand a notre bon roi Charles, pourquoi tant de tourment, lui que tu avais paré de tant de vertu, le voici devenu fol. Le corps vigoureux mais l'esprit faible. Pas assez sage pour aider son royaume, pas assez fou pour ne pas voir sa ruine et sa déchéance. Quand à notre reine, cette chienne lubrique de bavaroise, par charité je n'en parlerais pas ...


Homme de peu de foi !!! , c'est en ce jour que nous devons redresser la tête, arrêtez les anglois, puis reconquerir notre terre par la grace de Dieu

Et après ?

Et après . . . Que Dieu vienne en aide aux anglais !

**

Erik av Pommern, Kung av Kalmarunionen



Le 15 des kalendes de Novembre de l'an 1418 de l'Incarnation du Verbe, Kalmar en Smäland, ville située entre Stockholm et Lund.

Depuis 2 semaines, l'Unionsraad, chambre reunissant les representants du Royaume, et le Roy Erik av Pommern sont en grand conseil. Le Roy avait indiqué qu'a present il ne residerait plus qu'exclusivement à Kôbenhavn, au Danemark. Mais il ne laissait pas le Royaume de Suède à un regent comme en Norvège. C'est ainsi qu'apres maints palabres, le partis des aristocrates menés par les Knutssons obtenaient du Roy les pleins pouvoirs au sein de l'Unionsraad. Le Landsraad, conseil des grandes maisons, devenait ainsi le veritable maitre du Royaume.

En ce jour, la discution portait sur la politique exterieure de l'Union de Kalmar. Celle-ci avait ete créé dans le but de contrecarrer l'influence des allemands, cette Ligue de la Hanse.




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- Comme on peut le voir sur cette carte Sire, ces bourgeois nous ensèrent de toute part. La domination scandinave sur la Baltique passera forcement par la defaite de la Hanse. Nous pouvons compter sur le soutient du Roy de Pologne, meme s'il serait de mauvais augures de la voir prendre pied dans notre mer.
- Effectivement, la n'est pas le but. Je vais dans les plus bref délais m'attaquer au probleme du Holstein, il faut que le Landsraad soit pret a intervenir activement dans cette guerre.
- Nous ferons notre possible Sire, mais nous devons nous preserver face a la Republique de Novgorod.
- En parlant de cette republique lointaine, j'ai eu vent d'une montée en pouvoir des russes de Moskva.
- C'est exact Sire, les Ducs de cette frèle principauté nourrissent de grandes ambitions, et malgré la forte tutelle des tatars, ils s'activent a rassembler les terres russes sous leur coupe, Basile Ier a deja conquit Volgoda.
- Il s'appuit sur l'infidèle pour arriver a ce résultat, ca serait une très mauvaise nouvelle que de voir les tatars a Novgorod.
- Cette menace est d'autant plus a prendre au serieux qu'une vaste region de la Carelie est Catholique.
- Diantre !! Je l'ignorais. Il nous faut donc considerer cette principauté comme ennemie, le risque de voir les tatars a notre porte est trop grand.
- Mais Sire, si nous aidons Basile a se liberer des mongols et a vaincre Novgorod nous ferions d'une pierre deux coups...
- Il suffit !! Ce n'est pas au Landsraad a diriger la politique exterieure de l'Union. Soyez pret a intervenir contre la Hanse de Lübeck et a proteger Novgorod contre les tatars. Il est grand temps que je retourne a Köbenhavn preparer l'invasion. Au plaisir de ne point vous revoir avant longtemps.



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- Mon cher Karl Eriksson, je commence a me demander si le Roy ne voit pas que les interets des danois dans l'Union.
- Je le pense aussi.
- Depeches une ambassade secrete vers Moscou, nous avons plus d'interets a traiter avec eux qu'a les combattre.

Chroniques de l'Abbé Coelio

En l'an de grace 1418, sa majesté l'archiduc Albert V de Habsbourg ayant bien voulu me nommer son chapelain personnel, j'entame ici le récit des glorieux faits de mon maitre....enfin de ceux qui viendront, mais nul à Vienne ne doute qu'un âge glorieux ne s'annonce : Albert est un grand prince, et le petit archiduché d'Autriche, un jour, sera un des plus puissant état du monde connu, si le Seigneur le permet....


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L'autriche au 1er janvier 1419...a l'aube d'une ère glorieuse ?

Messages diplomatique de Sa Splendeur Albert V :

A tous : L'Autriche proclame hautement à tous les princes amoureux de la paix qu'ils pourront compter sur l'amitié fidèle de l'Archiduc. En revanche, quiconque viendrait troubler la paix du Christ, particulièrement dans le glorieux Saint Empire Romain, ou dans les royaumes de Hongrie et de Bohème pourra se compter parmi ses mortels ennemis
A notre cousin d'Espagne : Nos amitiés, beau cousin, avez vous reçu le portrait de cette charmante servante lusitanienne que nous vous avons fait envoyer ?
A Charles de Valois, roi de France : Les temps sont bien troublés chez vous, et l'Autriche aime la paix. Nos prières vous accompagnent dans la recherche du retour à la quiétude
A Henry de Lancastre, roi d'Angleterre : Nos amitiés pour notre cousin, qui semble bien troublé par un changement de palais. Quand au régent, un certain polonais, nul doute qu'une place de plombier en chef du palais archiducal de Vienne l'attende si il se retrouve sans emploi
Au grand-duc de Moscovie : Nous ne nous mêlons guère de la politique compliquée des hérétiques de l'Est. Néanmoins, si vous êtes soldat du Christ, tous nos voeux de succes
Au roi du Portugal : Veuillez trouver ci-joint un rasoir fait par notre plus grand armurier viennois, pour venir à bout des problèmes de pilosité de madame votre femme. Nul doute que ceci réglé, vos propres insuffisances sexuelles s'estompent rapidement, et que vous puissiez donner un héritier au royaume
Au doge de Venise : Nous serions fort curieux d'avoir un entretien avec vous pour connaitre vos volontés politiques. Venise est un état puissant, et tant qu'il restera du coté du droit, il n'aura rien à craindre de Vienne
Au sultan ottoman : En vérité je vous le dis, prenez garde ! La malédiction divine s'abattra sur vous si vous continuez à persécuter les royaumes du Christ !
A l'union des Calamars du Nord : Je ne puis que vous répéter l'avertissement déja donné à tous : quiconque viendra troubler l'ordre du Saint-Empire subira le chatiment de Dieu...

Note du plombier polonais au à Sa Splendeur Albert V :

"Par honnêteté, j'avoue être impressionné par la charge qui risque de me peser sur les épaules. Aussi, je vous signale humblement qu'il est possible que la charge de régent soit finalement dévolue à un prince français. Sa réponse est attendue (à moins que le courrier n'aie du retard... je vais vérifier ma boite au lettre. C'est encore à moi de faire ce boulot, pfff, pas de domestiques :crise: ).

Humblement"

"Let there be Doge ou comment massacrer dans la joie et la bonne humeur"


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Oyez oyez ! Moi prince Jagunetti je régnerai désormais sans partage sur cette terre sacré et pure qu'est Venise.


"Les amis de nos ennemis sont nos ennemis"

"Les ennemis de nos amis sont nos ennemis"

et "Les ennemis de nos ennemis sont nos amis"


Ici Venise à vous les studios.

http://img255.imageshack.us/img255/8...aletto37pv.jpg

Messires, Rois d'Europe et d'Asie,

Régent d'Angleterre, ayant la lourde charge de diriger le pays sans directives du Grand Conseiller (en plein déménagement le pauvre, puissent ses problèmes s'arranger rapidement, mais bon, à notre époque hein... faudrait voir à activer un peu l'établissement de la LPVUR - Ligne des Pigeons Voyageurs Ultra-Rapides), je présente ci-devant vous, la carte de notre puissant royaume :

http://www.franconaute.org/%7Echazam/Angleterre%201419

Notre Grande Nation est dirigée par le Roy Henry V, grand maître de Guerre.

http://www.franconaute.org/%7Echazam/Henry%20V

Nous l'estimons fort capable de calmer les prétentions des usurpateurs au trône de France.

Dit ci-devant vous, en l'an de grâce 1419."

Chroniques de l'Abbé : 1419-1426

Au commencement était le Verbe, nous enseignent les Livres Saints. Helas les viccisitudes de la politique nous montrent parfois que le Verbe ne suffit pas.
Au commencement donc, fut la guerre.

La guerre, d'abord contre les Suisses, montagnards fiers et belliqueux qui se croyaient invincibles et refusaient de sympathiser avec l'Archiduc.
La guerre fut longue de plusieurs années et très difficiles : fort peu aidés par nos médiocres alliés de Baviere, du Wurtemberg et de Mantoue, les armées impériales mirent du temps à progresser dans les Alpes suisses, et les montagnards maudits en profitèrent pour annexer sans vergogne notre très aimé vassal de Bade.

Mais le Seigneur était avec l'Autriche qui, faute de pouvoir vassaliser l'arrogant pays, se contenta de récupérer la ville martyre de Bade.
Mais les Suisses paieraient ces crimes un jour ou l'autre....

Des la signature du traité de paix, cependant, un nouveau complit, autrement plus périlleux, attendait Albert : la Bavière déclarait la guerre à l'alliance Bohème-Saxe, ce qui ne nous arrangeait guère.
Mais l'Autriche est un état d'honneur, et nous ne pouvions manquer de respecter notre alliance : cependant que faire ? les armées bohémiennes étaient tres nombreuses et fortes, commandées par des chefs hussites de valeur, les hérétiques Jan Zizka et "Highlander" Procope.
L'Abbé conseilla à Albert, bouillonant, de faire le gros dos et de rassembler un petit corps expéditionnaire pour foncer au Nord, en Saxe, pendant qu'une énorme force ennemie assiégeait le Ostmarch, juste au nord de Vienne.
Ainsi fut fait, et laissant leur pauvre province occupée par les hérétiques, les soldats autrichiens, passant par la Bavière, déboulèrent inopinément dans la Saxe non défendue, pour l'opération que le doge de Venise qualifia de "Blitzkrieg".
Cette opération réussit au-delà de toute espérance : les deux provinces saxonnes tombèrent rapidement et l'Anhalt fut réunie au possessions directe d'Albert, tandis que l'Etat saxon prêtait serment de vassalité.

Restait la Bohème, qui se débattait comme un immense ours surpuissant et blessé, avec sa terrible armée invincible en combat rangé : Erz fut pris par nous puis perdu, puis la Silésie, tandis que nos amis bavarois libéraient notre Ostmarch mais voyaient leur Ansbach occupée...
Néanmoins l'entrée en guerre contre la Bohème de la puissante alliance polono-brandebourgeoise semblait signifier à terme l'effrondrement de l'hérétique bohémien.
L'Abbé restait malgré tout songeur....Etait-il dans l'intérêt de l'Autriche de voir la Pologne dévorer la Bohème ?

Missives diplomatiques
Castille : Cher cousin, vous avez montré au grand jour votre vraie volonté de paix et de sagesse, nous vous en félicitons et vous assurons de notre sincère amitié.
France : Nous compatissons à vos malheurs, mais regrettons un peu votre poussée excessive vers le Nord....les prétentions françaises en Flandres sont-elles bien fondées?
Angleterre : Le petit régent si timide est un grand Roi : Combattant redoutable, magnanime et agréable, il a gagné l'estime de toute la chrétienté....et accessoirement la 1ere place aux PV ;)
Suède : Vous reniez votre suzerain légitime, soit, cela ne nous regarde pas. Par contre quand vous vassalisez de force un état libre du Saint-Empire, cela nous regarde. Cessez donc cette attitude expansionniste, et nous vivrons en bonne intelligence
Moscovie : Le grand-duc parle beaucoup, et du haut de ses 4 provinces perdues s'arroge le droit de faire la leçon aux grands souverains chrétiens, avec une partialité confondante et le souci de réprimander l'Autriche dès que possible.... Mais nous savons pardonner aux égarés, et nous lui conseillons très amicalement de se concentrer d'abord sur ses terres avant de regarder plus loin
Empire Ottoman : Mécréant impie ! Vous rendez vous compte que vous avez mis fin à une civilisation plus que millénaire en annexant brutalement l'Empire Romain ? Un jour vous le paierez fort cher...
Portugal Chalouch cha va? Faich beau en Algérie ? Plus sérieusement, mon pileux cousin, nous nous réjouissons tres sincerement de voir une présence chrétienne dans des terres infidèles...A l'heure où le Turc parade dans les Balkans, ca n'est pas de trop
Venise Nous vous regardions avec circonspection, mais votre avancée dans les Balkans est notable. L'Abbé souhaiterait d'ailleurs s'entretenir avec le Doge à ce sujet :hello:

Missive du Régent du Royaume d'Angleterre et des Terres de France :

" La Guerre.

Seule celle-ci nous préoccupait dès le départ. Les usurpateurs français et leurs alliés, dont l'Ecosse, osaient se mesurer à Henry V, général hors paire, maitre de guerre redoutable.

Seule la lutte contre l'Ecosse fut quelque peut difficile. En effet, trois assauts contre leur armée qui assiégeait le Northumberland ne purent les en chasser. Les pertes demeuraient néanmoins toujours plus faibles que celles des écossais. Puis fut rassemblée une armée de plus de 25 000 hommes, riche en cavalier. Le sors de l'allié du prétendu Roy de France était alors scellé.

Pendant ce temps, en France, Henry V conquit et annexa l'Orléanais, puis conquit la province du Maine avant de déloger les Français de devant Rennes, où la victoire fut remportée in extremis face à une très nombreuse cavalerie française. Au sud, l'armée des Landes conquis la Guyenne, puis alla mettre le siège en Provence.

La chutte de la province permis de signer la paix avec cet allié ennemi : il nous cédait le Maine et 92 caisses pleines d'or.

Dans le même temps, le Français avait mis à genoux notre allié Bourguignon, récoltant au passage les Flandres et leur CoT, l'Artois, et la Franche Comté, avant de retourner ses armées contre à nous.

Henri V se mis alors en devoir de les chatier. La paix signée avec l'Ecosse, ce furent plus de 20 000 hommes qui arrivèrent en renforts.

Le sort de nos ennemis était scellé. Le Languedoc tombait ; le siège fut mis devant Paris et Lyon.

Une dernière grande bataille nous confronta à l'ennemi devant Paris. Les Français furent anéantis. Dépourvus d'armées désormais, ils étaient une proie facile.

Pourtant, je décidais de signer une paix avantageuse pour la France : seule la Guyenne nous était cédée.

Cette magnanimité, nous en avons fait preuve en prévision de l'avenir. La guerre contre la France reprendra, car leurs prétendants sont fiers, et n'abandonnent point si facilement la lutte.

Si nous devions subir le sort qu'ont connu nos ennemis, nous pensons qu'ils sauront se souvenir de ce traité de paix".

Au roy de France : Nous espérons que vous saurez revenir à la raison. Vos richesses ne vous permettront pas de nous chasser aisément du continent, et nos armées sont redoutables. Abandonnez volontairement votre trone, il en est encore temps.

Aux roys très chrétiens d'Europe : nous avons suivi de loin en loin vos progrès. Nous sommes heureux de bénéficier avec vous de bonnes relations. Nous espérons que notre magnanimité avec le parti français saura nous accorder votre confiance pour les années à venir.

Au sultant d'Asie : Vos avancées sur les terres chrétiennes nous inquiètent. l'espace islamique est-il trop réduit ou vous fait-il peur pour que vous vous acharniez ainsi sur des proies affaiblies?

edit orthographique

1426, Madrid, palais royal, salle du trône.





La comtesse Iuliana, fort peu vêtue:chicos: , la plus belle femme du royaume de Castille, s’avance, le regard brûlant d’admiration et de désir… Le genoux gauche à terre : »Votre Splendeur, je vous admire tant » (« c’est le cas pour toutes les femmes »), on se relève, trois pas en avant, le genoux droite à terre : »Votre Grandeur, nul en ce monde ne vous égale » (« Oui, je sais, je sais »), on se relève, trois pas en avant puis deux genoux à terre, les bras écartés et levés : « Faites de moi ce que vous voulez, je suis à vous ! » (« Aaah, voilà qui est intéressant;) »)



Son illustre grandeur daigna abaisser ses nobles yeux vers la charmante damoiselle si peu farouche et justement émerveillée : « Comtesse Iuliana… » « Oooooh, Votre Spendeur n’a pas oublié » « J’ai une mémoire d’éléphant » (« Mais ce n’est pas de ton nom que je me souviens le mieux :yeux: ») « Ooooh ouiiiiii » « Informez moi » « Votre grâce, vos volontés ont été scrupuleusement respectées » « J’espère bien ! Mes volontés ne se discutent pas ! Je dis et que ma volonté soit ! » « Je suis votre servante ! » « Je sais, je sais. Bon, notre allié aragonais a trouvé intelligent de nous entraîner dans la guerre contre la Navarre… Comme c’est navrant. Nous qui ne rêvions que paix et amour » « Oh oui, l’amour… Je suis à vous » (« Rhaaa, mais je sais, attend un peu, je dois quand même gouverner aussi »)



« Et donc, la guerre ? » « Difficile, Votre Immensité. Alors que nous n’avions aucun grief contre la Navarre, celle-ci a trouvé malin de venir assiéger notre province de Cantabrie, ignorant les armées aragonaises qui déferlaient sur son propre territoire » « Quelle folie… Ont-ils reçu le bâton ? » »Nos armées ont failli… Je me donne à vous pour expier cette faute ! Corps et âme, je serai à vous » »Certes, certes, mais encore ? » (« Toujours faire passer le boulot avant le plaisir, sinon on ne travaille jamais ») « D’inexplicables défaites et, au final, la chute de la Cantabrie. Nos colons des îles Canaries se sont alors soulevé en masse contre votre pouvoir grandiose et il a fallu envoyer des troupes pour rétablir l’ordre » »Chose qui fut rapidement faite, j’imagine ? » »Hélas, non, o mon Seigneur et Maître, de nombreuses défaites se sont succédées:enerve: … il nous a fallu presque deux années pour rétablir l’ordre et reprendre la Cantabrie… Frappe ce corps indigne de ta lumière, prend le ! Je suis tienne ! » (« oui, oui, une seconde quoi ») « Cela est intolérable. Des mesures ont-elles été prises pour remédier aux carences de l’armée ? » »Alvaro De Luna a été nommé généralissime… il a calmé la Navarre et celle-ci a finalement accepté une paix blanche avec nous »



« Pas dommage ! Et nos voisins ? » »Beaucoup moins vaillants que vous, votre Hauteur ! » »Je sais, je sais, mais encore ? » »Votre voisin portugais a lancé une grande campagne en Afrique pour évangéliser les infidèles » »Cela est admirable, il a tout notre appui pour cette sainte mission » »Le chef des infidèles a dévoré Byzance ! » »Comment ? Quel crime odieux ! Qu’il craigne désormais le courroux des Justes ! Son châtiment viendra, en temps et en heure » »Punis aussi ta servante, majesté, je ne mérite rien d’autre… Je m’offre à votre merci ! » (« J’ai assez travaillé pour aujourd’hui, là, non ? Il est temps de passer à autre chose »)



« Et la guerre franco-anglaise au fait ? » »Elle a fait deux vainqueurs et deux perdants. Dans le bon camp, on trouve l’Angleterre, qui a conquis trois provinces, et la France, qui en a perdu une d’un côté mais gagné trois de l’autre, et de fort riches provinces en plus » »Nous devinons quels sont les perdants alors » »Votre Gloire est siiii brillante, elle sait tout, elle devine tout ! Mon admiration et mon dévouement… » »Et donc ? » »La Bourgogne, certes, est la grande perdante, mais il y en a un autre : l’Autriche ! Son héritage est parti en fumée… »



« Triste jour pour notre bien aimé cousin… Comment a-t-il pris la nouvelle ? » »Il vous admire tant ! Il vous envoi toutes ses amitiés et les photos de sa copine dénudée :chicos: » »Ah, le saint homme, je savais bien qu’il était homme de parole. Assurez le que nous sommes avc lui et que ses revendications sont légitimes. La foi du christ nous guidera » (« Formidables ces photos, depuis le temps que je les attendais… Reste plus qu’à arranger un rendez-vous maintenant »)



« Je vous en supplie…Je n’en puis plus…Votre Grâce… prenez moi » (« Ben et moi, tu crois que je ne suis pas impatient ? Bon, assez travaillé, passons aux choses sérieuses maintenant ») « Soit. Relevez-vous, comtesse, nous allons continuer cette discussion dans mes quartiers privés » »Ooooh ouiiii »



Nous levons un voile pudique sur la suite de cette histoire.

Nous, Roi du Portugal, en cette sainte année 1426, voulons faire savoir ce qui suit :

- Nous souhaitons paix et richesse à nos aimables voisins Chrétiens, à nos cousins, parents, et obligés. Nous n'avons pas vocation à chercher querelle en territoire européen, et resterons donc en dehors de tout conflit avec les pays catholiques. Nous regrettons les guerres qui ravagent le continent, et souhaitons appeler à une paix générale. Nos dissensions sont pain béni pour le Malin, en l'espéce le Sultan Yboom-Mehmet, dont les actions impies ferait rougir le plus prude des éclésiastiques.

- Devant le danger imminent, nous avons pris l'initiative de porter le combat sur les terres d'Afrique. L'évangélisation des peuples primitifs est un combat que nous meneront sans faillir, quel qu'en soit le coût, humain et économique. Malgré le revers que nous avons connu avec la résurgence du royaume Almohade, nul doute que notre vision juste et trés chretienne connaitra un franc succés dans nos nouveaux territoires du Royame d'Alger.

Nous nous permettons également de communiquer ce qui suit, gage de notre piété et de notre attachement à nos cousins gouvernant l'Occident.

http://www.streamload.com/madQG/1419.wmv
(faire 'enregistrer sous' , ça fait 8 Mo)

Chroniques de Moscovie

-Mon Prince, Vadim revient de Ryazan avec un message, avertit Balta, fidèle conseiller personnel, intendant et aide de camp du Prince de Moscovie.
Posant le morceau de bois qu'il était en train de tailler habillement en forme d'ours, le Grand Prince se retourne vers Balta et d'un ton bourru, comme toujours, demande qu'on lui serve un verre d'alcool. Se faisant, il alla s'asseoir sur un banc, ouvrit la fenêtre, regarda vivre sa ville de Moscou. Son verre, apporté par une servante n'eut pas eu longue vie. Un autre fût rapidement réclamé par le Prince.

-Balta, mon ami... Que deviendra notre ville quand les mongols viendront réclamer la dîme annuelle? Que pourrais-je dire aux boyards pour les pousser à me suivre dans les plaines pour combattres les cavaliers tatars...

-Sire, Vadim attend dans le couloir pour vous transmettre un message trés important, puis-je suggèrer de...

-Balta, nous devons avoir foi. Oui, avoir foi. Si nous perdons et tombons en esclavage à nouveau, ce sera la volonté de Dieu.

-Sire, Vadim !

-Oui, vas-y, fais le entrer...

Le méssager, fatigué et rouge de sueur, entra dans la grande salle, plié de révérance, et se présenta, comme il est d'usage, bien que le Grand Prince le connaissa fort bien.

-Grand Prince de Moscovie, moi, Vadim Tolgarev vous présente mon plus profond respect et vous prie...

Le Grand Prince le coupa sec:
-Allons, dis moi donc ce qui se passe de si interessant dans cette ridicule ville de Ryazan! Ils ont trouvé un nouveau bébé à deux têtes? Le dernier qu'on leur avait acheté m'avait fort amusé! Mais parle donc! Je t'écoute!

Pendant qu'il disait ces mots un nouveau verre plein de vodka fut apporté au Prince.

-Sire, Ryazan... Ryazan vous déclare la guerre! L'Etat de guerre entrera en vigeur entre nos deux Principautés... en fait,... il est entré en vigueur hier soir.

PFFFFOOOOOCCHHH!!!!

Crachant la grosse gorgée qu'il avait entrepris de boire, le Grand prince faillit s'étrangler de surprise! Il éclata ensuite de rire!

-Ryazan? Nous attaquer? Que le Seigneur les pardonne, ces fous ne savent pas ce qu'ils font. Enfin, voilà une nouvelle ville qui va devoir rejoindre le giron moscovite. Vadim, merci pour ta missive. Vas te reposer, choisis toi deux nouveaux chevaux aux écuries Polodov, et en passant par les cuisines emporte donc quelques pommes pour tes filles. Balta! Viens donc ici. Je souhaite que tu préviennes les boyards que ce soir je les veux tous à ma table, ne leur explique pas pourquoi. Chaque seigneur devra fournir soldats et vivres, mais comme toujours, ils vont réchigner à le faire, surtout ici pour combattre des frères russes. Ils ne voudront jamais croire que ce sont eux qui attaquent. Ce soir, 3 heures aprés les quatres coups de cloche des Eglises de la ville, je veux voir tout les Boyards dans la Grande Salle.
En même temps, fais venir le Régiment Principautaire des archers, et ordonne aux 1.000 hommes le composant de tous rester en arme, dans la grande cour. Si les boyards refusent de m'aider dans cette guerre, ils seront exécuter.
Ah oui, et fais venir un Pope à ce repas. Une fois les boyards d'accords, nous prierons tous pour la victoire.



Ainsi, Ryazan dut assumer la foudre du Grand Prince, qui eut vite fait de soumettre la ville rebelle. La Moscovie devint un peu plus grande, un peu plus forte, un peu plus riche, mais toujours largement moins que ses principaux rivaux: Novgorod, la Lithuanie et les mongols de la Horde d'or. Mais l'Union Russe commence à poindre dans la tête de beaucoup comme un idéal. L'annexion de Ryazan pousse beaucoup de seigneurs russes à réclamer l'unification des Principautés sous l'égide de Moscou...

PALAIS DES DOGES - 22h00 am


- Oh oui aaaaaaaaaah oh oui Majesté encore !!! Ce que vous êtes fort Majesté, vous êtes si beau, si bon, si bien avantagé !

- C'est pour mieux te niquer mon enfant

- Aaaaaaaaah !!! Grrrrblg !!! Nom de dieu !!! Tu es une sacré bougresse mon enfant !

- Je suis à votre service Majesté

- Laisse moi maintenant mon enfant j'ai du travail qui m'attend..........


- CONSEILLER !!! Mais où est encore passé cet abruti ???

- Majesté vous me demandez ?

- Oui où en est cette guerre avec Raguse ?

- MEIN FUHRER !!! Euh Majesté pardon, Raguse fait désormais partie de notre royaume

- Bien bien et ces chiens de Bosniaques ?

- Ils ont fait allégeance Majesté et sont nos vassaux maintenant

- Parfait !

- Tu me sert bien conseiller, il faudra que je pense à te récompenser

- OUI MEIN FUHRER !!! Majesté pardon


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:hello:

6 mois que le Roy Erik avait quitté Kalmar et rejoint son palais à Lund abandonnant les reines du pouvoir en Sverige à l’Unionsraad. 6 mois que le Landsraad avait quitté Kalmar triomphant : l’Unionsraad était entre les mains des Grandes Maisons. En ce jour d’été pourtant, voila qu’il était à nouveau réuni, mais à Stockholm cette fois. Karl Eriksson Vasa regardait la mer par la fenêtre, la Baltique était chaude, on pouvait s’y baigner en cette période.

- Alors Knut Karlsson Bonde nous convoque, qu’y à t’il de si urgent, une requête du Roy ?

- Très simple mon cher Karl, Sa Majesté a décidé d’envahir le Holstein. Il convoque l’host du royaume.

- Ah… Il fallait bien que ça arrive.

- Il y a plus intéressant. La Hanse s’est dissoute, seuls les teutoniques sont restés au cotés d’Heinrich de Holstein.

- Donc ?

- Vous devez donc être à Kalmar dans un mois avec vos hommes. La flotte nous attendra là-bas.





Octobre de l’an 1421, sous les murs de Reval en Estland.

« Karl Eriksson, Härska av Svea Arméen à Knut Kalsson, Härska av Kunglia Arméen.

Nous avons appris récemment votre grande victoire sur les allemands à Kiel. Selon nos sources, les danois sont bloqués devant Kolding et Alborg est solidement tenu par Heinrich. Si cela n’est pas déjà fait, il serait grandement préférable de prendre et tenir le Danervike pour bloquer toute retraite des allemands. La prise d’Hamburg est d’une importance capitale.

Nous vous signalons que l’Ordre du Porte-glaive à Reval a refusé de se rendre. L’hiver arrive vite et je crains de fortes pertes en hommes. J’ai donc pris la décision d’abandonner le siège. Nous embarquons pour Lund. La Svea Arméen sera à Kiel à la Noël. »





En juillet 1422 Hamburg est possession suédoise. Heinrich était bloqué à Alborg par les troupes danoises, il réussit à fuir grâce a une chance exceptionnelle. Dans sa tentative pour rejoindre le Holstein il eut vent des dissensions entre les membres de l’Union : les suédois refusaient de céder aux danois Kiel, Hamburg et les principales cités du Holstein. Il se rendit alors volontairement au Landsraad, et se plaça sous sa protection. Knut Karlsson réinstalla le duc Heinrich sur son trône et lui permit de lever de nouveau l’host pour combattre le Roy Erik.

En novembre, les troupes allemandes écrasaient à nouveau les danois et ils furent repoussés au delà du Danervike. Heinrich ne poussa pas plus loin son avantage.

Erik av Pommern fut ulcéré par ce renversement de situation :



- Votre Majesté ! J’ai de terribles nouvelles !

- Chancelier ?

- Votre Majesté, notre armée d’invasion du Holstein vient de subir un revers.

- Quoi ?? Mais comment……

- Votre Majesté, les allemands ont levé un nouvel host et le duc Heinrich est à leur tête.

- Mais comment est ce possible ? Le duc est ici, enfermé à Alborg. De plus les suédois contrôlent les grandes villes du pays, d’où sort cette armée ?

- Sire, il semble que le Landsraad est lui-même fait lever ce nouvel host. Selon mes informateurs, le duc ou celui se faisant passer pour lui s’est placé sous la protection des suédois.

- Mais ce n’est pas possible………

- J’ai bien peur qui si Sire.

- Convoquez immédiatement mes capitaines, il est temps de montrer au Landsraad qui est le Roy.

- Sire, les suédois sont à Lund, il ne nous sera pas po…

- QUOI ??? AH LES FOURBES !! JE SUIS LEUR ROY ! ILS VONT ME LE PAYER TRES CHER ! VOUS ENTENDEZ ? TRES CHER !

France : GPO II Le Jugement Dernier
 

Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er janvier 1426
Personnages : Charles VII, Le grand chancelier (GC) et le grand argentier (GA)

Charles VII : Bien, quel est la situation ?
GA : très grave.
GC : Vous voulez dire désespérer
Charles VII : vous exagérez
GC : Exagérer, la moitié de le France est occupé, le domaine d'Angleterre se monte à 20 province alors que celui de votre majesté se chiffre à 10 provinces
GA : Il est vrai, mais nos finances se portent bien mieux, nous pourrons remourser nos emp...
GC : Merveilleux, le chapon est gras et dodu à souhait. Les anglias vont se régaler. Ils vo...

Charles VII : IL SUFFIT !!! je ne vous ai pas pris dans ma maison pour vous entendre geindre. Faites moi une description précise.

...

Charles VII : Et bien ...
GA : Et bien votre majesté, comme vous le savez sa majesté Henry V voulait s'approprier la couronne de France et pour ce faire à déclarer la guerre à votre père Charles VI le ...
Charles VII : Le FOL, Charles VI le Fol, dites le ...
GA : Heu, donc nous avions déjà un très gros désavantage les armées anglaises se montaient à 68.000 hommes tandis que les notres atteignaient 37.000. Nous avons bien entendu recruté immédiatement mais le trésor n'est pas extensible. L'alliance était équilibré mais nous fondions trop d'espoir sur les Ecossais comme l'avenir le montrera. Et surtout nous n'avyons aucun chef de guerre digne de ce nom alors que les anglais ...
Dans un premier temps nous avons réussit à limiter les dégats. Les anglais nous repoussent mais ces traites de bourguignons doivent nous concédez du terrain. Nous parvenons à leur arracher des terres. Dans le même temps le chatiment de la maison de Bourgogne atteint aussi son chef puisque nous avons pu le faire executer sur le pont de Montereaux.


Pendant ce temps les anglais ne sont pas rester inactif. Ils ont annexés notre vassal d'Orléans et tiennent le Maine. La Bretagne assiège la Vendée ET surtout les Ecossais signent une paix séparé, c'est alors une course poursuite avant l'arrivée des renforts anglais, ils nous faut impérativement signé une paix séparée avec la Bretagne pour équilibrer le conflit. En février 1421 nous mettons le siège dans le Morbihan mais rien n'y fait les Bretons ne veulent rien entendre ... et en juin 1421 arrive le tournant de la guerre. Notre armée principale affronte l'armée d'Henry V sous les murs de Vannes. Ce fut une boucherie malgrès le courage de nos hommes. une dernier baroud d'honneur fut organisé. nous rassemblons toutes nos troupes restantes afin de contenir l'avancé anglaise mais en pure perte. Après le désastre de Champagne nous acceptames cette paix humiliante. Peu après votre majesté prenait les rennes de notre pays.

Charles VII : Les anglais n'ont pas profité de leurs avantages ?
GC : Non, on raconte que le roi Henry V était déjà gravement malade et qu'il était pressé de signer la paix afin de permettre à son frère le duc de Bedford de rentrer en Angleterre afin de veiller sur son neveu.
Charles VII : Il est vrai, un si jeune enfant, tout peut arrivé ... encore que l'histoire de ce pays montre que les relations entre oncle et neveu ne sont pas toujours excellente. Il n'y a qu'à voir ce que Jean sans Terre a fait à son neveu Arthur.
GC : certe, majesté mais en l'occurence nos perte sont énormes, la très riche Guyenne, l'Orléans, le Maine ... Bientôt les anglais vont nous attaquez de nouveau et nous avons à peine reconstituer un embryon d'armée
GA : mais nous avons rattraper notre retard en infrastructure, nous avons enfin un général
GC : Et le rapport des forces est de 1 à 4.

Charles VII : Ne désespérez pas mes conseillers ayez foi dans le Seigneur, bientôt la divine providence nous enverra de l'aide et le cours de l'histoire sera changé
GC : puisse le Seigneur vous entendre ...
Charles VII : Ayez la foi ...


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إلى [مسّير] يتمنّى الديوث ال [إمبيورور] أنت ال مرحبا على فرضيتك

سمحنا سنونه متأخّرة واحدة أن يأخذ [بيزنس] وأن يركّب هناك واحدة من ال [شوبّينغ سنتر] عظيمة من العالم [أس تو] مدّدتنا على واحدة من جارنا

Du régent d'Angleterre :

"Messires, messeigneurs,

Je ne comprends goute aux propos de l'Ottoman. Ce procédé ne me dit rien qui vaille pour l'avenir. Méfiez-vous de lui, il refuse d'éclairer son propos, et cache par là-même ses ambitions.

Nul doute qu'il cache ainsi son hostilité vis-à-vis de la chrétienté.

Lord Chazam, Grand Chancellier et Régent à la retraite

Post Scriptum : Je prie le seigneur que le sieur curTis revienne, ou qu'un régent s'annonce à la cour... Il serait déplorable de voir l'Angleterre mal gouvernée, même pour quelques années, son avantage s'en trouverait détruit."

Erik av Pommern, Kung av Danmark och Norge, Kung av Sverige





Le Landsraad parle au nom du Roy :


A l'Archiduc de la Marche de l'Est, Albrekt von Habsburg :

Le Landsraad a sauvé le Holstein des folles ambitions danoises. Grace a nous, Heinrich est toujours Prince. Nous ne tolerons pas les messes basses d'un obscur Archiduc qui passe sont temps à annexer illégitimenent des principautés. Que fait donc l'Empereur ?? Oui que fait-il ? Il s'allie aux Jagellons pour héradiquer le probleme hussite, alors que la Pologne vient de replacer sa frontière sur l'Oder . En vérité l'Empire va très mal, et vous etes le premier à troubler son ordre.


Au Grand Prince de Moscou, Basile II l'Aveugle :

Le Landsraad aappris recement une très bonne nouvelle : les tatars ont été expulsés de votre principauté, éloignant du coup une grave menace. Votre but a present est d'unifier les russies... Nous ne sommes pas contre, nous pourrions meme vous aider, bien que toute aide a un prix. La république de Novgorod est riche et puissante, et il est vrai que nous serions enchanté d'un accord pour le demantellement de cette republique marchande.


Au Roy de France, Charles VII de Valois :

Nous avons etudié de très loin cette guerre contre les anglais, sachez que nous considerons vos droits comme légitime. Que Dieu vous vienne en aide pour repousser l'envahisseur.


Au Roy d'Angleterre, Henry VI de Lancastre :

Cette guere doit ruiner votre pays tout autant que celui des francais. Il est temps qu'elle finisse. Abandonnez vos pretentions la tete haute, il est encore temps.

Missive de Moscou:


Chère Roy de Suède et de Finlande, sachez que nous sommes prets à négocier avec vous la fin de Novgorod. Peut être, en toute logique serait il bon de sceller notre amitié à long terme en se partageant ce pays en tenant compte de la religion de ses habitants. Les régions catholiques pour la Suède, les régions Orthodoxes pour nous.

Je suis entierement d'accord avec vous, sauf sur un point, nombre de provinces de la republique sont de culture "ugric", c'est a dire la notre. C'est un point supplementaire a mettre avec l'aspect religieux. Nous vous laissons la peninsule de Kola qui pourra devenir russe, mais nous souhaitons Narva en échange.

Missive de Moscou

La Moscovie n'a pas vocation à devenir puissance navale en Baltique ni même ailleurs. Mais une seule ville portuaire nous semble nécesaire afin d'assurer le commerce de la Principauté. La province est pauvre, mais nous souhaitons un port en Baltique afin de bénéficier d'une plus grande ouverture au monde.
Peut être, une fois Novgorod démentelée une compensation financière pourra suffir? Peut être ausis pourrons nous nous engager à respecter ces frontières, la Moscovie s'engageant à ne pas réclamer d'autres ports (Estland, etc...) en Baltique, mer par définition suédoise mais à la quelle nous voulons avoir accés néanmoins. Notre proposition semble honnete.

Notre but est de detruire la republique marchande, pas d'en installer une autre a la place. Pourquoi vouloir un port en Baltique ? Il y a un paradox dans ce que vous dites. Aujourd'hui vous nous assurez de votre volonté de ne pas devellopper de flotte en Baltique, mais vous souhaitez tout de meme un accès a cette mer ? Nous ne pouvons pas prendre de tel risques. Comprenez bien que Narva est aussi importante pour vous que pour nous.

Lisbonne, An de grâce 1434

Le Roi du Portugal fait savoir qu'il aspire à la paix et à la prosperité, comme cela a toujours été le cas. En conséquence de quoi le Royaume d'Afrique du Nord a été crée afin de servir la paix - et nos interêts - dans la région.

Nos comptes ont été purgés et l'économie, désormais prospére, permet à nos marchands de s'implanter peu à peu dans les différents centre de commerce. Celui de Tago sera bien entendu toujours privilégié, au vu des bénéfices non négligeables qu'il apporte à la Couronne.

Nous espérons que nos royaux cousins seront à même d'apporter le même calme dans leurs pays respectifs. Ce qui à en juger par le manque de stabilité sur la grande majorité du continent, se rapproche plus d'un voeux pieux. Mais c'est là toute la bonté de notre Royale Excellence : Prier pour ses voisins sans que ceux-ci n'aient à demander quoi que ce soit...
Nous félicitons également grandement la Castille, qui a enfin pu mettre un terme à l'inaceptable domination du Royaume de Grenade sur la province de Gibraltar. C'est un bon pas vers la christianisation de la région, amorcée par nous même il y'a de cela déjà prés de 20 ans.

Dans le cadre de l'entente fraternelle que nous souhaitons consolider en Europe, il nous est bien entendu impossible pour l'instant d'adhérer à une quelconque alliance. La proposition anglaise nous apparu donc particulièrement choquante, alors même que l'épée n'a pas encore été totalement rengainée sur le sol françoy. Nous n'en tiendrons néanmoins pas rigueur à l'Anglois, et préférons tourner notre regard vers le large.

L'air y est largement plus respirable, et l'odeur de mort moins présente... Qui plus est, l'expédition menée par Diogo de Silves nous apporte bonheur et réconfort, comme toute bonne bouillote. Nous avons "redécouvert" le passage menant au Cap Vert, et la flotille de l'Amiral, forte de trois navires, a pu constater la présence de territoires inconnus jusque là.

En vérité, mes aimables cousins, nous espérons que vos guerres fratricides rempliront toutes vos espérances. Les notres sont déjà largement comblées, et ce n'est pourtant là que début...

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(9 Mo)

Discours du Grand Prince devant la noblesse.

Chroniques de l'Abbé : 1426-1434

La guerre est vraiment chose terrible...
O seigneur, quelles épreuves imposes-tu donc à tes fidèles serviteurs ?

Mais Ta Volonté à toujours un but : pousser tes serviteurs à se dépouiller de toute vanité terrestre, et à t'obéir sans discuter.

Tu as voulu que l'Autriche sorte meurtrie d'une guerre longue et ruineuse sans aucun gain pour elle, dans le seul but de maintenir la paix.

Nous aurions pu, pourtant, continuer la lutte... La Bohème était fatiguée, à terme nous aurions vaincu. Nous en avions le droit le plus sûr, d'autant que les hérétiques hussites avaient annexé la Saxe, leur propre ancien allié et notre récent vassal.
Mais à quel prix aurions nous eu notre vengeance ? Au prix de combien de morts ? De combien de haines ?

Non Dieu ne voulait pas ca...et nous acceptâmes une paix des braves.
A Vienne, la Cour fut d'abord sceptique : "L'Abbé doit savoir que la politique n'est pas oeuvre de charité, où va t-on avec des bigots pareils qui hésitent à pousser la guerre jusqu'à la victoire ?"
Mais l'Abbé restait serein : il savait que le Seigneur récompenserait sa piété : et cela ne se fit pas attendre : en un an à peine, la Bohème abjurait l'hérésie hussite, et s'alliait dans la foulée avec l'Autriche, en récompense de la bonté autrichienne lors du traité de paix.
Et c'étaient ensuite la Bavière et Mantoue qui se reconnaissaient spontanément vassales de l'archiduché, impressionées par son réel amour de la paix et par sa volonté de protéger le Saint-Empire.
La paix avait donc permis finalement à l'Abbé d'élargir largement l'influence autrichienne, et de montrer à la face de tous que sa haine de la guerre n'était point qu'un mot...

Missives diplomatiques
Espagne : Cher cousin, vous etes bien revenus au pouvoir après l'étrange usurpateur Palafox ? Nous vous portons nos amitiés, et sommes surs que vous partagez notre amour de la paix.
France : Votre pays est certes encore morcelé, mais il s'agrandit rapidement au Sud et à l'Ouest et est fortement prospère...Nos félicitations !
Angleterre : Il n'est pas à douter que vous êtes le royaume le plus puissant de la chrétienté actuellement. Nous en sommes ravis, connaissant votre modestie et votre piété
Portugal : Il parait que votre dernier film "Je mets des régents au nom louche en Afrique du Nord puis je me tape Marie de Cressay, le tout en moins de 3 minutes" est un franc succès ! Esperons que vous trouvez aussi le temps de veiller aux assauts des infidèles en même temps ;)
Venise : D'une discretion exemplaire ces dernières années...Le doge est probablement absorbé par le négoce...
Suède : Continuez à vous préoccuper des affaires internes à votre pays de pingouins, et ne revenez plus en Allemagne...
Moscovie : Bravo pour votre victoire face aux infidèles ! Il ne vous manque plus qu'a arreter de critiquer toutes les actions de l'Autriche et nous deviendrons surement amis...
Empire Ottoman : Le Grand Turc est décidemment toujours aussi sanguinaire.... Mais veillez à ne pas avancer trop profondement dansles Balkans, ou il vous en cuirait...

Extraits de l'Histoire de la Scandinavie :

• Le Roy de l'Union de Kalmar dut faire face à la trahison du Landsraad qui placa sous sa protection les allemands de Kiel et du Holstein. Etants loin d'etre germanophiles, on peut expliquer ce retournement des suédois sous plusieurs angles : 1 - La volonté de plus en plus marquée des suédois de se detacher de la domination danoise. En 1419, les Grandes Maisons avaient non seulement obtenu les pleins pouvoirs sur l'Unionsraad, mais aussi, et c'est important, le fait qu'il y ai aucun intermediaire entre eux et le roy, donc absence de regent contrairement à la situation norvégienne. 2 - Les impots exorbitants demandés par le roy pour faire sa guerre contre le duché de Holstein. 3 - Le favoritisme danois, qui culmina avec l'affaire de Kiel ou les suédois furent "priés" de donner sans contrepartie leurs conquetes.
• Ce dernier incident fut la goutte d'eau en trop. Le retour d'Heinrich fournit le pretexte à la rebellion du Landsraad. Tenant Lund, les Grandes Maisons purent ainsi obtenir du roy d'enormes avantages, le principal etant le fait que des 1424, l'Unionsraad eu la hautes mains sur l'impot royal. Ce qui veut dire que des cette date, le Landsraad tient entre ses mains tous les pouvoirs régaliens.
• Le problème le plus important dans la période qui suit fut le manque de pouvoir centralisé : un roy absent, pas de regent, un conseil aux personalités ambitieuses. Tout est reunit pour entrainer une dizaine d'années d'instabilité politique. En 1426 pourtant, Heinrich de Holstein fut pressentit pour la regence, il mourra quelques mois plus tard.
• Pourtant sur la durée, on observe un accroissement de la clientelle, et donc de l'influence de Knut Karlsson Bonde. Très rapidement, aucune decision du Landsraad ne pouvant se faire sans son accord. A sa mort en 1432, son fils Karl Knutsson Bonde lui succéda.

Missives aux souverains estrangers :

Au Grand Prince de Moscou, Basile II :

Il est evident que nos 2 peuples ont interet à s'unir, nous avons au moins une menace commune : l'alliance polono-lithuanienne des Jagellons. Nous vous proposons un accord pour Narva :
- Cette cité vous reviendra dans un premier temps. Mais a l'avenir, si l'Ordre teutonique venait a disparaitre et que nous prenions, nous le royaume de Suède, part au partage, Narva devra alors nous etre rendu. Cela vous laisse grandement le temps de conquerir un accès vers le Pont Euxin.
- Il serait aussi grandement profitable de sceller une alliance pour pouvoir nous appuyer mutuellement en cas de conflit.


A l'Archiduc d'Autriche, Albert V :

Vos insultes envers le peuple de suède et le peuple russe trahissent votre mepris total pour nous. Elles ne seront point oubliées, et vous le regreterez amèrement a l'avenir.


Au Doge de la Serenissime République de Venise :

Nous sommes bien surpris de l'immobilisme qui s'est emparé de cette vieille ville, alors meme que le fourbe au nord prenait le controle de Mantoue, terre très riche qui se doit de vous appartenir. Si jamais vous avez besoin d'une aide exterieure pour retablir votre influence sur l'Italie, vous nous trouverez.

Régent à la Sublime porte Mehmet Al Chazam.

1434

Situation intérieure mauvaise, une grande instabilité (-3), un trésor à sec (3 en or en Avril), la guerre contre deux coalition (les Italiens, et Nogai).

Les directives sont pourtant très claires : Je dois maintenir une inflation à zéro, et éviter tout emprunt indésiré.

Néanmoins, la guerre nécessite l'entretien des troupes au maximum des possibilités, pour repousser toute tentative de débarquement de la Toscane, des Etats du Pape ou de Sienne. Nos alliés (Horde d'Or et Ak Konlyu) s'occupent de la guerre à l'Est.

C'est ainsi que pendant l'été 1434, deux régiments de Sienne, de près de 3000 hommes à pied et 3000 cavaliers cumulés sont anéantis par les 15 000 cavaliers de Mehmet II, notre Sultan.

Quelques mois plu tard, 15 000 Toscans sont à nouveau exterminés dans la privince du Hellas. Une paix blanche est ainsi signée.

Nous pouvons dès lors diminuer l'entretien des troupes et nous concentrer sur le retour à une stabilité correcte. L'inflation est restée à 0,2%.

Dans les années suivantes, l'effort se portera sur le retour de nos marchnts dans le CoT de Trace, où notre instabilité avait provoqué nombre de faillites.

Enfin, la décennie 1440 était marquée par la mise au pas de la Serbie, défaite lors de la bataille de Kosovo. Cette province nous était cédée, 150 Talent d'Or offerts en hommage et un traité de vassalité signé.

Mais (illisible) Serbie ne s'arrêtèrent pas là La Hongrie et son alliés croate dépouillèrent les restes.peu de temps après. Nous saurons nous souvenir de cet acte charognard.

A l'avenir nous souhaitons concentrer nos efforts militaires vers l'est.

En politique intérieur, le Sultant estime nécessaire de promouvoir nombre de baillis, ainsi que d'aider à l'implantation de nos commerçants. La situation est enfin stabilisée, les revenus réguliers, les marchants en Trace solidement implantés.

(Suite du parchemin illisible, Mémoires d'un régent traduction anonyme, milieu du XVème siècle)

Karl VIII Knutsson Bonde, Kung av Sverige





12 des Kalendes de Novembre, An de l'Incarnation du Verbe 1439, l'Aalborg vient d'apareiller, à son bord Magnus, danois de son état. Il est chargé d'annoncer une bien triste nouvelle au Landsraad.



- Mes Seigneurs, le Roy est mort !

Karl Knutsson Bonde remarqua alors que le vieux Erik Karlsson Vasa ne cacha pas un sourire qui en disait long. Ce sourire se mua vite en larmes de joie. Oui Erik était bel et bien mort...Le peuple suédois avait oublié depuis le temps que le Landsraad avait pris les reines du pouvoir, il avait oublié a quel point ce Roy pouvait etre cruel. Mais lui Erik Vasa, il n'avait pas oublié.
Son fils, Johan Eriksson Vasa brisa le silence :

- Mais qui est le nouveau Roy ?
- Je suppose que les danois vont arrivés dans quelques semaines avec leur nouveau Roy et une garde suffisament nombreuse pour nous obliger à l'élire.
- Nous devons les devancer, c'est impératif. Les danois sont des mécréants, ils ont déja imposé leur langue aux norvégiens. Ils veulent devenir les maitres de la Scandinavie.

Karl Knutsson réfléchit un temps à ces dernières paroles avant de dire :

- Très bien je propose de convoquer l'host immédiatement, mais si nous n'élisons pas le souverain des danois, il nous faut en trouver un autre.
- Qui seraient donc les prétendants ? Allons nous encore une fois chercher notre Roy chez les allemands ?
- Hors de question !! Notre Roy sera suédois ! Nous ne pouvons nous permettre de rester dans une telle situation avec des monarques etrangers. Cela ne peut nuire qu'a notre puissance.
- Je suis effectivement d'accord avec Karl, nous devons renforcer le pouvoir royal pour faire face a l'avenir a certaines menaces exterieures. Moi Erik Karlsson, je propose d'élire Roy Karl Knutsson ici présent, et cela pour l'interet du Landsraad.


7 Jours plus tard, Karl Knutsson devenait le 8e Karl a monter sur le trone de Suede. Kristofer of Bayern, le nouveau Roy du Danemark ne fit rien d'autre que de ne pas le reconnaitre publiquement. Adoph de Holstein vint personnellement à Stockholm preter hommage à son nouveau Roy.

1443, Madrid, palais impérial.





Jean II, notre bon Roi, toujours vert malgré son âge canonique, couchait avec toutes les princesses que les pays européens lui envoyaient avec toujours la même dignité : il ne faisait qu’accomplir son devoir de souverain :p: .



Puis, comme il avait bon cœur et qu’il était très pieux, il fournissait aux ex-pucelles un noble de sa cour, cela faisait toujours plaisir (c’est ce qu’on appelle le droit de cuisage:) ). Malheureusement, cette politique des sens attira les nuages noirs sur notre beau pays lorsque notre allié aragonais trouva intelligent d’attaquer la Navarre : quatre mariages royaux cassés:?: .



Arriva un homme sage et avisé… Don Danton naturellem… ah non, Alvaro de Luna :loose: . « Pousse toi de ce trône que je m’y vautre à mon tour et amène les princesses ici, oui la comtesse Iuliana aussi ». Ce fut le début de la guerre civile, les fils du Roi refusant de céder leurs favorites aux caprices du bel éphèbe. La Cantabrie et l’Andalousie se soulevèrent, mais la victoire revient tout naturellement au meilleur, à l’idôle de ces damoiselles. Des centaines de bâtards virent le jour pour fêter comme il se doit ce triomphe : orgies sur orgies, femme sur femme, on savait vivre à Madrid !



Les gueux avaient la vie plus difficile et se soulevèrent deux fois en moins de dix années : tous des impuissants jaloux de l’énergie virile d’Alvaro :tongue: .







A notre ami l’Archiduc : nous vous avions pourtant prévenu ! Les bohèmiennes ne sont pas des femmes faciles ! Tournez votre regard lubrique dans une autre direction et vous trouverez toute satisfaction.



A notre voisin et ami portugais : merci pour le raccommodage de nos chaussures, vos talents de cordonniers sont vraiment admirables. Nous espérons maintenir de bonnes, et même d’excellentes relations car nous avons toujours besoin de vos compétences : il nous faut souvent changer de chausses en effet :lol: .



Au Roi d’Angleterre. Nous savons que la Reine est très belle, mais, de grâce, songez aussi parfois aux affaires de votre pays.



Au Sultan : restez donc dans votre harem, c’est là un sage et plaisant conseil que nous vous donnons.



Au Roi de France : il n’y a pas que la guerre dans la vie ! Venez donc passer quelques semaines à Madrid et nous vous ferons découvrir tous des plaisirs sont vous ignorez actuellement même l’existence. La survie de la lignée royale française est peut-être même en jeux ;) .



Au grand fan de Palafox : comment se porte vos pingouins ? Est-il vrai qu’ils remplacent les femmes dans votre si étrange pays ?



Au grand duc de Moscovie : savez-vous que l’empire ottoman, s’il est bien gouverné, peut devenir une très grande et dangereuse puissance ? Oserons-nous le dire, nous savons de quoi nous parlons :chicos: .



Au Doge. A vous qui vous êtes déjà et depuis longtemps adonné aux sept pêchés capitaux, nous n’avons rien à dire. On raconte que les orgies sont incessantes à Venise, cela nous fera au moins un point commun.

De la prise de Tver à l'annexion de Suzdal ! Une Russie naît...




De toute guerre ne peut naître que mort, ruine et désolation, tels furent les mots des boyards, quand ils apprirent qu'en pleine bataille face aux mongols, Pskov également nous déclarait guerre. Peu d'entre eux avaient voulu soutenir le Grand Prince dans la défense de la principauté quand la Horde d'Or tenta d'envahir et de soumettre la Principauté. Encore moins acceptèrent de verser l'impôt de guerre pour défendre Moscou face à l'armée Pskovienne qui avançait rapidement sur nos terres, faute de résistance.
Heureusement, Patrikeev, main armée de Dieu en nos plaines et serviteur du Prince alla vaincre les tatars jusqu'à Samara. La victoire moscovite fut totale et les mongols ne purent que reconnaître leur défaite, malgré leur largement plus grand nombre. Tambov et les régions avoisinantes furent offertes en compensation, alors que nombres de soldats russes étaient d'avis à aller encore plus loin ibèrer nos frères de la domination musulmane.

(...)

Tver fût donc la nouvelle destination de l'armée Principautaire, gonflée par des levées de milices, volontaires ou non, dans les villages et régions traversés par ce long convoi toujours à court de vivre mais pouvant compter sur la générosité des Seigneurs locaux... même si il fallut les inciter par la menace parfois.
Rapidement, les batailles en rase campagne mirent à terre les troupes de pskov et le siège des deux grandes villes régionales, Tver et Pskov put commencer. Ces marchands de Novgorod profitèrent de l'occasion pour eux aussi attaquer Pskov. Et à la fin de la guerre, Moscou se contenta de Tver, Novgorod annexant le reste du territoire. Moscou grandit encore, mais Novgorod également.

(...)




Dans sa lutte avec Novgorod pour la domination en Russie, Moscou se livra à la prise de nombreuses villes pour grandir, grossir, et accroitre sa force. Seule Suzdal parvint à longtemps rester indépendante, malgré une population et une richesse (denrées rares dans ces contrées de l'Europe) qui eurent put confortablement consolider la Moscovie.
C'est dans les années 40 du XVème siècle de l'ère chrétienne, que Moscou achèva l'inclusion à ses territoires de Suzdal. Le monde russe libre (la moitié du monde russe total, la différence appartenant alors soit aux lithaniens soit aux mongols) se retrouva divisé en deux parties égales... L'une sous l'autorité de Novgorod, dirigée vers la Baltique et le commerce, l'autre sous le pouvoir déjà centralisateur de Moscou, tournée vers l'Oural et les terres centrales où les premières populations ne tarderaient à prendre pied.

Suzdal:

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(nota : désolé pour le retard)

Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er janvier 1426
Personnages : Charles VII, Le grand chancelier (GC), le grand argentier (GA), Richemont et Jeanne d'Arc



Jeanne : Il faut attaquer, mon Roi, liberons la france. Nous recevons des encouragements même de la Suède
Le Grand Chancelier : Des encouragements ou un incitation au suicide ?
Le Grand Argentier : Avec quel or ? nous devons des fortunes aux banquiers lombards !
GC : De plus le nouveau régent anglais Sir Gwann vient de nous faire des propositions, ma foi très sympathique ...
Jeanne : Non, nous devons attaquez, la Provence est assiégé par les anglais
Richemont : non Jeanne, pas par les anglais, mais par ces traites de Bourguignon et le Holstein
Charles VII : Il dit vrai, Jeanne. Nous devons pensez aux impôts qui écrasent le pays, nous devons pensez à nos soldats, c'est trop tôt
silence
Charles VII : la proposition anglaise est sérieuse nous racheterons notre propre terre ... Sir Gwann, le nouveau régent anglais, a raison
Jeanne : ...
GC : Certe votre majesté mais pendantce temps il profite de notre indisponibilité pour asservir l'Ecosse


même endroit, 2 ans après (1428)
GA : nous amassons l'or, majesté, nous allons terminé de payé nos dettes d'ici 3 ans
Charles VII : bien
Jeanne : Et maintenant, mon roi ?
Charles VII : rien, cette stupide guerre entre le Bourdonnais et le Poitou nous a mis au ban de l'Europe. Notre réputation a trop souffert (NDT BB = 7.2)
Jeanne : mais ...
Charles VII : patience, nous n'avons aucune alliance à part nos 2 vassaux survivants
GC : Majesté, les sucessions du Bourdonnais et de l'Auvergne arrivent bientôt, nous pourrions ...
Charles VII : faites

même endroit, 2 ans après (1430)
Charles VII : UN DESASTRE, UN FIASCO, ....
GC : Mais majesté
Charles : SILENCE ... non seulement le Bourdonnais est toujours indépendant mais l'Auvergne nous refuse maintenant son serment de vassalité ...
GC : mais la diplomatie est la seule voie, nous devo...
Richemont : Ca reste à prouver
Charles VII : SILENCE ... je vous laisse une chance, une seule chance ...
...
GC : ... bien, majesté ...
Charles VII : Et l'Ecosse ?
Richemont : toujours en guerre, aucune alliance n'est possible
Charles VII : Mais enfin, ils sont en guerre depuis combien de temps ? 10 ans, 12 ans ... et la Savoie ?
GC : ... rien votre majesté, déjà allié avec des princes allemands
Charles VII : la suisse ?
Richemont : en guerre
Charles VII : la Lorraine ?
GC : déjà allié
Charles VII : La Navarre ?
Richemont : Elles nous entrainerais dans une guerre avec l'Aragon et donc avec la Castille ...
Charles VII : Seigneur, cela ne finira donc jamais. ... nos dettes
GA : (grand sourire) remboursé, majesté. nous commencons à mettre de côté


Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er janvier 1433

GC : Majesté, nous avons réussit. Le bourdonnais rejoint notre nation
Charles VII : Bien, et nos armées
Richemont : nous avons enfin rétabli la situation. Nous pouvons compter sur 35.000 hommes et surtout nous avons maintenant de jeunes officiers de valeur. Votre demi-frère le comte de Dunois montre de grande valeur ainsi que certain de ses compagnons


Charles VII : Bien, Jeanne ...
Jeanne : ...
Charles VII : Jeanne, tu dois comprendre, sans alliance, avec des dettes et une armée à peine remise nous n'avions aucune chance. Surtout il faut que tu comprennes que le monde est rempli de charognard aux agguets qui nous auraient poignardés dès la fin de la guerre avec l'Angleterre terminé. ... Maintenant que la situation est rétabli nous pouvons nous tourner vers les anglais pour négociez

Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er mai 1434
Personnages : Charles VII, Richemont, Jeanne d'Arc, Dunois, Le grand chancelier (GC) et le grand argentier (GA)


Un messager entre dans la salle du conseil
Messager : Majesté, Sir Stratcom vient de prendre la tête de la régence anglaise
GC : Encore un nouveau régent
Charles VII : Et nos accords de ventes
Messager (blémit) : Heu, ... Sir Stratcom a déclaré qu'il ne laisserait certainement pas les provinces continentales aussi facilement ...
GC (vert de rage) : Nous avons sacrifié l'Ecosse pour rien !
Charles VII : Mais il refuse ou il veut augmenter le prix ? ...
Messager : Il a déclaré qu'il verrait ce problème directement avec votre majesté ...

Un second messager entre en courant dans la salle

Second messager : Majesté, Majesté
Charles VII : Quoi ?
Second messager : Sir Stratcom vient de se faire poignarder par un assassin.
Charles VII : Qui ?
Second messager : On soupconne Lord Billou d'XP d'avoir personnellement commandité le crime. sir Stratcom va survivre mais il lui impossible d'assurer la régence.
GC : Quel est le nouveau chancelier ?
Second messager : Sir IA de la maison Consanguin a pris par défaut le contrôle de l'état anglais
GC : C'est impossible, il vient d'usurpé le trone de l'Autriche
Second messager : Il s'agit de son frêre jumeau, Sir IA demeuré, grand Chancelier
Richemont : C'est bon pour nous ou pas ?
Charles VII : Catastrophique !!! Nous ne pouvons ni rachetez nos provinces, ni les reprendre de force
Jeanne : Comment ?
Charles VII : Sir IA est protégé par toutes les familles régnantes d'Europe. Aucune reconquête ne sera validé diplomatiquement.
Jeanne : Je mourrais de vieillesse sans avoir pu combattre une seule fois pour reconquerir ma terre natale ? Les anglais nous attaquent, profite de nos faiblesses et nous quand nous pouvons contre-attaquez : non, interdit. C'est injuste !!!
Charles VII : Oui !


Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er mai 1436

GC : Majesté, la Bourgogne vient de quittez l'alliance anglaise suite aux désordres Ecossais
Charles VII (un sourire sinistre aux lèvres) : RICHEMONT !
Richemont : Majesté ?
Charles VII : Ecrase la Bourgogne !

Voix off : Ainsi, eu lieu la vassalisation de la Bourgogne

Localisation : Paris, France
Lieu : Conseil royal, palais du Louvre
Date : 1er janvier 1438

Charles VII : Quelles sont les réponses des familles régantes
GC : un silence poli dirons-nous
Charles VII : C'est le quatrième messager
GC : Ils n'ont d'yeux que pour l'imposture Autrichienne
Charles VII : l'abbé Coelio a-t-il été rétabli dans ses fonctions ?
GC : Oui majesté mais il désespère de l'héritage de Sir IA benêt. Il compte instruire procés contre la maison Arnaque&Wanadoo pour leur forfaiture
Charles VII : contre ses escrocs sans foi ni loi ?
GC : Oui
Charles VII : Bonne chance à lui. Mais la question anglaise ?
GC :L'Europe s'en moque ou n'écoute pas ...
Charles VII : ...

Dunois, couvert de pousière et consterné, entre dans la pièce


Dunois : Majesté, L'Angleterre vient d'annexer la Bretagne !
recul de toutes les personnes autour du roi, à l'exception de Jeanne
Charles VII (pale comme la mort) : Puisque l'on se moque de nous, je m'en lave les mains ...
Jeanne : ...
Charles VII : oui, Jeanne, tu avais raison. J'aurais dû poignarder lord Gwann dans le dos quand j'avais eu l'occassion ...
...
Charles VII : GUERRE !!!!!



Voix off : Les réactions diplomatiques furent ... "vives", dirons nous. La guerre dur mais rapide. L'Europe coalisé nous autorisa à reprendre 2 provinces. MAis le plus important fut qu'un consensus s'établit pour reconnaitre que la régence chaotique anglaise était source de grand désordre. C'est ainsi que Sir Iznogoud devint calife a la place du Calife (désolé je n'ai pas pu resister à la tentation :honte: ) ... heu ... devint régent de l'Angleterre. Mais cela est une autre histoire.

Les chroniques de l'Abbé : 1434-1443

Ils avaient réussi...
Un coup d'état mené rapidement par les opposants de l'Abbé, en ces sombres heures de janvier 1434 avait réussi...
Notre faible prince était subjugué par un damné favori, venant d'un trou perdu de Guyenne anglaise, un nommé Don Leaz...
A son arrivée à la cour, Don Leaz s'était immédiatement heurté au pouvoir de l'Abbé, qui désapprouvait la présence près de l'Archiduc de ce jeune homme irresponsable et effeminé....
Il s'en était plaint plusieurs fois au souverain, qui n'avait, comme souvent, rien tranché.

Mais cette lutte entre l'Abbé et Leaz allait tourner en défaveur de l'Abbé : après une folle de nuit, le vil courtisan soutira à l'Archiduc un ordre d'arrestation de l'Abbé, qui fut séance tenante jeté en geole dans une cellule de son ancien monastère.

Il resta 5 ans.
5 ans sans aucune nouvelles du monde, 5 ans à ruminer sa revanche contre ce vil Don Leaz, à se demander qui tirait les ficelles de ce complot (le Doge fou ? notre machiavelique cousin d'Espagne ?)...
Mais surtout 5 ans à s'inquiéter du destin de son pays, et du sort de son peuple. L'Abbé savait que sans lui, l'archiduché était en péril.

Ce fut d'ailleurs ce péril qui sauva l'Abbé : sous la houletted e Don Leaz, en effet, l'Autriche ruina totalement les années d'efforts de l'Abbé en guerroyant inconsidérement contre tous nos amis allemands et italiens...L'armée était en déroute, les étrangers occupaient nos provinces.... Le pays était dans l'impasse.
Le bambin Ladislas Postumus, monté sur le trône autrichien, n'était évidemment pas de taille à affronter ces périls.
L'Abbé redevenait le seul recours.
Le bon peuple de Vienne finit par défoncer les portes de la prison abbatiale pour délivrer l'Abbé, qui fut porté en triomphe au Palais, où le jeune monarque le supplia, en pleurant, de sauver son état.

L'abbé triomphait à nouveau.
Sa vengeance fut froide et terrible. Le vil Don Leaz fut castré, sodomisé par un auroch nymphomane puis jeté en pâture aux lions impériaux qu'élevaient les Habsbourg.

Puis l'Abbé agit. Rapidement.
Il prit aussitôt contact avec les grands monarques de l'Occident, leur demandant leur aide pour sauver l'Autriche de la ruine. Les négociations furent rudes, car si certains, tels notre bon cousin espagnol, nous soutinrent avec vigueur, d'autres, tel le ville grand duc de Moscovie, était bien arrangé par les problèmes de notre Etat.
Finalement, l'Abbé parvint à arracher de la communauté internationale un retour des provinces perdues par l'Autriche durant l'usurpation de Don Leaz, mais fut débouté de ses demandes de subsides...
Las... il leur montrerait bien, à tous, que l'Autriche avait de la mémoire et de la ressource.

Toujours est-il que rapidement, il se remit au travail : diplomatiquement, bien des choses s'étaient produites : notre ancien allié de Bohème, cause de bien des malheurs, était apparemment devenu fou et annexait à tour de bras dans le Saint Empire...
Il faudrait surveiller tout ca.

Plus modestement, l'Abbé obtint un nouveau succès, avec la suzeraineté obtenue sur l'Oldenbourg, qui signait le retour de la triomphale marche en avant autrichienne....

Diplomatie
Espagne Mon cher cousin, votre amitié nous a été d'un grand réconfort en ces temps troublés. Soyez assuré de notre soutien quand vous en aurez le besoin.
France Que de guerres, que de guerres.... Nous ne jugerons point vos combats contre l'Anglois, qui ne nous regardent pas. Nous protestons par contre fermement devant la tutelle innaceptable que vous imposez à notre cousin de Bourgogne.... La Bourgogne est terre impériale, sire de Valois...Ne négligez donc point trop l'avis de l'Autriche à ce sujet
Angloiterre Vous avez aussi connu comme nous les affres d'une révolte de palais....Esperons que vous retrovuerez comme nous un peu les bienfaits de la stabilité...
Suède Nous vous remercions fort de votre aimable missive, et ne voyons aucune raison de ne point reconnaitre en vous le suzerain naturel de la Baltique...hormis les parties appartement au Saint-Empire bien entendu...
Or, vous possédez toujours une suzeraineté innaceptable sur l'Etat souverain du Holstein... C'est le seul point d'accroc à ce qui pourrait etre une parfaite amitié entre nos peuples
Portugal Chalout cha va ? Fait pas trop chaud chez vous ? Mes amitiés à votre vassal, le célèbre et immortel Languedoc d'Afrique du Nord, qui fait beaucoup rire les enfants viennois
Moscovie Des brutalités à tout va contre des chrétiens plutot que contre des tatares, une mauvaise volonté évidente à soutenir le sauvetage de l'Autriche....nous ne vous saluons pas !
Venise On n'entend plus parler le doge, sinon pour annoner des prétentions absurbes sur un vassal autrichien.... Ma foi continuez à commercer, et n'oubliez pas que l'Autriche est toute prête à vivre en bonne entente avec vous...
Empire Ottoman Que de brutalités, que de pillages, que de chrétiens tués par vos janissaires... Encore une fois, grand Sultan, prenez garde de ne point dépasser les limites...

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1er janvier 1459

• Moscou a durement batailler pour rembourser ses prets. Résultats, une inflation gallopante. Néanmoins il y a gain de 3 provinces a l'est avec la dissolution du Khanat de la Hordre d'Or.
• La Suède a fait continuellement la guerre contre les marchants russes qui ont combattu avec courage pour leur survie. Hélas pour eux, la guerre civile naissante signe leur arret de mort. Dans cette guerre, le Holstein a ete illegalement annexé par l'Archevêché de Breme.
• L'Infidèle se prepare lentement mais surement a la guerre contre ses voisins. Frères catholiques, faites attention.
• L'Autriche a batailler contre la Bohème, et en a retiré les sudetes. Son vassal bavarois lui a bien grossis et a meme rompus sa vassalisation un cours moment.
• La Serenissime semble pris de letargie, il est vrai que les orgies romaines permanentes doivent fatigué le Doge. Mais il n'en est rien. Un monopole a Alexandrie.
• La France a rafler a l'anglois une bien grosse partie de ses terres continentales. Pendant ce temps, son vassal bourguignon conquiert le SERG. Selon nos sources, la guerre dite de cent ans est finie. Mais je ne le croit pas, la construction d'une flotte d'invasion de 25 navires, et les effectifs astronomiques des armées françoises ne peuvent signifier qu'une chose...
• La Castille et le Porto continuent a se renforcer économiquement.

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• Moscou a bouffer Novgorod et a deplacer le CoT dans sa capitale. Le pauvre est en train de batailler durement pour expulser les marchands opportunistes portugais, polonais et autrichiens. :poursuit:
• La Suède a fini sa longue guerre contre les allemands en prenant la Carelie chretienne. Le perfide souverain suédois a laisser son allié danois se faire écrasé et a recolté une partie des gains ainsi gagné coté allemand. ( Contre 90 k il pouvait pas faire mieux )
• La Pologne panse les plaies d'une mauvaise gestion depuis des lustres. Dans son interet, la Pologne devrait vassaliser la Poméranie et eviter de construire une flotte.
• L'infidèle, apres une victoire a la Pyrhus contre la Géorgie s'est pris une branlée mémorable face a Mathyas Corvin. Le combat fut tres rude et de nombreux pingouins moururent des deux cotés. La paix fut conclue mais la Sublime Porte ne va pas se relever de sitot.
• Le Doge, a la Grosse ..., a enfin quitter le nid douillet de son harem pour commencer a s'interresser aux affaires du monde. Il a tenter d'acheter le Pelopponese a l'Infidèle. De plus il a subitement decouvert que Mantoue serait preferable d'etre italienne que allemande. L'Abbé a comme d'habitude abbéyer et montrer ses belles dents.
• Comme dit plus haut, l'Abbé abbéoit sur tout ce qui bouge, sauf sur la France et la Pologne. allons savoir pourquoi :mrgreen: .
• La France est la premiere puissance. Un gros revenu, une grosse armée, une bonne flotte. Reste que l'infla monte vite, et la resistance bretonne s'organise, bientot les premiers sabotages. Le mieux serait rendre l'independance a l'Empire Celestissime Breton.
• Le Roy anglois s'est retranché dans son ile contre quelques ducats francais. Y a t-il eu bradage de terres ou non ? Une chose est sure, il n'avait pas trop le choix.
• Sa Magnificence, Souveraine du Pays de la Fourberie a beaucoup dormi.
• Quand au lointain seigneur du Porto, apres nous avoir fait gouter son vin, s'en est retourner dans ses colonies.