Déclaration du roi de Scandinavie, Frederik III, grand defenseur de la foi protestante.

A la Sublime Porte et au Mamelouk: Nous recommençons encore une fois nos
demandes, abandonnez la Pologne, ou nous continuerons le blocus de vos cotes, meme
si cela fait du tord à vos pauvres pécheurs qui la plupart du temps s'abandonne à la
piraterie sur les cotes des états chrétiens! Notre marine restera sur place le temps qu'il
faudra, le blocus suffit amplement à payer les soldes de nos marins, soyez en prevenu.


A l'Empereur: Nous sommes heureux de partager cette guerre avec un prince si
chrétien malgrès le fait que vous restiez fidèle à l'église romaine. Nous ésperons pouvoir
libéré le peuple polonais et lituaniens du tyran qui les diriges et chatier tout les appuies
du sultan en cette région. Nous avons le projet de descendre suivit de la cour de
Scandinavie à Vienne pour nous rapprocher du cour de la guerre et encourager plus
vivement nos soldats à quelques coups de mains.


Aux Royaumes unies: Très cher roi des royaumes des iles britanniques, sachez que
nous surveillons la situation de votre ile, avec la plus profonde attention. La cour discute
beaucoup des peuples de vos états ayant rejoint la réforme que nous défendons, sachez
que votre convertion nous ferrez grand plaisir et que nous pourrions parler ainsi
d'alliance entre nos deux états.


Au Portugal: Seigneur du Portugal, nous vous demandons le retour des terres
d'Islande spolié à la norvège lors des guerres franco-anglaise, sans se retour nous
mettrons le blocus sur vos cotes dès que la croisade sera fini, pour nous les faires
retrouver!


A la Russie: Très grand protecteur de la foi orthodoxe, depuis déjà plusieurs décennies
vos forces avance vers l'ouest, annexant en littuanie des terres qui vous revienne de
droit, mais aujourd'hui une partie de vos frontières touchent des provinces protestantes,
et sachant que bientot le roi de Pologne ne régnera plus sur ces provinces, nous
aimerions que vous les laissiez libre. Toute autre province d'une autre confession ne
nous interresse pas et soutenons toute annexions de votre part sur celle-ci.

Déclaration du Sultan :

A nos adversaires : Notre Empire n'est pas une île. tenez le vous pour dit. Vous avez beau en faire un blocus partiel cela n'amoindrit ni notre puissance ni notre volonté. Votre guerre n'est qu'une stupidité sans nom typiquement chrétienne. L'ardeur avec laquelle les troupes polonaises combattent montre à quel point vous vous trompiez lorsque vous pensiez que le roi de Pologne était mécontent de ses rapports avec nous.
Avec une sagesse remarquable pour un chrétien, il a compris qu'il ne pouvait compter sur aucun de ses coreligionnaires pour assurer sa sécurité face à l'ombre de l'est. Cette sagesse vous fît grandement défaut quand, par deux fois, vous repoussiez mes propositions de paix qui préservez un minimum votre honneur.
Vous n'obtiendrez jamais rien de durable par la force avec nous. Je pensais que l'empereur-fou l'avait compris...

Aux chrétiens : je vous invite très sérieusement à prendre en considération l'annonce faite par notre allié et ami le sultan des Mamelouks. Il ne sera toléré ni à Alexandrie ni à Istanbul qu'un chrétien pose le pied sur une terre musulmane. La multiplication des guerres de chrétiens contre les Etats musulmans d'Afrique du Nord (Castille, Venise) doit immédiatement cesser. Le Maroc doit retrouvé son indépendance complète et indiscutable. Nos représailles pourront aller de la sanction commerciale à la guerre.


Message personnel à l'empereur : votre allié actuel, le roi des infidèles scandinaves, vient de faire une déclaration surprenante. Il a clairement fait savoir au Tsar qu'il pouvait agresser des catholiques tant qu'il ne touchait pas à ceux qu'on appelle protestants. L'Empereur, autoproclamé défenseur des catholiques, rejoint-il cette déclaration ?

Petite histoire de Venise

Après le revirement de la politique étrangère de la République, plus favorable à la France, nos marchands purent revenir commercer dans le centre de commerce de Paris, le Roi de France levant l’embargo, pendant que partout ailleurs nos marchands reprenant du poil de la bête permirent au trésor vénitien de dépasser le seuil symbolique des 100 000 ducats par mois, qui n’avait plus été atteint depuis longtemps.

Pendant que d’autres nations continuaient d’annexer à tout va comme à leur habitude, aucune nouvelles possessions n’entra dans le domaine de Venise par les armes. On notera juste l’achat de l’île de Rhodes aux Mamelouks d’Egypte contre 450 000 ducats d’or seulement.




La guerre Venéto-castillo-anglaise

Alors que les barbares pirates Mauresques, venant des côtes algéro-marocaines recommençaient à ravager l’Italie par leurs raides suprises, la Doge Commachio décida de lancer contre eux une expédition punitive qui devait permettre de détruire encore une fois les navires arabes, cependant qu’aucuns territoire ne serait annexé, Venise n’y ayant là aucun intérêt.

Quelle ne fut pas notre surprise, quand le Roi de Castille osa nous menacer d’un ultimatum, nous interdisant tout simplement de traverser le détroit de Gibraltar, en conséquence de quoi il nous déclarerait la guerre. A vrai dire, ce prétexte absurde se révélant totalement fumeux (le Roi de Castille s’intronisant protecteur des royaumes musulmans d’Afrique du Nord fit bien rire toute la place Saint Marc), nous n’y prêtâmes guère d’attention, et les opérations au Maroc se poursuivirent. Mais quand on nous signala que des troupes espagnoles descendaient du nord marocain vers Ifni où nous avions débarqué (troupes espagnoles encore présentes du fait de leur dernière guerre, remarquez l’ironie de la situation), notre petit corps expéditionnaire tenta de résister de la façon la plus brave possible, mais devant le nombre ils durent plier bagage et rentrer en Italie. La flotte d’évacuation rencontra une escadre espagnole devant Tanger, et le combat s’engagea au profit d’une écrasante victoire de Venise, celle-ci annihilant l’escadre ennemie.

Une fois ces évènements passés, la guerre fut des plus calmes, et se borna à l’arrestation de quelques navires de commerce des deux partis. Cependant la République préparait une offensive majeure : à l’Arsenal un nombre considérable d’ouvriers, de charpentiers, de marins et de soldats se massait secrètement, préparant la sortie de la Flotte vers les colonnes d’Hercule, puis la capture des îles de l’Atlantiques telles que les Açores, Madères et les Canaries. En effet, le Roi du Portugal eut la mauvaise idée de se joindre au conflit contre nous, tout comme l’Angleterre dont nous ne saisissons pas bien le rôle et l’intérêt dans cette affaire. Pour la Doge, il fallait profiter de cet état de guerre non provoqué par Nous pour acquérir les Açores, permettant ainsi enfin à nos navires d’exploration, à nos marchands et peut être à quelques courageux colons de Venise de s’établir et de faire fortune sur le nouveau continent découvert par les français et mis en valeur au nord par les anglais.

Le voyage se déroula sans encombre. S’ensuivit la conquète rapide de Madères, et des Canaries comme prévu. La flotte croisa au large des côtes andalouses les navires castillans, appuyés par une escadre anglaise. Les lâches au lieu de combattre préférèrent rester à l’abri dans leurs ports. C’est quand nos troupes débarquèrent à Ponta Delgada que les anglo-castillans se décidèrent à venir à notre rencontre au large des Açores. S’ensuivit donc une colossale bataille où encore une fois, nos marins montrèrent leur invincibilité totale sur les mers : malgré un avantage numérique pour l’ennemi anglo-castillan, toute sa flotte fut pulvérisée, soit plus de 30 navires, et nous ne perdîmes que nos navires de transport, ce qui nous empêcha cependant de rapatrier nos 4 000 hommes des Açores conquises.

Sachant qu’en outre, la Castille possédait de nombreuses flûtes, si notre flotte devait à revenir en Italie pour récupérer de nouveaux navires de transport, nul doute que la Castille déciderait de reprendre les Açores. Ceci fut mis à profit par Marco dans le but de piéger les espagnols : notre flotte se retira totalement en méditerranée, prenant soin de donner du canon devant les forts de Gibraltar, signalant à l’ennemi que la route des Açores était libre. Le nigaud Roi à Madrid tomba dans le piège en lançant tout ses navires de transport sans escorte, avec à son bord 7000 cavaliers : toute la noblesse du Portugal et de Castille participaient à l’opération. Celle-ci fut comme prévue un désastre total : non seulement nos forces des Açores les repoussèrent, mais encore notre flotte arriva dans le dos des ibériques quand ceux-ci étaient en pleine évacuation : leur flotte fut poursuivie et décimée, et les navires de transport capturés permirent de rapatrier nos troupes en Italie sans que nous ayons eu besoin d’en construire de nouveaux.

Venise avait montré son invincibilité totale au niveau maritime : pas une flotte du monde connu n’est dans la capacité de nous mettre en échec. Maigre lot de consolation pour ce qui allait adevnir par la suite.



La brouille franco-vénitienne et la paix blanche

Alors que nous étions en droit de réclamer les Açores ( et uniquement cela au Portugal, ce qui ne lésait nullement la Castille), le Roi de France envoya une ambassade à Venise pour nous sommer littéralement de proposer une paix blanche à la Castille, sinon quoi il nous déclarerait la guerre pour y mettre fin…

Devant la pression de l’invincible armée française, nous dûmes céder de mauvaise grâce et la paix générale fut conclue.

Il s’ensuivit une réunion diplomatique au sommet à Milan où les différentes positions furent expliquées, ou le Doge fou de rage menaça d’abandonner toute relation avec la France après cette acte de quasi-demande de vassalisation. Fort heureusement pour tous, le Roi de France reconnut s’être trompé et fit ses excuses à la République, et le Doge lui pardonna, comme jadis le contraire eut lieu. Des quiproquos, des mauvaises rumeurs, et une incompréhension mutuelle provoquée par les agents espagnols furent la cause de cette crise. Un accord fut signé et les rancunes oubliées.






Diplomatie :

A la Sublime Porte et au Sultan du Caire : Nous avons bien compris vos demandes vis-à-vis du Maroc et de l’Algérie, et croyez bien que la République de Venise, ayant montré sa neutralité dans le conflit actuel entre union de Kalmar et ottoman, saura faire en sorte que les marchands vénitiens ne soient pas inquiété dans leur commerce à Alexandrie et à Istambul. Tant que d’autres centres de commerce ne seront pas découverts pas nos explorateurs, nous feron tout pour que nos relations soient les meilleures possibles.



A l’Autriche et à Kalmar : Nous ne pouvons qu’approuver vos demandes vis-à-vis de la libération de la Pologne d’une quelconque emprise, que celle-ci soit musulmane, orthodoxe, ou encore … protestante. Mais la guerre et les horreurs qu’elle apporte ne nous semblent pas être la meilleure des solutions, d’où notre neutralité. Des négociations sont ils en cours ? Venise peut jouer le rôle de médiateur si les deux parties le souhaitent.

A l’Angleterre : Nous souhaiterions des éclaircissements vis-à-vis de votre position clairement anti-vénitienne dans le dernier conflit avec la Castille : vos navires ont ouvert le feu contre les nôtres et ont été détruit. N’oubliez que vous avez libre droit de commerce… ce libre droit pourrait être remis en cause si des explications claires ne nous sont pas fournies. Nous vous considérions comme une nation amie après tout ce que nous avions fait pour vous. Dans l’attente de votre réponse nous restons dans l’expectative.

A la Castille : nous ne comprenons vraiment pas d’où vous vient ce sentiment anti-vénitien. Si vous souhaitiez engager des discussions vis-à-vis du problème colonial, qui semble être la cause de nos dissensions, nous sommes ouverts à toute proposition.

Il est étrange que la prochaine colonisation vénitienne fasse tellement peur à autant de pays alors que Venise a montré à tous qu’elle était la nation la plus pacifique de méditerranée… Venise n’aspire pas à une quelconque puissance militaire ou à une quelconque hégémonie puisqu’elle a tout à fait conscience qu’elle ne pourra jamais se targuer d’un tel rôle. Le libre droit de commerce suffit déjà à faire de Venise une nation amie pouvant se révéler très généreuse quand le besoin s’en fait sentir. A ce propose nous nous inscrivons en faux vis-à-vis des accusations autrichiennes : l’Empereur disant que Venise ne lui aurait pas envoyé une seule caisse d’or dans sa dernière guerre contre la Hongrie alors qu’il n’en est rien.

A la Russie : les peuples barbares de l’Est du monde ont besoin d’une main de fer pour maintenir l’ordre que leurs instincts animaux peuvent dicter. Nous reconnaissons en vous cette main, et souhaitons que vous puisiez apporter quelque bribes de civilisations en ces terres glacées.

A la France : Suite à l'épidémie de peste qui ravage actuellement la campagne française, provoquant des désordres cataclysmiques, nous vous annonçons que tout personne en provenance de la ligne Milan-Gènes est désormais interdite de passage sur les terres de la République. Seul le paiement d'un droit de passage de 5 ducats d'or par personne après une quarantaine de 40 jours est toléré. Si le fléau venait à se propager davantage, les conséquences en seraient terrible, n'oubliez pas la dernière peste noire ! Nous invitons donc toutes les autres nations à faire de même et à prendre les mesures qui s'imposent pour éviter au fléau de s'étendre davantage.
Notez l'étrange coincidence entre le conversion du Roi de France à la religion protestante (que nous reconnaissons et autorisons avec mesure) et ces évènements terribles. Est ce là un défit que Dieu envoit pour tester votre foi ou une punition divine pour hérésie ?

Délégation mamelouk au Doge
 

Nous remercions le Doge de ses propositions de médiation dans le conflit austro-ottoman ; nous n'en attendions pas moins de vous.
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

Chroniques Impériales. 1527 – 1540. Les Croisés reprennent du service





La chrétienté menacée, la Chrétienté bafouée, voilà quel était l’état du monde en 1527 :?: . Le Sultan Infidèle, en effet, défiait ouvertement la Chrétienté : il avait vassalisé de force la Pologne puis lui avait imposé une alliance militaire :enerve: . Sans surprise, la plupart des royaumes chrétiens , ne réagirent pas le moins du monde, préférant dévorer d’autres frères chrétiens, sans le moindre scrupule, sans le moindre remord. Ultime Rempart de la Chrétienté, l’Empereur Dieu, lui, déclara son intention de se croiser pour libérer la malheureuse Pologne :epee: .


Mais les conseillers musulmans qui gravitaient autour du Roi de Hongrie usèrent de toute leur influence pour empêcher la croisade : ils nous refusèrent en effet un accès militaire :( . Au nom du Christ Sauveur, les armées Impériales se mirent alors en marche et les troupes Hongroises furent balayées comme des fétus de paille. Le problème Hongrois règlé, la Croisade allait pouvoir commencer et là, surprise, un noble monarque Chrétien déclara vouloir se joindre à nous : c’était le Roi de Scandinavie :clap: . Aussi, c’est avec ce fier et noble Roi Chrétien que se lança cette nouvelle croisade.


Très vite, il apparut que les Croisés luttaient à un contre deux :?: : le Sultan Infidèle, en effet, pouvait compter sur le soutien de tout un réseau d’allié qui gonflaient ses effectifs de façon outrageuse ( Pologne, Horde d’or, Crimée, Wallachie, Mamelouks etc etc). Malgré cela, les armées Impériales l’emportèrent aisément et mirent le siège devant la Bessarabie, afin de couper la route directe qui menait l’Infidèle directement en Pologne. Les Janissaires tentèrent bien de réagir, mais leurs réactions étaient molles et peu convaincantes :tongue: . Le succès de cette offensive semblait assuré quand, soudainement, des dizaines de milliers de farouches soldats Polonais surgirent. Répugnant à verser le sang chrétien ( d’autres monarques devraient prendre exemple :o: ), les armées Impériales hésitèrent et ce bref moment de doute leur fut fatale. Ce fut la déroute :loose: .


Au même moment, le Danemark, s’il remportait de brillants succès navaux, voyaient de même son offensive en Pologne du nord complètement repoussée et ce pour les mêmes raisons : si les Croisés avaient commis une erreur, c’était bien d’avoir sous-estimés le nombre et la qualité des forces armées Polonaises :( . La contre-offensive put commencer et les Impériaux furent submergés par le nombre, le Sultan Infidèle avait des troupes deux fois plus nombreuses que nous grâce au support de ses nombreux et puissants alliés. La Hongrie devient le nouveau champ de bataille et, de longs mois durant, les hordes Infidèles s’abattirent en Transylvanie et dans les Carpathes, qui tombèrent brièvement.


L’Empereur cependant avait pris la mesure de la formidable puissance adverse et, sans se décourager, reconstitua ses forces et repartit à l’assaut : une grande offensive fut lancée au nord et les Polonais, qui avaient envahis l’Autriche, furent balayés. Les Carpathes furent reconquises, Krakow était assiégé et les Impériaux s’enfonçaient en Pologne à la rencontre de leurs alliés Danois, bousculant tous les Janissaires envoyés en Pologne pour tenter d’enrayer l’offensive, en vain. Le front Hongrois, malheureusement, céda complètement et l’Empire subit une très lourde défaite en Transylvanie, qui remit tout en cause :( . L’Empereur Dieu dut stopper son offensive en Pologne et rediriger en toute hâte ses armées vers le sud, où l’Infidèle et ses alliés avançaient de plus en plus.


Après de sanglantes batailles, les Janissaires, soutenus par des milliers de Mongols des steppes, furent repoussés et l’Empire contre-attaqua en Wallachie. Une fois encore, cependant, la rupture totale d’un front, au nord cette fois, nous obligea à renoncer. Polonais et Musulmans unirent alors leurs forces pour défoncer la Hongrie et, pour la première fois depuis le début de la guerre, l’Empereur dut mobiliser des troupes supplémentaires : l’hécatombe avait réduit nos hordes de 40% :?: alors que l’Infidèle, massivement soutenu par ses alliés, ne cessait de grossir, en quantité si ce n’était en qualité.


L’arrivée de ces troupes fraiches permit à l’Empereur de lancer des contre-offensives particulièrement vigoureuses et audacieuses : les Polonais reculèrent, puis le Sultan Infidèle subit une défaite magistrale en Transylvanie :tongue: , sur le même champ de bataille où il avait remporté sa plus grande victoire, il y avait de cela deux années. Le vent avait tourné :chicos: . Les troupes Impériales poussèrent leur avantage et expulsèrent l’envahisseur de toute la Hongrie. Après trois années de guerre, c’était le statu quo… En apparence en tout cas. Mais en réalité, les Croisés ont pris l’avantage, et ce de façon indiscutable : le blocus Danois ruine l’économie Infidèle et, surtout, le Sultan est à bout de force, épuisé, vaincu :mrgreen: . Bientôt, il viendra nous demander la paix.


Que le monde entier sache que les exigences des Croisés Justes et Bons sont très simples et très honnêtes : la libération de la Pologne. L’Empereur salue le courage et la volonté de son allié de Scandinavie, qui n’a pas hésité à prendre les armes pour contrer la menace Infidèle, alors que d’autres souverains chrétiens au mieux ferment les yeux, au pire menacent ouvertement, et avec un manque flagrant de courage, l’Empereur en pleine croisade. Toute la différence entre un Juste et un scélérit :chicos: .

Déclarations Impériales



A notre allié de Scandinavie. Un Palais gardé par des centaines de nos meilleurs soldats est à votre disposition à Vienne : la Capitale Impériale est en pleine effervescence pour vous accueillir dignement. Nul doute que cette proximité nous permettra de mieux coordonner nos plans : la victoire nous attend :clap: ! Pour la Pologne Libre et pour le Christ Sauveur !


A la Castille chère à notre cœur. Votre courage, votre grandeur d’âme et votre raffinement exquis font de vous l’homme du siècle :o: . Un jour viendra où le Très Haut vous bénira personnellement, mettant fin ainsi à la malédiction qui pèse actuellement sur vous.


A Venise. Reprenez-vous que diable ! Où est le Doge qui jadis combattait à nos côtés pour sauver la Chrétienté menacée ? Ne cédez pas aux sirènes du Mal : récompense terrestre n’est que temporaire, le Jugement Dernier est éternel :o: . Concernant vos dénégations sur les sacs d’or qui nous seraient parvenus, l’Empereur Dieu ne réfute ni ne confirme : suite à l’immense confusion qui a suivi la première interprétation de tous les dons en or, nous avons en effet décidé de ne plus accorder la moindre attention à ces rapports frauduleux :chicos: .


A la France. Nous louons votre volonté de vous croiser et espérons que les paroles se transformeront un jour en actes : la libération de Jérusalem, voilà qui serait digne de vous !


Au Sultan. Votre refus de négocier et votre intransigeance nous attristent :( . La guerre se poursuivra donc, dix ans, vingt ans ou quarante ans, peu nous importe : notre mission est Sainte et nous ne renoncerons pas :tongue: . Ne vous avisez pas enfin d’attaquer la noble Castille sous le fallacieux prétexte de libérer le Maroc, sur lequel de nombreux pays chrétiens sont déjà passés sans que vous ne réagissiez : ce serait pour nous un Casus Belli.


A l’Emir des Mamelouks. Nous notons votre volonté de conciliation, mais sachez que l’intransigeance totale du Sultan rend la poursuite de la guerre inévitable. Pourquoi ne lanceriez-vous pas vos armées contre Constantinople afin de contraindre votre turbulent allié à la paix :mrgreen: ?

Quand la Sublime Porte parle on se tait


Mon maître le Grand Turc m'a chargé de vous annoncer qu'un accord avait été trouvé avec le roi de Castille. Ce dernier, bien que chrétien, semble avoir un minimum de sagesse politique. Chose qui fait évidemment défaut à son alter ego impérial.

La soumission par la force des seigneurs marocains à la royauté castillane ne pouvait être supporté par mon maître qui comprit très vite qu'il pourrait peut être obtenir une victoire diplomatique en se montrant mois intransigeant sur le cas polonais.

Des ambassadeurs furent envoyés à Vienne et Madrid. Leur mission était claire. Ce sera soit l'accord que nous voulons soit la poursuite de la guerre. Nous n'avons aucun raison de nous montrer plus généreux, l'accord doit être conclu d'égal à égal.

L'empereur, aveuglé par sa force illusoire, repoussa notre offre pensant qu'il y avait là un signe de faiblesse de notre part. Le roi de Castille se montra plus disposé au dialogue et ouvert à un accord du type que nous le proposions. Mon maître entra alors directement en contact avec le roi de Castille et tous deux tombèrent d'accord assez rapidemment.


C'est pourquoi, l'Empire Ottoman annonce relever imméditamment le roi de Pologne de son serment de vassalité. De fait, si nos ennemis désirent la paix, nous sommes prêt à envisager la chose.

Comme mon maître l'avait à plusieurs fois répété avant le début du conflit, la diplomatie était la plus à même de trouver une issue à cette affaire. La force brutale des chrétiens n'a rien donné...encore une fois.

Castille 1527-1540 : tentative de sursaut ou dernier spasme nerveux ?



Après moultes années d’impassibilité, face aux évènements déchaînés contre la Castille, celle-ci tente de sortir de sa torpeur, et de rendre visite à son voisin du sud, le royaume du maroc, bien connu pour être un repère de la piraterie qui ravage la méditérrannée.

Nos armées faibles mais vaillantes, mettent le siège sur Tanger, tandis que notre cavalerie attend au large sur nos transports, l’attaque ennemie pour fondre sur elle. Le nombre nous est défavorable il nous faudra plusieurs tentatives avant de déverrouiller le cadenas Tanger. Notre bon roi, Alfonso VI, lui même est aux commandes.

L’ennemi nous est deux fois supérieur en nombre, mais c’est une entreprise de longue haleine dans laquelle la Castille est lancée.

Les troupes ennemies s’épuisent, alors que nous économisons nos efforts : ainsi notre cavalerie put faire quelques aller-retours salvateurs Gibraltar-Tanger, entre deux tentatives de contre-attaque ennemie.



http://img146.imageshack.us/img146/9120/eu33mo3.jpg



Une fois Tanger, prise, la Noria de transports de troupes à travers Gibraltar peut s’intensifier, et l’ennemi commence à se poser des questions. Surtout notre cavalerie fait feu de tout bois pour repousser l’armée marocaine où qu’elle se trouve, et protéger nos sièges, désormais plus nombreux.
Le plus dur était fait, et la moitié nord du Maroc finit par tomber entre nos mains. :clap:

Une violente contre-attaque Algérienne menaça nos arrières, mais le roi envoya une cassette d’or pour acheter la paix berbère, et put finir de se concentrer sur sa cible.
La suite ne fut qu’une formalité. L’ennemi épuisé et écrasé, fut contraint de signer la paix par un serment de vassalité.


Les troupes castillanes pouvaient rentrer d’un pas léger, elles venaient de remporter leur premier succès depuis des lustres.
C’est alors qu’un événement imprévu se produisit…



Ingérence de Venise
Contre toute attente, une flotte Vénitienne fut signalée au large d’Ifni. Nous savions le Doge en guerre contre l’Algérie, effort que nous saluons, mais que venait-il faire au maroc vaincu, désarmé, et désolidarisé de l’Algérie par la vassalité qu’il venait de prêter à la Castille.

Le roi, toujours en rogne après le doge pour avoir saboté la ligue de Bruges, n’était pas disposé à laisser passer ce parasitage. Il déclara la guerre aussitôt à Venise, et la cavalerie tujours sur le sol marocain, délogèrent « illico presto » les Vénitiens. Fin de l’acte I



Acte II Déroute navale
Nullement culpabilisé par ses actes les plus bas, le doge revient à la charge et exige désormais l’ile de Madère de notre allié portugais. (Au passage, on se demande encore ce qu’il advint de sa guerre avec l’Algérie, qui était son objectif premier. ) Le roi refusa. Une paix blanche lui allait parfaitement. Le doge n’en fit rien, et débarqua 4000 soldats aux acores. La flotte britannique ayant rejoint la flotte castillane à Séville, nous pûmes nous lancer à la poursuite de la flotte Vénitienne, dans l’atlantique. Le combat eut lieu au large des Acores. D’un côté 21 caravelles Venitiennes. Du côté Anglo-Castillan, 15 caravelles, 9 barques, 9 galères.

Le vent fut favorable aux Venitiens et le doge remporta une victoire éclatante. Tous nos navires furent envoyés par le fond.

Le coup fut rude… :choc:



La Castille tenta un coup de poker : profiter du fait que la flotte ennemie était repartie à Venise chercher de nouvelles troupes destinées à s’emparer de Madère et des Canaries, pour tenter de délivrer les acores, protégée par 4000 condotières.

Notre flotte de transport ayant été mise à l’abri de tour regard ennemi, aux asturies, 7000 cavaliers y embarquèrent, pendant que la flotte adverse était signalée au large de l’apulie.

Après un bref voyage, l’assaut fut lancé : mais la malédiction continua de s’abattre sur la Castille. Malgré un meilleur commandement, la supériorité numérique, des troupes de meilleures qualité, la bataille durait trop longtemps (saloperie de dés :enerve: ). Et nos guetteurs signalaient le retour de la flotte ennemie. Quand celle-ci fut aperçue au large de la sardaigne, le roi prit la décision d’avorter l’opération après trois assauts(choc) infructueux, et rembarquer, la mort dans l’âme. Hélas, pas suffisamment rapidement, pour éviter l’affrontement, qui ne fut qu’une immonde boucherie.

Avec ses troupes fraiches, Venise s’empara sans mal de Madère et des Canaries, mais une embassade du roi de France vint mettre un terme à cette guerre, en menaçant le doge d’intervenir.

La paix blanche fut signée, au grand soulagement de la Castille et du Portugal.

Missives diplomatiques

France
Le roi vous remercie pour votre médiation entre nous et Venise. Il reconnait votre suzeraineté sur la terre du Rousillon et nous vous souhaitons de l'acquérir rapidement.

UK
Même si nos efforts n'ont pas été courronés de succès, le roi vous remercie chaleureusement de votre soutien.

Kalmar & Autriche
Bravo pour vos efforts contre l'infidèle. Avec nos maigres moyens, nous nous rejoingons dans la lutte de la chrétienté, comme en témoigne notre succès sur le Maroc.
Mais il est temps de panser nos plaies. La Castille va faire une offre au Sultan.

Aragon
Vous allez vous faire dépecer et ce sera bien fait pour vous:tongue:

Traité d'Alexandrie

Accord entre le royaume de Castille, les sultanat Mamelouk et Ottoman
- La Castille accepte de libérer le royaume musulman du Maroc de son serment de Vassalité
- L'Empire Ottoman accepte de libérer le royaume Chrétien de Pologne de son serment de vassalité



La CAstille met en garde les sultanats susnommés, contre les parasites qui rodent autour du Royaume du Maroc, et les enjoint à la plus grande vigilance.



Fait à Alexandrie, le 2 janvier 1541.

Déclaration Impériale




La Pologne étant libérée, nous avons décidé d’accorder au Sultan implorant :mrgreen: la paix blanche, conséquence logique du statu quo actuel. L’Empereur salue une fois de plus la noblesse de cœur et d’esprit du Roi de Castille qui, malgré tous ses soucis, n’a pas hésiter un seul instant à abandonner son plus grand succès de ses dernières décennies ( la vassalisation de l’Infidèle du Maroc) pour assurer la libération de la Pologne :clap: .


Nous espérons que les autres monarques Chrétiens sauront faire preuve de la même noblesse. Il serait inadmissible notamment que, quand certains se sacrifient pour libérer des royaumes, d’autres en profitent pour en dépecer d’autres :?: .


Nous rendons enfin hommage au courage de notre allié de Scandinavie, qui s’est loyalement et courageusement engagé à nos côtés pour la liberté des peuples :clap: . Que la paix règne désormais entre tous les chrétiens de bonne volonté ! Amen :eveque:

Déclaration du Royaume de Scandinavie:

Que cela soit clair, avec la fin de la vassaliter qui unisse la pologne au sultanat ottomans, nous demandons l'arret de l'alliance entre Cracovie et Constantinople sinon le traité sera considéré par nos états comme caduc! :tongue:

A la Castille: Nous louons votre esprit d'abandons, et nous pensons vous consentir une aide financière pour vous remercier de cette acte honorable.

Réaction de du conseiller du Sultan


Mon maître refuse de discuter avec un homme sans culture, sans politesse, sans parole et sans aucune conscience de la réalité des forces.

Rabaisser l'Empire Ottoman à un sultanat est une folie que vous allez payer cher. L'Union de Kalmar est interdit de tout commerce en Thrace et cela tant que vous n'aurez pas formulé publiquement des excuses.

Votre diplomatie est à l'image de votre courtoisie...inexistante. L'Empire Ottoman n'est pas un esclave qui doit obéir aux ordres du maître chrétien. Votre royaume ridicule qui ne sait que bloquer nos ports de pêches (ce qui nous fait bien rire quand nous voyons à quel point vous vous gargarisez de nous ruiner de 5 ducats mensuels).

Nous ne discutons et encore moins négocions avec des ignares de votre espèce. Prenez des cours et revenez nous voir.


NB : je précise que la réaction virulente est dûe au rabaissement au rang de sultanat de l'Empire ;)

Declaration du Très Chrétiens protecteur de l'église protestante:

Nous ne nous excuserons pas, vous nous insultez en nous traitant de barbare. Nous n'avons rien à faire du commerce de Thrace, nous ne sommes pas comme certain qui s'installe chez vous par pur hypocritie, nous ne payerons rien au tyran de Constantinople! Nous ne reconnaisons comme digne maitre de la ville, le très chrétien roi de France, dont le dernier empereur André Paléologue a cédé ses droits à sa dynastie

Nous enlevons toute représentation diplomatique dès à présent en votre empire, nous n'avons que faire de vous. Nous ne traitons qu'avec des rois chrétiens, ou des princes avec un minimun d'honneur.

Quand à notre marine, elle peut resté si vous le voulez vraiment, elle se fera un plaisir d'attendre sur vos cotes qu'il a pourvoit si généreusement en ce qui lui est nécessaire.

Déclaration ottomane

L'Empire Ottoman prend acte de la déclaration de la royauté scandinave. Sachez que nous n'aurons aucune relation avec vous, même si nous étions en guerre et devions négocier la paix, tant que vous ne vous excuserez pas pour votre effronterie.

Nous banissons et expulsons tous marchands, sujets, diplomates du royaume de Kalmar sur nos terres.
Nous demandons officiellement à tout Etat chrétien, musulman ou autre, dans notre voisinage, de fermer leurs ports aux navires scandinaves. Cette demande, si elle n'est pas entendue, sera suivi très rapidement d'un ultimatum clair et cinglant.

Déclaration Impériale



Le monde très chrétien peut constater comment réagit l’Infidèle : en dépit de tout bon sens et avec hargne, cruauté et bêtise :tongue: .


Personne ici n’a compris la raison de la délirante et haineuse déclaration du Sultan, qui s’est révélé sur son vrai jour en annonçant refuser toute relation diplomatique, même pour négocier une paix s’il était vaincu.


Puisque le Sultan s’isole de lui-même et se trouve trop digne pour traiter avec un royaume chrétien, nous appelons la chrétienté toute entière à le traiter comme il le souhaite lui-même : isolons le complètement. Il ne fait pas partie de notre monde :mrgreen: , tout simplement. Les ridicules tentatives de l’Infidèle pour diviser la chrétienté en appelant à la haine contre la Scandinavie doivent être traitées de façon unanime : par le mépris le plus total :tongue: .


La Chrétienté doit rester unie et ferme ! Faisons tous comprendre à l’Infidèle que menacer l’un de nous, c’est menacer toute la Chrétienté. Tout ultimatum ou menace de l’Infidèle contre un chrétien sera désormais traité comme une agression contre la chrétienté dans son ensemble, et entraînera une réaction appropriée : la libération de Jérusalem, la libération des royaumes chrétiens de Grèce et d’Anatolie.


Au nom du Christ Sauveur, restons tous unis et ferme contre l’Infidèle :epee: !

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Для Святой России : 1528 - 1541



Nos territoires toujours sous domination de la lithuanie appelaient à leur libération. Il n'y avait donc d'autres possibilités qu'un nouveau conflit engageant les forces armées de notre Empire.
La Lithuanie fut rapidement vaincue et les provinces de Kiev, Chernigov, Poltava, Mogilyov et Polotsk furent rattachées à la Russie.

L'Ordre de Livonie nous déclara alors la guerre, mais là encore le sort des armes nous fut favorables.
N'ayant aucun grief contre l'archiduc de Livonie, membre du Saint Empire Germain, nous acceptames une paix honorable offrant notre protection à l'Archiduc.
Les relations diplomatiques étant alors au mieux, l'Archiduc nous offrit leurs connaissances en matière de technologie militaire en oeuvre au sein de l'Europe occidentale

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Malheureusement à la mort du Tsar en 1535, le seul héritier était Ivan V, et il était évident que ses qualités en ferait un pietre dirigeant, malgré les brillants conseillers qui oeuvraient au Kremlin.

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De nombreux nobles alors s'opposèrent ouvertement au nouveau Tsar et le pays fut plongé dans une longue et difficile guerre civile.
Le Kremlin heureusement réussit enfin à rétablir l'ordre au sein de l'Empire après plusieurs années de soubressaut.



L'Empire de Russie en 1541

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DECLARATIONS DU KREMILIN


La Russie suit de près 'l'affaire polonaise', mais pris dans des tourments internes causés par la guerre civile, nous n'avons pu intervenir diplomatiquement, ni militairement.

Quiqu'il en soit, nos services nous signalent que le Roi de Lithuanie est prêt à ceder son royaume à la Pologne, ce que nous ne saurons tolérer.
La Pologne est hostile à la Russie et formente depuis des siècles à la perte de notre Empire. Aussi, il est intolérable qu'une telle puissance revienne à nos portes et nous mettrons alors l'ensemble de notre puissance afin que cela n'arrive pas, et à récuperer les provinces russes encore sous domination polonaise et lithuanienne...


Au Roi de Scandinavie :
Nous vous rassurons , Roi de Scandinavie, protecteur de la Foi protestante, nous n'avons aucune vue impérialiste sur les terres 'protestantes' ceci risquant d'oeuvrer à l'instabilité de notre Empire.

Au Sultan :
Nous connaissons vos liens avec la Pologne et nous vous demandons de réfléchir aux conséquences d'un futur conflit si jamais vous conserviez une alliance militaire avec la Pologne.

A L'Empereur :
Nous louons vos efforts au maintien de l'ordre au sein du Saint Empire, et en respect nous garantissons l'integrité territoriale de la Livonie.


Nous faisons également savoir que la Sainte Russie est protectrice de la Foi Orthodoxe et de la Chretienté, cependant, nous ne mélangeons pas Religion et Politique. Nous oeuvrons pour la sécurité et la prospérité de la Russie et ne souhaitons pas retourner plusieurs siècle en arrière, au temps où les religieux intégriste envoyaient des milliers d'hommes combattre au nom de leur foi, quelle soit chretienne ou musulmane

Déclaration Castillane

Le roi ,désabusé par ces chamailleries de cours d'école, se demande s'il a bien fait de signer le traité d'Alexandrie.
C'est à vous dégouter de faire de la politique... :?:

Délégations Mamelouks
 

La guerre de Pologne



"..........je me souviendrais toujours de cette guerre comme la plus meurtrière de mon temps". C'est en ces mots que Muran Arçuk concluait son Histoire de la 2e guerre de Pologne à laquelle il avait participé en temps qu'officier de l'armée ottomane. C'est le seul récit d'époque dont les historiens disposent aujourd'hui.

La découverte de cet ouvrage en 1912 dans le petit village de Kerliech, sur l'île grecque de Polyaiga, fut une petite révolution dans nos connaissances sur ces faits. Pendant longtemps, les historiens n'eurent à disposition que les récits impériaux ou la Chronique scandinave de Ulah Mortensen. Si ces sources sont précieuses pour aborder cette guerre, elles étaient malheureusement lacunaires et trop partisanes. L'oeuvre de Muran Arçuk, outre le fait d'apporter un regard neuf et surtout de l'autre camp sur cette guerre, participa grandement au débat qui animait une partie des historiens d'entre-deux-guerres.

La chute de l'Empire austro-hongrois avait entrainé l'ouverture publique des archives et permis à de nombreux historiens étrangers de les consulter (alors que jusqu'à maintenant, seuls les Autrichiens avaient le droit d'écrire l'histoire impériale). Ce que d'aucuns soupçonnaient depuis longtemps (comme Paul Lemerle dans Une autre histoire à découvrir en 1887) devint un sentiment commun de la communauté scientifique internationale après la découverte de ce livre et l'ouverture des archives autrichiennes. Les rares aveugles autrichiens qui continuèrent à défendre l'authenticité de la version autrichienne de l'histoire moderne furent littéralement noyés sous les flots de la production internationale qui réinterprétait, redécouvrait, remettait en cause bon nombres des acquis historiques d'alors.



Quels apports particuliers apporta le livre de Muran Arçuk pour la guerre de Pologne a proprement parlé ?

En résumé, il a permis 2 révisions fondamentales :
- l'origine de la guerre
- le déroulement de cette guerre

A la lecture des versions autrichiennes ou scandinaves, le lecteur en tirait le sentiment suivant : la vassalisation par la force de la Pologne était à l'origine de ce conflit, Autrichiens et Scandinaves étaient les libérateurs du peuple polonais, et l'issue de cette guerre (à savoir la libération de la Pologne) était la conséquence d'un rapport de force qui tournait progressivement à l'avantage des chrétiens.
Nous savons aujourd'hui que cela est totalement faux.

D'une part, si il est indiscutable que l'Empire Ottoman soumît par la force la royauté polonaise, il est également avéré que très vite le roi de Pologne s'accomoda de la situation. Le Sultan se montrait un suzerain peu exigeant et assez respectueux, surtout il était un indéfectible allié et protecteur. Quant on connait l'ogressité (:lol: ) de la Russie à cette époque, on peut comprendre que ce dernier point devait être essentiel. Force est de constater qu'à l'époque, le monde chrétien de l'Ouest et même du Nord se fiche royalement de ce qui se passe en Lithuanie. Aussi, pour les Polonais, le Turc n'apparait plus tant comme un exécrable Infidéle qu'il faut convertir ou repousser. C'est le début d'un pragmatisme politique chez les élites polonaises. Et donc, imaginez la situation rocambolesque en 1538 quand Autrichiens et Scandinaves déclarent la guerre à l'Empire Ottoman sous prétexte de libérer la Pologne de sa servitude supposée.....et que la Pologne reste fidèle à son allié ottoman dans la guerre. Les armées impériales et scandinaves qui luttent contre les armées polonaises......pour libérer la Pologne

D'autre part, le déroulement que l'on pensait connaître était en fait totalement contraire à la réalité du terrain. Nous avons hélas été les victimes de la propagande impériale. Nous avons aujourd'hui des récits détaillés des plus importantes batailles de cette guerre et le constat est éloquant. Je vous laisse observer les estimations par vous même :

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1er grande bataille en Ruthenia en juin 1539, 12000 impériaux contre 20000 polono-ottomans > 10000 morts du côté impérial, 5000 de l'autre.


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La bataille de Ersekujvar en mars 1540 n'est pas une grande bataille mais elle a été retenu pour prouver que ce n'est pas la supériorité numérique qui est à l'origine des victoires ottomanes. Ici 7000 impériaux contre 8000 ottomans....seuls 2600 impériaux en survivront contre 6700 ottomans. Il y a 3 fois plus de pertes du côté impérial.


Voici ensuite la plus grande bataille de cette guerre qui se déroule en août 1540 en Transylvanie, elle est considéré comme la plus meurtrière de l'époque :
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Une vaste offensive ottomane est lancée pour détruire l'armée impériale. 32000 hommes initialement ont attaqué les positions des 10000 impériaux. Mais cet écrasant avantage numérique ne dura que quelques heures, les renforts autrichiens étaient très proches.

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Cette bataille qui dura 5 jours entiers (1 mois dans le jeu mais bon....ça fait pas réaliste lol) fut un triomphe pour les forces ottomanes qui préservérent jusqu'au bout leur supériorité numérique. Au final, 19000 impériaux se défendirent contre 32000 ottomans. Seuls 4500 purent s'enfuir du champs de bataille...soit autant que le nombre de morts du côté ottoman.


Tous ces faits d'armes, choisis parmi d'autres, montrent que contrairement aux mensonges impériaux, l'Empire Ottoman et la Pologne étaient en position de force incontestables. Les Scandinaves étaient incapables de pénétrer en terre polonaise, repoussés à chaque fois par les armées polonaises commandées par leur roi en personne. Les rares fois où ils défaillèrent, 8000 janissaires venèrent leur prêter main forte.
En Hongrie, les austro-hongrois essuyaient plus souvent des défaites que des victoires contre les Ottomans. Surtout, les victoires impériales se faisaient à l'arraché, au moral. Les victoires ottomanes faisaient, elles, des hécatombes dans les rangs adverses.

Tous ces éléments permirent de comprendre qu'en fait la libération finale de la Pologne de sa vassalité n'était nullement dû à la victoire pressentie des chrétiens. Elle était le fruit d'un accord diplomatique entre un autre roi chrétien, celui de Castille qui avait vassalisé un Etat musulman, et le Sultan. Ce dernier, pour obtenir l'indépendance du Maroc, accepta de délier de ses liens de vassal la royauté polonaise. Les Polonais ne vécurent certainement pas mal la chose puisqu'ils préservaient l'essentiel pour eux : leur alliance avec le Grand Turc.

Chroniques Françaises (1527-1541)



Lorsque François Ier demanda aux nobles historiens Français de conter l’histoire de la fin du règne de Henri II et de son début de règne, sans nul doute il ne se doutait que la tache s’annoncerait ardue. En effet, aucun évènement majeur de toucha la France lors de la fin de règne d’Henri II.

Nous noterons toutefois quelques évènements importants, le premier évènement fut la décision difficile prise par Henri II de stopper net la colonisation des nouvelles terres découvertes, en effet Henri II pensait que ce nouveau continent avait beaucoup mieux à proposer que ces terres non fertiles et froides du Nord.

Un accord fut donc passer avec l’Angleterre pour que la France ne s’installe plus dans le Nord du nouveau continent, cet accord permit à la France et l’Angleterre d’encore plus se rapprocher après tant d’années de haines et de conflits qui avaient régit la politique de nos deux nations.

De plus Henri II ne c’était pas trompé, quelques années plus tard des petites îles au large du nouveau monde furent découvertes, ces îles appelées aussi « caraïbes » étaient beaucoup plus riches et intéressantes que le grand nord, froid et stérile.

Aussi Henri II décida de relancé son idée de construction d’un « Collège de Colonisateurs », ce qui fit passer le nombre de contingent de colonisation de 1 tous les deux ans à 3 tous les deux ans.

Cependant, ces terres étaient malheureusement encore trop éloignées de notre douce France que pour pouvoir les colonisées et le Roi Henri II mourut avant de trouver une solution.

Un autre évènement marqua la France durant cette période se fut l’intégration de la Vendée dans le royaume de France, le roi breton à l’article de la mort et sans héritier décida, justement, de céder sa couronne au Roi de France.



A la mort de notre bon souverain ce fut François Ier qui monta sur le trône, certes le nouveau roi n’était pas aussi brillant que son père (pas du tout même), mais il était entouré d’excellents ministres.

Du début de règne de François Ier nous retiendront 2 éléments importants.

Tout d’abord l’intégration des provinces de Parme et de Lombardie au royaume de France, en effet après leurs conversions au protestantisme et devant la crainte qu’inspirait au roi milanais la haine du Pape et de ses alliés, il décida de demander au Roi d’accepter le rattachement de son royaume à la Glorieuse France Protestante. Ce que François Ier fit, dans sa grande sagesse.

Ensuite nous retiendront un évènement très malheureux, en effet après le passage d’un commerçant Vénitien dans notre port de Marseille, la peste se déclara.

Immédiatement le Roi prit pour décision de mettre en quarantaine tout village ou ville touchée par ce fléau et les résultats furent rapidement satisfaisant, la peste en effet ne se propagea que dans les régions ou les marchandise du dit marchand Vénitien furent vendues.

Ces marchandises sont recherchées à travers tout le pays afin de les détruire et enrayer au plus vite cette épidémie. Rassurez-vous monarques de pays voisins, nous contrôlons la situation.



Déclarations Diplomatiques :




A l’Ensemble des cours Européennes :



Le Roi d'Aragon devenu complètement fou est devenu un danger pour tous les royaumes. En effet, les paysans d'origines françaises du Roussillon ont tous étés arrêtés il y a deux jours sous le prétexte qu’ils auraient volés des terres sur lesquels ils vivent pourtant depuis des générations.

Après avoir demander confirmation à la cours Aragonaise de ce qui se tramait, nous avons reçu comme réponse ceci : "Nous vous envoyons des caisses d'ors chaque moi en vertu du traité de vassalisation, cela suffit pour que la France ne s'imisse pas dans les affaires internes du royaume"

Biensur vous comprendrez que jamais la France n’a voulu s'imisser dans les affaires internes d’un pays étranger, mais vous comprendrez aussi aisément que nous ne pouvons laisser des Français se faire persécutés dans quelques pays qui soit.

De plus des échos provenant du Sud de l’Italie nous annoncent que les citoyens aragonais d’origine sicilienne et napolitaine font l’objet des mêmes persécutions, mêmes échos également pour les paysans parlant le Castillan.

Nous sommes devant les prémisses d’une purification ethnique !


C’est pourquoi, en accord avec la Castille et Venise le Roi de France en tant que suzerain de l’Aragon et protecteur de tous les français se réserve le droit d’intervenir à tout moment pour libérer le Roussillon. Nous demandons à l’ensemble des cours Européennes de nous soutenir dans cette entreprise mais également dans l’entreprise de démembrement du royaume Aragonais, qui n’a aucun sens.



A l’Aragon : Cessez immédiatement vos actions honteuses et barbares contre les Français du Roussillon, si aucune mesure n’est prise pour revenir en arrière, nous serons contraint de libérer nos frères par la Force.





A Venise : Nous trouvons un peu déplacé votre remarque concernant la peste en France, en effet sachez que cette épidémie est entièrement sous contrôle et que nous filtrons déjà les personnes quittant ou entrant dans notre territoire. Nous n’accepterons pas que vous taxiez nos citoyens sous le prétexte fallacieux qu’ils pourraient être contaminés. De plus nous n’accepterons pas que vous puissiez insinuer que Dieu nous aurait punis en réponse à notre conversion, en effet NOUS sommes les prêcheurs de la Vraie foie et possédons une place particulière dans la place du seigneur.



A la Grande-Bretagne : Nous saluons votre courage et votre soutient à la Castille.



A l’Autriche et l’Union de Kalmar : Nous saluons également votre courage et votre détermination dans la guerre de libération de la Pologne, en effet vous avez éviter un drame pour toute la chrétienté, nous vous en remercions.

Le roi de Castille tient à préciser qu'il reconnait au roi de France, sa suzeraineté sur le territoire du Roussillon, et son bon droit à réprimer les exactions aragonaises à l'encontre des paysans Français.

En revanche, la Castille ne cautionne en aucun cas un démembrement de l'Aragon.

Moi Frederik IV, roi des royaumes de Scandinavie par l’acte de l’union de Kalmar, me déclare honorer des engagements pris par le roi Auguste d’York, nous espérons que les iles britannique lutteront contre les seigneurs qui par leur privilège ne respecte pas les préceptes de notre foi. Nous nous engageons à défendre le royaume de Grande Bretagne, celui-ci ayant fait acte de foi, notre marine assurera donc la défense de ses iles comme celle de nos terres. Nous proposons au royaume de Grande Bretagne, une mariage pour unir dans le sang cette union.


Nous déclarons aussi part notre puissance navale, que nous avons démontré en mainte occasion, notre suprématie navale. Notre marine par l'entrainement de ses marins, la science de ses ingénieur et ses amiraux est la meilleur au monde! Tout navire étranger sauf ceux ayant rejoint la foi réformée devront baisser pavillon en signe de respect du à notre contrôle des mers, que nous avons atteint par la volonté du seigneur tout puissant!


Nous déclarons à présent refuser tout payement pour avoir l’accès à un centre de commerce, le protectionnisme n’amène que la ruine de tous, et empêche le développement économique.
Le libre échange est la seule théorie économique fondé et nous encourageons toute nation a allé dans ce sens.

Tout embargo sur nous ou sur une des nations avec qui nous sommes afilié sera dès à présent considéré comme un acte de guerre, que tout les fous mercantiliste soient prévenu! Nous nous laisserons pas spolié.

Frederik III, roi du Danemark de Norvège et de Suède, par la grâce de notre seigneur.

Déclaration Impériale




Qui sonne ici le tocsin des menaces, de la guerre et de la division? L’Empereur appèle immédiatement à la Raison : protestants et catholiques vénèrent le même Dieu, le seul, l’unique :o: . Sa religion est amour : aime ton prochain comme toi-même. Il ne peut, il ne saurait y avoir guerre religieuse au nom d’une différence de culte : la chrétienté est une malgré ses multitudes.


Au nom du Christ Sauveur, que ces querelles absurdes cessent et que tous les chrétiens se réunissent pour s’unir contre la menace Mahométane qui pèse sur le monde : c’est ensembles que nous pourrons triompher de l’Infidèle, qui attise les feux de la discorde :tongue: . Ne le laissons pas réussir et montrons lui que la chrétienté, qui est bonté et amour, ne saurait accepter que ses fils se déchirent.




Catholiques et Protestants sont nos prénoms, Chrétiens est notre nom de famille.

Réponse à la déclaration impérial.

Comment osé vous nous jugez! Nos actions sont légitime, l'aristocratie anglaise écrasant les gens de notre foi, qui sont profondément pour l'égalité, dans un pays comme le notre où nous sommes arrivé à la pur égalité, cette tyrannie nous a profondément choqué, nous étions obligé d'agir pour obliger le roi de Grande Bretagne de s'établir en protecteur du bas peuple opprimé contre sa noblesse. Cette querelle n'était point "absurde" comme vous l'affirmez!
Pour ce qui est de la croisade, nos théologiens discutent des fondements de celle-ci, pour voir si elle respecte bien le message du Christ qui est comme vous le dites "bonté et amour", nous vous ferrons part de leur réponse dès qu'ils aurront fini.

Cordialement Frederik IV.

Epopées mamelouks (1541 - 1557)
 

Epopées mamlouks (1541 - 1557) - ou Le Grand Eveil de l'Oryx

http://upload.wikimedia.org/wikipedi.../Oryx_5906.jpg
Nous avons un joyau dans nos déserts, une gazelle qui a su s'adapter au désert, vivre là où d'autres ne peuvent survivre, à force d'économie d'eau, de patience, et de persévérance : l'oryx. Tels sont nos souverains, qui règne après règne, bâtissent une voie à travers le désert. Parmi ceux-ci notre actuel souverain se distingue particulièrement. Certains déjà le vénèrent sous le nom Muad'Dib :priere: et prédisent le retour de l'eau au pied des dunes ; mais je m'égare ; ces prophéties ne sont sans-doute pas de notre temps. :cool: Reste que Jaqmaq III, notre vénéré souverain, est en passe de réussir l'unification de la péninsule arabique. :clap:
Ce souverain, doté de solides compétences (Administration +7, Diplomatie +8) est à l'image du pays, à savoir des promesses à l'écrit , et des lacunes désespérantes en pratique (Guerre +0) , tel un mirage du désert.
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Après un début de règne éclipsé par la guerre austro-danoise-ottomane à laquelle il décida sans se démonter de participer, notre souverain s'illustra par des coups de génie diplomatique. Conséquences de la dite guerre qui se termina en 1541, sa première action fut de garantir la liberté des nations maghrébines, Maroc, Algers, Tunisie, marquant concrètement pour la première fois l'emprise mamelouk dans cette région. Ainsi envoya t-il des garnisons au Maroc , lointaines mais présentes sentinelles. Après quoi il oeuvra au bien intérieur du royaume : il convainquit le Hedjaz de nous rejoindre enfin en 922 (1544). La Mecque désormais, nous appartient, et nous défendrons. Gloire à Allah !:roi: Dans la foulée, le Qara Qoyunlu, après une juste période de probation décennale fut accepté en notre sein en 924 (1546). Voilà une carte qui commençait à avoir de la gueule :
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Jaqmaq III paracheva son travail en diplo-vassalisant la Tunisie - 927 (1549) -, afin de sécuriser la frontière occidentale, ainsi que le Yémen - 930 (1552) -, petit pays à la dérive dont la capitale était aux mains de rebelles depuis 15 ans. Déjà âgé , 22 ans de règne, Jaqmaq III est encore vaillant et oeuvrera jusqu'au bout au réveil de l'oryx du désert.
A preuve nos revenus qui poursuivent leur progression, dans le sillage des plus grands.
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(Nous saluons au passage la belle progression anglaise :choc: !)
Ah , ainsi guidés, si nos ducats ne s'évaporaient pas sous le soleil de plomb du désert, quelles aventures scientifiques ne mènerions-nous pas ! :angel:

SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

Echo outre-méditerranéen aux déclarations danoises
 

Notre cour se félicite des lumières qui se sont embrasées au nord, par dessus tant d'obscurantisme. Manifestement , malgré vos errements passés, vos nouvelles approches de la foi vous assagissent. Que nous l'appelions Jahvé, Dieu, ou Allah, nous honorons tous le dieu d'Abraham, d'où il découle que des guerres entre nos nations sont en effet injustifiées. Puissiez-vous bientôt mener votre bonne parole en terre barbaro-germaine. :o:
SnoopyNap, Grand Vizir des Mamelouks

Chronique de Scandinavie. 1541-1557.



-Libération du royaume de Pologne de son lien de vassalité avec la sublime porte :


En 1541, grâce à la médiation du royaume de Castille qui offrit la libération du Maroc, la sublime porte et son infidèle souverain acceptèrent nos conditions, mettant fin à ce conflit sanglant entre nos deux parties, gloire à l'Empereur et au roi de Scandinavie, les défenseurs de l'Europe face au Barbare!



-Construction de la première flotte mondiale.


Après le conflit, le feu roi Frederik III, ordonne le sabordage de la flotte de méditerranée constituée que de Galéasse, vaisseaux ne pouvant tenir la haute mer comme l’avait demandé l’état major, pour constitué une flotte de vaisseau lourd. Pendant plusieurs année nos arsenaux attendirent la version finale d’un navire devant nous donner la suprématie maritime Le navire ainsi crée prit le nom commun de Galion, il est vrai qu’il est moins rapide que la caravelle, mais ce premier emporte un armement supérieur, nos talents de marin devraient compenser cette perte de vitesse. Frederik III lança un effort d’envergure national pour la construction de cette flotte, en deux ans furent construit 50 de ces navires lourds, la plus grande flotte au monde !



-Guerre de succession du Salzburg.



Au mois d’octobre 1541, une missive de l’Empereur nous arriva, celui-ci nous demandé de l’aide contre la succession en cour au Salzburg avec le roi de Bavière. Notre roi devait entamer l’année qui suivait dans l’empire jusqu'à Vienne, voulant en profiter pour rencontrer les seigneurs protestant du saint empire romain germanique pour les assurer de son aide.

Les discussions furent houleuses pour décidé si on devait aider ce seigneur catholique, l’argument qui mit fin à la discussion fut le fait que cette guerre n’était qu’entre catholique et que nous combattrions aucun frère et qu’on pourrait même en profiter pour évangéliser la région en amenant un très grand nombre de pasteur à notre suite.

Notre souverain prit la tête d’une armée de 7000 milles fantassin et marcha à travers l’empire arrivant en Bavière en 1542, notre armé participant au siège des places fortes de la région, et amenant nourriture et protection à la faible communauté réformé de Bavière qui sous l’effet de nos pasteurs croissait de jour en jour, la transformant en principale communauté de cet état en 1551.

La paix de 1543 installa l’autorité de Vienne sur la région, renforçant son pré-carré, après deux mois de repos à Vienne notre souverain put revenir en notre capitale.





-La guerre de conversion de la Grande Bretagne.



Depuis l’installation d’une communauté réformée sur les terres britannique, nos souverains surveillés la situation de cet état, et sa politique envers nos frères britanniques converti, cet état de Grande Bretagne par sa politique de soutien au puissant féodaux, participait aux brimades que nos communautés égalitaristes subissaient de ceci, ne pouvant supporter toute rébellion contre leur pouvoir, notre état engagé dans des réformes de dissolution de tout privilège, combat réussit juste après la guerre, cela ne pouvait être qu’intolérable !

Après plusieurs demande, un ultimatum fut lancé en 1548 mais fut totalement refusé par le roi des iles Britannique poussé par sa noblesse malgré ses sympathies pour les idées réformés.

Le 16 octobre 1548, la guerre fut déclarée, rejoint par nos alliés protestant allemand, notre marine royal partit à la recherche de la Royal Navy, qui s’échappa vers un port irlandais et y resta protéger en attendant le départ de notre armada pour s’enfuir dans les indes de l’ouest.

La décision fut prise de la construction d’une flotte de blocus pour empêcher tout commerce extérieur et pousser la Royal Navy à l’action. La flotte britannique réapparut en mars 1550 fonçant dans la manche, frappant notre marine de galère, notre flotte principal ne pouvant agir du fait d’une tempête la bloquant en rade de Cherbourg assez de temps pour que notre blocus tombe à l’eau. A partir de ce moment une course poursuite fut engager avec la Royal Navy fuyant vers ses colonies en faisant le tour de l’Ecosse, de jour en jour notre marine prit de l’avance, engageant le combat sur les cotes écossaises le 21 avril 1550, face à nos 53 galions, 37 caravelles, et un meilleur commandement de notre cotés, à la fin du mois, la flotte britannique avait totalement disparu, notre marine rentrant groupé au port d’Orkney sans perte.

Avec cette victoire terrible, les Britanniques engagèrent des pourparlers de paix, leur souverain s’engageant à se convertir et à abandonner toute prétention sur les iles Orkney, contre 1000 ducas.


Aujourd'hui le royaume de Scandinavie et le royame de Grande Bretagne marche ensemble dans la défense de la relgion réformé, et de leur peuple.

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Bataille de la mer d'écosse.

-La fin de tout privilège.



Le fils de Frederik IV, aussi tourné que son père dans la religion réformé, mit fin au privilège qui étouffait la société, acceptant par deux fois les pétitions des bourgeois et du bas peuples.

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-Engagement dans la guerre de Brunswick.

En septembre 1550, nos états prirent part à cette guerre de défense, selon nos engagements de défendre la Bohème, celle-ci connue une fin rapide, la France vassalisant ce pays en mars 1551.

-Une concurrence international de plus en plus forte.

Avec l'ouverture de nous nouveaux marché avec la colonisation du nouveau monde, notre niveau de richesse est rejoint par la France, Venise et la Grande Bretagne, mais cela n'est que conjoncturelle selon les avis de nos spécialiste économique, qui prone une offensive commercial rapide pour recuperer une avance en ce domaine et garantir notre avance technologique sur la plupart des secteurs.

Déclaration Impériale



Nous faisons savoir au monde que nous sommes menacé par la France, de loin la première puissance mondiale, qui ose exiger l'abandon des Flandres :?: , notre province la plus riche, de laquelle nous tirons près de 20% de nos revenus ( centre de commerce, manufacture, impôts monstrueusement élevés etc etc).

Si nous perdons ce joyaux, nous retomberons à l'âge de la pierre et l'équilibre européen sera rompu à jamais. Aussi, nous annonçons au monde notre décision de lutter avec vaillance et courage: les armées Impériales accompliront des miracles pour sauver l'Empire et l'Europe.

Si le Roi de France ne renonce pas, de partout nos hordes surgiront et le Saint Empire Romain Germanique se lèvera unanimement derrière l'Empereur Dieu pour faire échouer cet acte ignoble :tongue:

Si le Très Haut nous donne la victoire, nous exigerons la libération des vassaux français de Lorraine, de Suisse et de Liège, ainsi que l'abandon du core Français sur la Franche-Comté, paix d'une valeur équivalente à l'abandon des Flandres.

Ainsi, une fois de plus, l'Empire va combattre pour la liberté des peuples.


Nous lutterons et nous vaincrons!

Silence mamelouk
 

Face à tant de déchirements dans la chrétienté nous ne pouvons que faire religieusement silence. :lol: Entre-déchirez-vous ; nous nous occupons de bouter hors Méditerranée les pirates musulmans.

Chroniques Impériales. 1541 – 1556. La marche vers la guerre



En 1541, immense succès Impérial :clap: , le Sultan libère la Pologne de sa sombre emprise. La Chrétienté unanime se relève pour applaudir à tout rompre l’Empereur Dieu victorieux, Bras Armée du Christ, et son allié de Scandinavie. Cette Sainte Croisade avait cependant été mises à profit par certains comploteurs pour semer le trouble dans le Saint Empire : ainsi, l’alliance Wurtemberg, Bavière et Anspach, tenta d’annexer Salzburg. La réaction Impériale ne se fit pas attendre et bon ordre a été rétablis au sein de l’Empire, avec le soutien du Roi de Scandinavie, notre valeureux allié.


C’est alors que Venise, profitant honteusement d’une vacance du pouvoir en Castille :loose: , attaqua sauvagement l’Aragon, avec la complicité Française. Les droits des peuples étaient bafoués de la façon la plus ignoble possible et c’est tout naturellement que les malheureuses victimes firent appel à l’Empereur Dieu, garant de la Justice, de la paix et de la stabilité dans le monde :o: .


La France déclara publiquement ne pas se soucier de cette histoire et l’Empereur lança alors un ultimatum à Venise, qui ne prit même pas la peine de répondre. Par contre, quand Vienne entra dans la guerre, pour protéger un Royaume chrétien attaqué, quelle ne fut pas notre surprise de nous retrouver aussi en guerre avec la France… :choc:


Avec une rare couardise :tongue: , Paris et Venise s’étaient en effet rapidement alliés dès l’annonce de l’ultimatum Impérial et ce en dépit de l’engagement public de la France à ne pas intervenir :?: . Vexé, et surtout absolument pas préparé pour mener une guerre contre la première puissance mondiale, l’Empereur Dieu signa une paix blanche et prophétisa que Paris allait regretter, tôt ou tard, d’avoir ainsi soutenu le renforcement de Venise… :mrgreen:


En attendant, la France, qui n’avait pas été consultée pour la signature de la paix ( Venise étant le chef d’alliance), commença à nous menacer de plus en plus ouvertement et finit par nous lancer un véritable ultimatum : la libération des Flandres ou la guerre. A Vienne, ce fut la consternation…:( Les Flandres ? Là où se trouvait notre unique centre de commerce ? Là où se trouvait une de nos deux manufactures ? Là où les impôts rapportaient plus que dans aucune autre province de l’Empire ? La France ne pouvait pas être sérieuse… Et pourtant, elle l’était :?: .


Menacé, violenté, harcelé de partout ( le Sultan nous menaçait aussi de guerre, et Venise de représailles), l’Empereur Dieu retroussa ses manches et ordonna la mobilisation générale : la France voulait la guerre et l’immense fortune des Flandres ? Qu’elle vienne donc…:tongue: Et si le Très Haut nous donne la victoire, nous réclamerons légitimement la libération de la Lorraine, de Liège et de la Suisse. Il est grand temps que la France aux milliers d’alliés cède du terrain, l’Europe a besoin de retrouver un certain équilibre.


Préoccupé lui aussi par le déséquilibre total qui minait l’Europe, le Doge repris contact avec Vienne, non pour menacer, mais pour discuter de certains soucis communs. Des ambassadeurs Impériaux partirent aussi pour Madrid et même Constantinople ( où ils furent d’ailleurs tellement mal reçu qu’ils se sont empressés de retourner à Vienne : l’Infidèle n’est qu’un grossier malpoli :tongue: ), sans oublier notre allié de Scandinavie. Des heures sombres s’annonçaient, nos armées se massaient dans les Flandres, nos arsenaux vomissaient nuit et jour de nouveaux canons et arquebuses : si la France persiste, elle trouvera à qui parler… :=(:

AAR OTTOMAN : 1er EPISODE


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(l'indulgence des lecteurs est sollicitée. Ceci est ma première oeuvre)

Histoire de France 1541 -1557



Le roi-fou d’Aragon décida de ne pas accéder à nos justes revendications, comme nous l’avions annoncé au monde, ceci fit office de casus belli, ainsi notre Glorieux souverain François Ier prit-il la meilleure des décisions.

La guerre fut déclarée à l’Aragon après que nous ayons scindé le serment de vassalisation et l’alliance nous liant.

Très vite, nos troupes siégèrent devant Barcelone et l’ensemble des terres ibériques furent sous contrôle Français. Cependant cela ne suffisait pas à François Ier, il en voulait plus afin démontrer au monde que nul ne peut s’aventurer à affronter la France, ainsi l’armée aragonaise fut réduite à néant, chaque soldat combattant pour le Roi-Fou fut exécuté .

La France annexa le Roussillon où la foule en délire applaudissait le passage des troupes royales.

Que le monde se le dise, personne ne peut tenir tête à la France.



Une fois la guerre terminée, les pestes qui avaient sévies en France s’arrêtèrent comme par magie, il est maintenant certain qu’elles furent divines et qu’elles constituaient une alerte contre la dangereuse alliance Franco-Aragonaise.



Après cette guerre, la France fut engagée dans un plan général de modernisation des infrastructures, ainsi des milliers de ducats furent investis en ateliers, tax assesor, etc.

Ce qui nous permit de passer de 200 ducats annuels à près de 400.



Le roi décida ensuite de lancer le processus de colonisation, ainsi une petite flotte fut rebâtie afin d’explorer les nouvelles terres, très vite nos explorateurs découvrirent de petites îles au large d’une région appelée colombie.

Ne pouvant prendre terre directement sur la Colombie, le roi de France décida de coloniser deux de ces petites îles afin qu’elles servent d’avant-poste.

Cependant que le monde le sache, la Colombie est Française, quiconque ose en colonisé une seule province le regrettera.



Le règne de François Ier continua dans le calme et la sérénité, jusqu'à ce que l’Empereur, ignoble personnage soit dit en passant, décida de déclarer la guerre à Venise, et ce sans aucune raison apparente.

Evidement, la France qui était alliée à Venise, déclara la guerre à l’Autriche,

cependant, à la vue des troupes française l’Empereurounet prit peur et s’enfuit, nu comme un ver, dans les forêts de Franche-Comté.

Très vite le roi Français reçu une missive de l’Emperette qui nous suppliait d’accepter la Paix Blanche. Par charité, François Ier accepta mais il ne comptait pas en rester là.

L’Autriche devait payer, elle avait attaquer une pauvre nation sans défense, très en dessous de sa force et en plus exercait une pression énorme sur les marchands Flandriens qui ne pouvaient plus exercer leurs métiers de façon optimale, de nombreuses révoltes éclatèrent dans cette région, mais à chaque fois elles furent durement réprimées.

Nous, comprenons cette douleur et cette volonté d’indépendance et avons demander à l’Autriche de libèrer la Flandres. Seulement nous recumes comme réponse que l’Epereur était terrorisé et ne parvenait plus à prendre la moindre décision.

Ainsi, le Roi de France par générosité décida de laisser à l’Autriche 5 ans afin de se préparer à la Guerre, car cette fois il n’y aura plus de pitié pour l’Empereur-Pacotilleman.

Résignés, l’empereur ne put qu’accepter l’évidence et se préparer à la guerre, d’important renfort furent envoyer dans les Flandres, la France décida quant à elle de ne commencer son recrutement qu’en 1557 et ce afin de privilégier la colonisation.

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Для Святой России : 1542 - 1557 :


L'Empire de Russie somnolait, gérant au mieux les affaires courrantes. En fait, certains prétendaient que la Russie regardait les années passées attendant de voir la mort du Tsar Ivan V. Ses médiocres capacités de gouvernance n'ayant d'égales que la force de sa santé...
Le Tsar reconnu comme étant le plus calamiteux de l'histoire de la Russie semblant immortel...
Nous aurions dû alors connaitre une décennie monotone si le Roi de Pologne et Lithuanie n'avait été pas pris d'un geste de folie ce 23 Janvier 1546 en nous adressant une insulte !

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Que pouvait rechercher ainsi le Roi de Pologne et Lithuanie ? La Guerre ? Alors il allait l'obtenir.
En quelques mois, la formidable armée russe forte de 105.000 hommes déferle sur la Lithuanie et la Pologne. Toute opposition est rapidement balayée et notre victoire est totale.
En compensation, nous réclamons et obtenons les provinces de Pskov, Minsk, Polesia et Volhynia.
Cette guerre nous a également permis de venir pencher sur les affaires europeennes, rapprochant ainsi la zone d'influence du Kremlin sur l'Europe occidentale...


La Russie en 1557 :
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Nous entendons des rumeurs venues de Constantinople nous comparant à un ogre....
L'allusion est amusante venue d'un Empire qui lui même engouffre de nombreuses provinces sous sa coupe depuis quelques années...

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Nous avons aussi noté que l'Empire Ottoman s'est emparé de la Horde d'Or et de son Centre de Commerce d'Astrakhan, et par la même occasion de la province de Bogurjar qui comme tout le monde peut le constater est legitimement revendicable par la Russie, et seulement par la Russie.

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Nous attendons donc du Sultan un restitution de cette province ou l'ouverture de négociations visant à compenser la Russie et à oeuvrer à la paix de la région.

Nous avons entendu, venant de la part de divers coins d'Europe que de nouvelles terres ont été découvertes par delà les océans. Malheureusement les navigateurs russes sont assez timorés et nous n'entendrons donc ces histoires de nouveau Monde qu'assis au coin du feu au Kremlin lorsque les ambassadeurs européens se rendront à Moscou.
Nous saluons donc ici les Cours d'Europe et leur souhaitons bonne chance dans leurs expéditions.

Nous avons aussi entendu de bien plus mauvaises nouvelles avec le Roi de France qui souffle le vent de la guerre sur le Saint Empire Germain. La Russie ne peut tolérer pareille exaction et affirme ici son soutien inconditionnel à l'Empereur dans ce qui apparait être une tentative de spoliation. Un soutien ferme et inconditionnel, qui saura se concretiser par des actions militaires si cela devait être nécessaire....