Réponse de la France au Royaume du Portugal



Nous signalons au Roi du Portugal, que la garnison de Savannah, qui soit dit en passant a été massacrée par les espagnols, n’a été commissionné que pour répondre à une précédente tentative espagnole de s’emparer de la province par la force, également sans déclaration préalable de Madrid.



Naturellement, si l’Espagne avait annoncé ses intentions, ET s’était engagé à nous rendre le Roussillon, nous aurions évacuer la garnison.



Mais nous n’avons recu ni l’un, ni l’autre.

De plus, l’Espagne refuse toujours de rendre le Roussillon et avance de nouvelles prétentions



Aussi, nous saluons l’initiative du Portugal dans sa tentative de médiation, mais malheureusement aujourd’hui, et uniquement du fait de l’attitude bornée de l’Espagne, le mot médiation n’a plus lieu d’être...

Réponse de la diplomatie espagnole à Paris

Le contingent français (16.000 hommes!) était présent sur Savannah depuis des décennies, et notre attaque sur la province datait d'avant notre accord d'échange Roussillon contre Savannah.

Hors, vous ne nous avez pas rendu Savannah, nous avons dut la reprendre par la force! Il est certes facile de dire "que si ceci, ou si cela..." vous l'auriez rendue, mais les faits sont là.
Savannah n'a pas été rendue, et le traité que vous vous bornez à mettre en avant a des années de vieillesses... ce qui à nos yeux le rend caduque!

Précisons aussi que dans cet ancien traité auquel vous vous accrochez comme un poivrot à un luminaire de rue, seul le Roussillon était concerné. Hors ici, dans les nouvelles "prétentions" espagnoles, comme vous vous plaisez à les qualifier, il est également question de la cession de la Franche Comté en dédommagement!
Je pense qu'il était utile de le préciser, car la diplomatie française est toute entière tournée à diaboliser l'Espagne aux yeux du monde, mais alors, il faut y aller plus subtillement et surtout ne pas omettre de cacher certaines parties de la vérité.
Ou à moins que la France ne désire pas récupèrer la Franche Comté? Auquel cas nous avons dut mal lire et interprèter ses demandes via missives secretes...

L'Espagne pour sa part en restera là. Nous avons proposé de cèder deux provinces en Europe (Franche Comté et Roussillon) contre deux colonies en Amérique du nord dont l'une en est encore au stade d'implantation minuscule, cela a été refusé par Paris, alors que Madrid jugeait cela honnete et plus que raisonnable !

Nous aimerions connaitre l'avis des autres Royaumes Chrétiens quant à ce différent et sur l'honneteté de la proposition espagnole.

1606 - 1619 : L'amer parfum de la défaite.


Entre 1588 et 1606, durant 18 ans, la maison des Leäzel fut écartée du pouvoir. La longue lignée de conseillé fut évincée au profit de la famille des Vinceberg, réputé plus féroce, plus hargneux. Peut-être répondaient-ils mieux aux attentes bélliqueuse de Rodolphe II.
Mal en prit au roi car cette période marqua la chute de la puissance Autrichienne et, le joyaux de l'empire, les pays-bas furent arrachés de force a notre patrie, dans une horrible guerre menées par des tyrans ayant soif de sang !

Toujour est-il que l'empire devait rapidement retrouvé une figure forte pour le guider et dans la plus pure tradition de leur famille les Leäzel renouèrent avec la politique de domination du Saint-Empire.
Lorsqu'ils retrouvèrent leur influence sur les archiduc le pays était en guerre contre la Pologne, le Danemark et la Pomméranie.

Deux de nos armées assiègaient Lübeck et Rostock qui tombèrent rapidement : le duc fut contraint de ceder le Mecklembourg et dû se résoudre a embrassé la foie catholique et a abandonné son héresie protestante.
Mais l'effort principale de nos géneraux se porta sur la Pologne : ce malheureux royaume avait vus son roi fuir en Hollande, et ces provinces menacaient de sombrer dans l'anarchie : l'ukraine s'était déjà émancipée de la tutelle polonaise !

La lutte contre la Pologne ne fut pas des plus facile, même si attiré par notre combat la Suède se jetta avidemment sur une proie affaiblie afin de lui arracher la riche ville de Danzig.
Un accord fut rapidement trouvé : que le roi de Suède se tienne a l'est de la Vistule et l'empereur le laisserait faire, mais qu'il tente de franchir la Vistule et d'entrer dans le saint empire, alors l'empereur entrerait en colère !

La Posnanie, Cracovie et la province de Grande Pologne passèrent sous autorité Autrichienne. Galizien passa aussi sous notre autorité mais l'empereur ne voulait pas de ces terres et déclara publiquement son désinterêt pour cette province (limite de 3 province en prise de guerre).


Une fois le conflit terminé, l'empereur négocia avec le roi de France la retrocession de la ville de Calais, qui avec la perte de la Hollande perdait son caractère stratégique. La ville fut cedée en échange de quoi l'empereur pouvait faire valoir ses droits sur le Milanais et Mantoue.
Ce qu'il ne manqua pas de faire puisque la guerre fut rapidement déclarée et nos armées commandés par de brillants géneraux marchèrent sur la plaine du Po :


La guerre fut rapide, le milanais retrouva sa souveraineté sous tutelle Habsbourg, et le mantoue dû être annexé afin de pouvoir faire table rase des anciens duc a la solde des Français. Une nouvelle dynastie fut mise au pouvoir peu de temp aprés, mais ce petit jeux déplut fortement aux Pape qui voyait là une tentative flagrante de l'empereur de renverser la papauté (... :yeux:).

Il nous déclara donc la guerre, suivit de son alliés du Baden, mais il allait rapidement le regretter.. (suite au prochain épisode ;))

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Sur le plan interieur, l'empire fut horrifié par une affaire sanglante. L'affaire de la comtesse Erzsébet Báthory, une hongroise qui fut passée en procés en 1611. Ses crimes étaient véritablement horrible : Elle avoua avoir fait torturer a mort prés de 600 jeunes femmes pour son plaisir. Certains de ses domestique rapportèrent même qu'elle aurait but du sang de ces femmes !
Le tribunal découvrit rapidement la vérité sur cette affaire : la comtesse n'était autre qu'une protestante, une héretique comme de nombreux autres nobles hongrois.


Ordre impérial fut donc donné de convertir par tout les moyens les luthériens et autres calviniste de Hongrie. L'inquisition fut même envoyée dans les provinces de Magyar et de Banat.
Fort heuresement la conversion des hongrois ne posa pas d'autres problèmes, contrairement aux protestant de Bohème qui osèrent défenestré deux représentants du roi !



Sur le plan diplomatique, l'empereur tient a signifier plusieurs choses :

L'empereur garde en souvenir la traitrise qu'a fait preuve la branche cadette de la maison des Habsbourg durant la grande guerre de libération de la Hollande. Ainsi, jusqu'a ce qu'un representant des maisons ibérique vienne faire une demande de pardon publique l'Autriche coupe toute relations diplomatique avec ces pays.

Nous esperons ensuite que le roi de Suède s'en tienne aux accords de Danzig et qu'il déclare publiquement son acceptation.

Enfin, le Sultan et l'Empereur semblement tout deux satisfait des frontières actuels dans les balkans, et nous tenons donc a l'exprimer publiquement.

La situation de l'Autriche en Europe en 1619 :

Brève chronique de la pologne


La période qui s'ouvre pour la pologne est bien triste.
La grande famille Thrawn qui conseillais le roi de pologne depuis des décennies fut évincé par un coup d'état mené par d'autres grandes familles nobles, ulcéré de voir ce noble étranger acquérir une si grande influence auprès des rois successifs....

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Le meurtre des fidèles du Grand Amiral Thrawn dans les caves du palais de Varsovie

Mais le roi ne se laissa pas influencer aussi facilement. Quelques années plus tards le Grand Amiral Thrawn fit son retour triomphal dans varsovie et fit décapiter la rebellion.

Mais les ennemis de la nation ne désarmait pas. Alors que le pays était en pleine guerre "mondiale" ces renégats armée par tous les ennemis de la sainte pologne commirent l'irréparable. Ils tentèrent un deuxième coup d'état et cette fois ils réussirent au dela de toute espérance.
Leurs mercenaires envahirent le palais de résidence du Grand Amiral. Sa femme bien aimée fut massacré par les rebelles qui lui firent subir d'autres supplices innomables.
Les enfants furent eux aussi mis en pièce tous commes les serviteurs.
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La prise du palais d'hiver

Par miracle le grand amiral ne se trouvait pas dans le palais lors de sa prise.
Il réussit grace à l'amitié de quelques paysans à se déguiser en courrier à cheval et à fuir jusqu'a Dantzig.
De là il réquisitionna un bateau et décida de voguer vers les pays-bas pour y proposer ses humbles services.
Quand au roi de pologne il devint vite une marionnette entre les mains des conspirateurs
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Le roi de pologne vers la fin de sa vie

Le grand amiral s'arreta aussi à stockholm ou il fut convaincu de demander la protection de la suède sur Dantzig.
Finalement l'amiral put rejoindre la hollande et démarrer une nouvelle carrière.
Il faut signaler qu'a cause de ces maudits rebelles la pologne n'eut meme pas droit à etre représenté dans le film historique dont nous parla Elvis!!:( :enerve:

Bon désolé c'est un peu court mais avec toutes mes abscences j'avais un peu perdu le fil de la partie à des moments:hello:

Désolé, j'ai dû coupé au montage..... ;)

Mais, je suis sûr que la Hollande aura une place de choix dans notre prochaine superproduction !

Il semble que le triste arguementaire de Madrid n'a trouvé aucune oreille attentive....

Preuve que l'Espagne a perdu depuis longtemps toute crédibilité au sein des cours européennes.
Quel être sains d'esprit porterait encore attention aux divagations d'un royaume décadants et aux abois ? ...

Conseil des haches rouges Vikings


Séance de janvier 1620

L’ambassadeur de France, pays noble et juste :) , est venu plaider la cause de son pays devant le conseil. Après délibération, il a été décidé, par 6 voix contre 4, de lui apporter aide et soutien contre l’Espagne. Raison principale : Madrid nous est hostile, sans que nous sachions pourquoi, depuis trop longtemps : son soutien financier à la Russie doit se payer et l’heure est venue :tongue: . Objectifs de guerre : aucun gain territorial n’est envisagé, la Suède n’est pas une nation expansionniste. Les cartes françaises, pour nos marchands, et la ruine de l’Espagne nous suffiront : l’engagement de la Suède sera de toute façon limité, le vœux de Paris étant que nous défendions avant tout la France. La guerre sera déclarée en 1621.


Séance de janvier 1624

Aucune offensive espagnole constatée en France, le corps expéditionnaire Suédois reste tranquillement l’arme au pied. Envoi d’un simple régiment hors Europe et conquête facile de toute la Lousiane espagnole en moins de 5 mois. Coût : 310 tués Suédois. Mexique prenable entièrement en moins d’un an. Mise sur pied de deux régiments supplémentaire pour conquérir toute l’Amérique madrilène, de l’Argentine au Canada :mrgreen: . Veto français, guerre interdite hors Europe par accord avec Madrid : il faut lutter exclusivement en Espagne, dans les montagnes lourdement fortifiées et où Madrid peut concentrer 100% de ses effectifs et de ses chefs, n’ayant plus son immense empire colonial à défendre, son talon d’achille.

Avons toujours pas compris comment la France a pu signer un traité aussi inepte, qui la condamne à l’impasse de façon inévitable :?: . Nos vikings resteront cependant en France : si cette dernière s’est d’elle même condamnée en signant cet accord, la Suède, elle, a d’autres objectifs… L’entretien d’armées surdimensionnés ruine l’Espagne, alors que nos propres revenus s’envolent littéralement ( + 25% en 10 ans). Profitons de notre richesse immense pour nous autoproclamer seul défenseur de la foi protestante, rôle qui nous revenait de droit et qui sied parfaitement à notre modestie naturelle :) .


Séance de janvier 1626

Avons quand même pris l’offensive en Espagne, sommes vraiment très courageux :chicos: . Repli français, bien au delà des frontières, pour ‘cause d’attrition’, qui laisse l’armée Suédoise seule en Espagne et aux frontières françaises… N’avons visiblement pas les mêmes conceptions de la guerre. Partons déçus mais invainçus. Refusons néanmoins moultes propositions de paix blanche espagnoles : si la France ne veut pas vaincre :tongue: , ce n’est pas notre problème, notre rôle se borne à empêcher une victoire espagnole, chose que nous faisons d’ailleurs fort bien… Trop bien même.


Séance de janvier 1628

Excédé par notre bravoure immense et notre courage indomptable, l’Espagne tente sournoisement un débarquement en Suède même afin de nous forcer à abandonner notre noble allié français : les délires mégalomanes de Madrid ont sombré en même temps que sa flotte :mrgreen: . La Suède entre ainsi par la grande porte dans le cercle très fermé des puissances navales mondiales. L’Espagne se replie piteusement en gémissant et continue à se ruiner toujours plus, voilà qui est plaisant : cette guerre est un vrai triomphe pour la Suède.

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Quelques heures avant la grande victoire navale Suédoise


Séance de janvier 1630

Arrivée de Turenne en France, qui insuffle aux troupes françaises un nouvel esprit, plus conquérant, plus agressif :) . Double offensive Franco-Suédoise dans les Pyrénées : armées espagnoles décimées, immense triomphe pour nos héros, qui se replient néanmoins, fiers et victorieux, afin d’éviter l’attrition. La ruine de l’Espagne se poursuit, voilà qui est vraiment plaisant : bientôt ce pays n’aura plus d’autre solution que de se placer sous la protection française et prêter serment de vassalité. Justice sera alors rendue et Paris enseignera à Madrid des notions comme honneur, justice, paix etc etc

Russie 1590-1620 : La Grande saignée



En 1590, l'Europe est en ébulition prête à la guerre pour mettre fin à " l'hégémonie " Autrichienne sur le continent. Les coalitions qui s'opposent regroupe d'une part les Habsbourgs d'Autriche et d'Espagne aux cotés du Portugal, et le reste des grandes puissances d'Europe jusqu'à la Sublime Porte. Seul notre noble Tzar n'avait pas encore choisi son camps. Certes la toute puissance de l'Autriche n'était pas pour plaire à notre Souverain, mais Moscow n'avait pas vraiment à en souffrir et une Alliance avec ces barbares de Polonais et ces gueux de Suédois donnait déjà la nausé à sa Majesté dès que l'idée lui était présentée. Cependant tous les ministres de Russie s'accordaient à dire que se mettre à la fois la Pologne, l'Empire Ottoman et la Suéde à dos n'était guère raisonnable, d'autant plus en imaginant qu'il serait bien difficile pour l'Autriche de nous soutenir efficacement. En 1596 la Guerre éclate et le Tzar n'a plus le choix, il doit choisir un camps et ce sera donc celui de l'Autriche.





1596-1606 : La valse Rupodoise.



Trois corps d'armées se partagent la défense du front au début de la guerre. La Iere Armée, chargé de la défense de la frontière scandinave face aux Suédois, la II Armée chargé des opérations sur la frontière Polonaise nord, et la III ème, dédiée à la défense de la frontière Sud.

Sans véritable chef de valeur, face aux efforts joints des Polonais et des Suédois et aux graves difficultés pour se ravitailler, la guerre tourne vite en une course sans fin pour la supériorité numérique lors des batailles. Les campagnes consistèrent donc surtout en une suite ininterrompue de pièges et de tentative d'encerclement, d'abord sur le territoire Polonais, puis sur le territoire Russe. Les Polonais et les Suédois pourront par la suite se venter de leurs " Exploits ", contre la Russie, eux-même n'ont pas réussi à percer en Russie, et ce ne fut pas faute de ne pas avoir essayé.
Au final, après près de dix ans de guerre, les campagnes succéssives n'avaient permis que la prise d'une ville Polonaise, rapidement reprise, et d'une ville Russe, elle aussi rapidement reprise, et cela au prix de milliers de morts, pour l'essentiel emporté par l'incapacité des différentes armées à faire parvenir du ravitaillement à leurs hommes. Mais le pire était à venir...



La Grande Mobilisation Polonaise : 1606-1620


A partir de 1606, la stratégie de l'Alliance de l'Ouest dévient résolument défensive. Les Suédois se retirent du Front, et l'essentiel des chefs Polonais quittent la frontière pour soutenir l'effort de guerre contre l'Autriche. L'Etat-Major Russe estime alors que sans véritable chef, sans l'aide des Suédois et incapable de franchir la frontière Russe, l'armée Polonaise sera vite dépassée par notre nouveau plan offensif ! :boxing: .
Malheuresement les premiers soldats Russes qui partiront en tête de l'attaque générale se poseront rapidement des questions sur la lucidité de leurs chefs au moment de l'élaboration de cette nouvelle offensive :bourre: . En effet, très rapidement les armées Russes vont se retrouver confronter à une armée Polonaise en écrasante supériorité numérique. Nos armées sont stopées net :vitre: . Malgré la conquête de plusieurs villes, les rigueurs de l'hiver et les contre-attaques furieuses des Polonais nous poussent constament vers la retraite:bequille:. Enfin pour ne rien arranger, en 1610 une importante révolte éclate dans l'Est du pays et menace de sécession nos nouveaux territoires cela ne fait rien pour arranger la sombre humeur du Tzar :colere: . Les chefs d'Etat-Majeur qui avaient prévu à partir de 1606 une victoire en trois ans ne savent plus trop que répondre aux doléances de notre souverain et sont rapidement contraints de reconnaître que la Victoire n'est pas à porter de main. Une paix blanche s'impose :goutte: . Cependant les Polonais exigent des dédommagements que le Tzar se refuse à verser, la guerre a en effet couté très cher au pays et il n'est pas question de l'endetter d'avantage. Cependant, après une dernière année de ravage dans l'Est, en 1614 une nouvelle vague de révolte secoue cette fois si tout le pays, Moscow n'a plus le choix et doit traiter avec les Polonais : 250 000 Ducats leur sont versés pour leur arracher la paix au grand désespoir du Tzar :desole: :fiston: . Par la suite la révolte sera sevèrement réprimée et 5 ans plus tard, la Russie se joindra à la Suède et à l'Autriche au grand dépeçage de la courageuse Pologne. La Suède s'emparera du riche Centre commercial de Dantzig, l'Autriche des vastes plaines de l'Ouest et nous même des territoires de l'Est. Il convient cependant de saluer le courage et la ténacité des Polonais qui bien que confrontés à trois ennemis et venant à peine de retrouver la paix après près de 20 ans de guerre ont encore trouver les forces nécessaires pour tenir sérieusement tête aux puissantes armées Autrichiennee. Peut être la Russie aurait elle dû avoir pitié de notre noble voisin, cependant comme le dit si bien notre Tzar :diable: .

Quand les montagnes sont noyées de sang...

Chroniques espagnoles: Guerre franco-espagnole.

"Rendez nous le Roussillon et la France Comté!"
Voilà la diplomatie française... Enfin, plutôt faudrait-il la nommer dictocratie!
Nous proposâmes d'échanger ces deux provinces contre deux misérables colonies, dont l'une n'était qu'un début d'implantation villageoise (colonie niv 2) ne produisant que du vulgaire coton, et n'étant sans doute jamais destinées à verser de grands impots au gouvernement central. Bref, un échange à l'avantage de Paris mais dans le quel l'Espagne montrait au moins sa bonne volonté en ne cherchant pas, vaille que vaille, un échange équitable et équilibré!
Et quelle ne fut pas notre surprise de voir que la France refusait cette offre que nous jugions pour le moins trés favorable pour elle.
Nous furent égalemùent déçus de la part des autres nations d'Europe qui regardèrent sans bouger les appétits français grandir... et encore grandir !

L'Espagne refusa de cèder aux menaces françaises, qui comme à son habitude, menaçait l'Espagne de voir déferler sur son sol toute l'Europe armée... Mais notre Honneur restera intact!
Ces provinces devront être arrachées par la force à notre Royaume si telles sont les prétentions violentes et gourmandes de la France.
Et dans sa guerre de conquête, elle ne put dénicher que de bien piètres alliés mineurs et de seconde zone... Quelques états italiens et le Royaume de Suède.

La France, comme prévu, nous déclara donc la guerre. Objectif annoncé: Roussillon et Franche Comté. Nous nous sommes accordés avec Paris et Londres pour conserver la zone de conflit strictement en zone métropolitaine.
Détail que Paris ne crut pas nécesaire de préciser à son allié suédois qui se fatigua pourrien à débarquer en Floride. Soit.

Ambrogio Spinola, commandant en chef des armées espagnoles en Europe
http://www.rijksmuseum.nl/images/ari...a/maxwidth_288

Mes les appétits français étaient enfin démasqués: Ils ne se limitaient plus à Roussillon et France Comté. La riche et prospère province de savoie tomba entre les mains françaises! Et la Lorraine, état indépendant et souverain fut envahit totalement avec comme objectif annoncé et clairement avoué de le vassaliser ... avec sans doute dans la tête une future diplo annexion.
Bref, c'est toute la face de l'Europe Occidentale qui change dans cette guerre, la France se goinfrant de provinces que l'Espagne s'évertuait à protèger jusqu'ici.
Mais seuls, que pouvons nous?

La protection divine qui fut accordée à l'Espagne
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Dieu soit loué, la providence dota notre Royaume de murailles naturelles exceptionnelles ! Les Pyrénnées en effet, virent mourrir des centaines de milliers de suédois et de français... et cela aussi bien dans les batailles légendaires que dans les longues retraites que ces armées durent éffectuer pour regagner rapidement le sol français pour y trouver repos et ravitaillement. Aussi bien Turenne que Gustav Adolf, des hommes soit disant invincibles, durent repartir chez eux la queue entre les pattes!

La situation militaire actuelle en Espagne. L'impuissance des armées coalisées et évidente. Elles n'ont d'autre choix, à chaque tentative d'invasion de la péninsule que de rejoindre rapidement la France en laissant derrière eux 75% de leurs éffectifs initiaux.
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Bref, l'Espagne ne cède en aucune manière et c'est avec un relatif aveu d'impuissance que Paris accepte enfin les conditons espagnoles.
Roussillon et Franche Comté contre Yazoo et Alabama.
Néanmoins, le mal est fait. La France est devenue plus forte que jamais, et dans cette guerre, en tout 4 riches provinces vont rejoindre le Royaume de France, devenu dangeureux de par sa puissance.

L'Europe occidentale aprés les succés français:
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Puisse l'Autriche constater son erreur en laissant la France ainsi se gaver.
Mais Madrid aura fait sa part du travail pour retarder l'innéluctable: La domination française.
A présent, nous cèdons aux demandes françaises en acceptant les miettes de compensations que nous désirions au départ.
L'Europe va sans doute comprendre sa grave erreur en ayant soutenu la France dans ses guerres de conquêtes et dans son affirmation en tant que nation dominante.

Naissance d'une nation


La hollande émerge enfin de la domination autrichienne. Cependant elle continue de faire partie de l'alliance de l'empereur. L'autriche est le meilleur rempart terrestre de la hollande.
"Qui s'y frotte s'y pique" :mrgreen:

La hollande fait fonctionner la planche à billet et rapidement les marchands hollandais viennent déferler dans les COT d'extreme orient et d'amérique à la plus grande "joie" du portugais, ravie de se trouver un camarade de jeu....:yeux:
Profitez en les gars car dans quelques siècles c'est une invasion bien plus terrible qui s'annonce: les touriste hollandais :chicos:

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L'arme secrète des hollandais

En plus de ses marchands la hollande peut compter sur la valeur de ses amiraux, les meilleurs du monde.
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Le Grand Amiral Tromp Seigneur des océans

Sur le plan de la politique extérieure la hollande dévellope ses colonies dans la seule région qui reste disponible: la californie. Cette réussite est couronné par la création d'un COT sous notre controle.
La hollande récupère aussi le brabant à l'autriche mais les fourbes belges en profitent pour déclarer leur indépendance.:enerve:
En europe cependant la france attaque l'espagne et les suédois en profitent pour faire mumuse avec leur flotte contre les ibériques
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Je vous laisse deviner qui est qui :mrgreen:

Les espagnols refusent de rendre les armes
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Finalement les infirmiers s'occupèrent du dénommé cypho;)


La hollande est donc un pays faible et pacifique qui dévellope les arts et le commerce mais prudence si quelqu'un osait l'attaquer alors la hollande se déchainerait et ca serait la guerre jusqu'a la mort.
Mais la hollande sait que ceux qui l'entoure sont ses amis et que seul le portugal est un ennemi en puissance (commercial surtout)
La hollande fait donc parvenir aux nations européene une déclaration d'amitié éternelle et elle rapelle que, bien qu'elle soit allié a l'autriche elle ne rentrera jamais en guerre contre un de ses frères protestant.:hello:

La guerre du Roussillon



Après l’assassinat de notre bon Roi Henri IV, d’ailleurs des ducats espagnols furent retrouvés dans les poche du dit Ravaillac, le roi Louis XIII fit serment d’honorer les dernière volonté du béarnais. Rattacher le Roussillon au royaume de France.

Certes, l’Espagne avait longtemps fait de jolis ronds de jambes, et promis à moult reprises la cession de cette province.

Mais les promesses espagnoles ne furent jamais suivies d’actes.

Aussi, nous lançames donc un dernier ultimatum en 1621 :

Le Roussillon ou la guerre.

Devant la non réponse de Madrid, nous n‘eûmes d’autre choix que de lancer nos armées.



L’armée francaise n’avait jamais été aussi forte, et rapidement, Roussillon, Franche Comté, Lorraine, et Savoie furent occupées par nos troupes.

Les espagnols tentèrent quelques incursions dans le Sud Ouest, mais furent rapidement repoussés.

L’espagnol tenta également une expédition en Italie, mais dû réembarqué ses troupes après un échec cuisant.

L’Ibérique tenta alors de débarquer en Provence pour contourner nos lignes en face des Pyrénées. Mais là encore il fut facilement repoussé.



Puis vint un jeune général plein de talent, Turenne.

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Turenne, Maréchal de France

Avec un tel commandant, les armées francaises étaient désormais prêtes à l’offensive.

En accord avec nos alliés suédois, l’ordre fut donné de traverser les Pyrénées.

Bien que les batailles furent victorieuses, de telles marches à travers les chaines montagneuses avaient considérablement amoindries nos forces, et nous ne pouvons exploiter nos victoires.

Ordre est donner de rejoindre la France…



Bref, le conflit entrait dans un statu quo, et nous décidions alors d’entrer en négociation avec Madrid, et trouvâmes un accord pour terminer cette guerre très coûteuse.

Franche Comté et Roussillon à la France, reconnaissance de la vassalité de la Lorraine à la France.

En échange, la France consent à céder les colonies de Yazoo et Alabama à la couronne d’Espagne dans les 5 ans à venir.

La blietzkrieg Suédoise



La paix entre la France et l’Espagne est finalement signée, notre noble allié victorieux obtient tout ce qu’il revendiquait en Europe et ne manque pas de rendre un vibrant hommage aux soldats Suédois :) , qui sont tombés par milliers dans les Pyrénées pour soutenir sa cause : la ferme loyauté des Vikings du nord est une perle vraiment rare dans ce monde de brutes belliqueuses sans foi ni loi :?: .

Alors que notre petit mais valeureux pays pays se remet péniblement de cette longue guerre, des ambassadeurs de Pologne, pays ami depuis 150 ans, arrivent à Stockholm et implorent notre aide : les barbares ravagent leurs terres (est-il vraiment nécessaire de préciser la nationalité :mrgreen: ?). En 1632, alors que la révolte gronde toujours dans nos campagnes (WE +4), Gustave-Adolphe de Suède franchit le rubicon : c’est la guerre !

Ingermanland puis Novgorod tombent comme des fruits mûrs, la Russie, toujours embourbée en Pologne, est complètement prise au dépourvus : l’audace incroyable de la Suède, toujours pas remise de sa guerre précédente, doit et va payer :p: ! C’est en effet une blietzkrieg qui se lance, pas une lente et mortelle guerre d’usure comme Moscou l’avait fait lors de la guerre de Hollande, ce qui avait d’ailleurs complètement échoué :tongue: .

La blietzkrieg Suédoise



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Moins de 5 mois après la déclaration de guerre, Gustave-Adolphe atteint déjà Moscou et la capitale russe est prise d’assaut ! Le monde émerveillé mais aussi incrédule apprend l’étonnante nouvelle : le drapeau Suédois flotte sur Moscou et Gustave-Adolphe passe une nuit inoubliable dans le palais des Tsars, avec la Tsarine, oubliée par un Tsar parti en quatrième vitesse pour éviter l’humiliante capture : on raconte que, le lendemain la Tsarine, radieuse, se serait exclamée « Enfin un homme, un vrai » :chicos:


La chute de Moscou et l’arrivée des hordes Russes



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Le héros de Suède, victorieux, reprend alors la tête de l’armée et se précipite au Nizhgorod, où se rassemblent les troupes Russes : Guga les écrase complètement puis prend la province d’assaut :clap: . Le peuple russe commence alors à gronder, les pressions internationales se font terribles et le Tsar, tétanisé, n’a plus le choix : il doit réagir ou s’avouer vaincu ! Sournoisement, il va attendre que l’hiver meurtrier passe, cet hiver qui va tuer bien plus de nos soldats que les batailles ou les assauts, mais le résultat sera très largement inférieur à ses attentes : Guga a soigneusement pris ses quartiers d’hiver à Moscou et la capitale offre un ravitaillement presque suffisant pour une armée somme toute assez réduite en nombre mais qui compense par sa bravoure et le génie tactique de Guga.

50.000 soldats Suédois se massent néanmoins aux frontières : la campagne de l’été 1633 sera aussi fulgurante que celle de 1632, les moyens sont au moins équivalents, supérieurs même :=(: . L’empire de Russie va s’effondrer, les Vikings du nord vont triompher et la malheureuse Pologne, ravagée par l’envahisseur barbare, sera sauvée. Le Tsar, curieusement, refuse cet alléchant programme et lance toutes ses forces pour une bataille décisive : ses armées disposent d’une très large supériorité numérique, de l’ordre de 4 contre 1 pour la cavalerie :?: , et Gustave-Adolphe, le conquérant de Moscou, a disparu depuis peu :( , au sommet de sa gloire éternelle.


La bataille de Moscou


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Les Russes sont écrasés et leur défaite est totale : pour éviter la destruction totale de son armée vaincue, le Tsar capitule enfin sans conditions :p: . Les Vikings du nord victorieux font alors preuve d’une immense modération malgré leur indiscutable victoire : ils se contentent d’annexer la province d’Ingermanland. La Russie n’a plus d’accès à la baltique, cela tombe bien, elle n’avait rien à y faire. Que le Tsar se concentre sur le sud ou sur l’est et la paix, stable et durable, pourra enfin régner entre la Russie et la Suède. Un front nord sécurisé aurait pour lui des conséquences incalculables : faute de disposer de cela, la Russie est une fois de plus contrainte à signer une lamentable paix blanche avec la Pologne :tongue: . Où serait actuellement la Russie si son Tsar avait accepté ce traité de paix que nous avions offert en 1492 et que nous reproposons à nouveau 150 ans plus tard ?

Le Peuple Libre, pacifique par nature, espérait enfin pouvoir goûter aux délices de la paix : las, il fallu de nouveau entrer en guerre, contraint et forcé :( , alors que les camapgnes étaient toujours très agitées (WE +3). L’Autriche attaquait en effet le Danemark, notre vassal et, surtout, un frère protestant. Inacceptable pour la Suède, défenseur autoproclamé de la foi protestante. 30.000 Bavarois catholiques se précipitent déjà contre Danzig, faiblement protégée (l’armée quitte à peine la Russie :?: ) : 8000 Suédois seulement les y attendent.


La bataille de Danzig



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Les Bavarois sont écrasés et les renforts arrivent en masse : l’armée Suédoise contre-attaque et pénètre en Autriche :mrgreen: ! Piccolomini est repoussé, Wiekepolska tombe, la foi Suédoise fait des miracles !


Le triomphe de la foi



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Mais le Danemark, pour lequel nous sommes entrés en guerre, refuse toute ingérence Suédoise : soit, puisqu’il veut tant périr, ainsi soit-il ! De cordiaux contacts sont alors établis avec l’Empereur, qui s’engage à maintenir la liberté religieuse au Holstein et accepte de dédommager la Suède pour ses ‘frais d’intervention’. La paix est aussitôt signée, la Suède n’a jamais contesté la prééminence impériale de Vienne sur le Saint-Empire Romain Germanique… tant que les droits des protestants sont respectés, ce qui est indéniablement le cas. Témoignages des bonnes relations Austro-Suédoises, quelques discrètes facilités sont gracieusement offertes à l’Empereur ;) , qui peut ainsi rapidement vaincre le Danemark. Notre frère de Hollande s’est aussi servi au passage, il a bien fait et nous lui affirmons qu’il conserve toute notre amitié :) .

La paix revenait enfin, il était temps ! L’économie Suédoise, un peu bousculée par plus d’une décennie de guerre, peut alors repartir à plein régime : nos marchands s’implantent fortement en Asie et en Afrique, une ville coloniale est fondée au Canada, un port en Afrique de l’ouest, des juges sont nommés sur tout le territoire et les manufactures poussent comme des champignons. Nul doute à avoir, Dieu lui-même nous récompense pour notre piété, pour notre ardeur à défendre la justice et la paix dans le monde. Longue vie aux vikings du Peuple Libre :o: !

J'ai mis a jour mon AAR sur la période 1572-1588, j'avais les screen mais je n'ai pas eu le temp de le rédiger avant de partir en vacances..

En tout cas c'est fait, et c'est ici ! :hello:

1619-1670 : Réforme, et reconstruction de l'empire.


1619-1658 : réaffirmation du pouvoir impériale.

La guerre contre le pape devait être menée rapidement afin de mater le plus vite possible la rébellion protestante dans le nord du saint empire.

Ainsi aprés une campagne sans trop de problème le siège fut mis devant la cité millénaire, le joyaux de la chrétienneté, rome.


Le pape dément, qui avait osé nous attaquer dût alors se résoudre a une paix arrengeante pour tous. Le saint siège ne perdait aucun territoire, mais passait sous tutelle de l'empire. Le pape reconaissait désormait la supériorité absolue du pouvoir de l'empereur dans les affaires du saint empire et se montrerait a l'écoute de l'empereur dans ses prises de décision.

Hélas les princes protestant d'allemagne suite a la défenestration de Prague ne l'entendaient pas de cette oreille. Et bien soit, l'empereur les ramèneraient a la raison préstemment.

La guerre fut menée une fois encore sans encombre bien qu'elle fut plus longue que prévue. La saxe dût se convertir a la foie catholique, le brandebourg fut soumis a la vassalisation. L'odenbourg et Klèves, brandebourgeois, furent liberés par l'empereur et prétèrent serment dans la foulé. Seul brême dans sa follie continua la lutte et les princes brêmois durent finalement se résoudrent a abandonner leur foie protestante pour le bien de tous..

Ainsi la rébellion des princes protestant fut écrasée tout en agrandissant le contrôle de l'empereur dans les etats du nord. Le saint empire entre alors dans une période de "Pax Germanica", plus de la moitié des etats étant vassaux de l'empereur, le jeux des alliance et de la guerre est paralysé.
Partout dans les villes allemande le nom des Habsbourg suscite alors prosperité et paix : aprés des siècles de lutte incéssante dans l'empire, un pouvoir fort avait enfin émmerger pour permettre a tout les sujets allemand de vivre en paix !


S'ensuite une période de calme relatif, les excedents génerés chaque année furent mis de coté afin d'achever un grand projet qui marqua le reigne de Ferdinand II : la colonisation outre mer d'un territoire vierge. Il était grand temp de nous joindre au mouvement de colonisation en nous trouvant une terre encore libre.
Notre regard se porta alors sur l'Afrique, et plus particulièrement l'est.


C'est finalement sur les côtes du mozambique que les premiers colons autrichiens furent envoyés afin de fonder la nouvelle autriche.
Peu de temp aprés, un des meilleurs géneral de l'armée fut envoyé sur place et la guerre fut déclarée au Zimbabwe dans le but de libérer les populations chrétienne de Shona et du Natal.



Mais l'évenement le plus marquant de la période qui marque alors un tournant dans les relations internationale est la guerre contre le portugal :

Ainsi peu de temp aprés la guerre contre le zimbabwe, nos troupes colloniale durent embarquer vers le portugal pour aider notre alliés Hollandais dans sa guerre contre ce puissant royaume ibérique.
La guerre fut déclarée et nos troupes débarquèrent rapidement au coeur même de la métropole portugaise, épaulés par les troupes hollandaise la chute du pays s'avéra plus facile que prévue.


Cependant, alors que tout annoncer une fin rapide et sans problème de la guerre, l'Espagne décida subitemment de rejoindre le camp du Portugal ! Décidemment la lignée cadette des Habsburg s'était laissée pervertire par l'or et les richesses du nouveaux monde. Seulement quelques années aprés avoir elle même pillée et rançonnée le portugal, voila que l'espagne prenait sa défense..

Les troupes autrichiennes reçurent ordre de ne pas se battre contre les troupes espagnols : malgré leur supériorité numérique notre flagrante supériorité militaire n'aurait servis qu'a envenimé les choses, tandis que Ferdinand III essayait de résoudre le plus rapidement et pacifiquement possible le conflit.

Ce fut chose faite en 1654, l'espagne abandonnait la guerre et le portugal devait céder le centre de commerce de l'Ivoire en Afrique.

1658-1670 : La grande réforme de Léopold Ier.


L'arrivée au pouvoir de Lépolod Ier marqua un tournant dans l'histoire économique du royaume. A peine arrivé il promulgea une série de mesure visant a réformé la bureaucratie de l'empire : des gouverneur serait installés dans chaque province afin d'acroitre le contrôle de l'empereur. En moins de 2 ans tout l'empire était ainsi pourvus de gouverneur, les colonies reçurent le même traitement en plus de se voir doter de murailles et de baillit a l'instar des provinces européenne.
S'en suivit une politique financière expansive tout en maitrisant l'inflation. En 5 ans d'énormes sommes furent rassemblée et permirrent l'ouverture de deux nouvelles manufactures. Tout ces éfforts furent récompensés en 1669 qui fut une année exceptionelle.

Léopold Ier avait réussit en 10 ans a abattre le travail préparés par les nombreux empereur qui l'avait précedés. L'empire, assainis ne figurait toujour pas parmis les Etats les plus riches, mais la bonne gestion des finances donnait une marge de manoeuvre conséquente a la politique impériale.

Chroniques du Royaume d'Espagne

Carlos II, Roy d'Espagne
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Chapitres:

1-La guerre hispano-hollandaise
2-La guerre hispano-portugaise
3-La situation en Asie
4-La situation en Afrique
5-Les Amériques
6-L'alliance hispano-anglaise





Chapitre 1: Guerre contre les bataves.

"Sire, des troupes hoçllandaises et autrichiennes ont débarqué au Portugal! Ils sont des dizaines de milliers!"
Voilà ce qui vint extirper Carlos II de son sommeil, en pleine nuit d'un jour de mars 1651. Des troupes étrangères aux portes du Royaume! Qui plus est pour envahir et racketter nos cousins ibériques. La réaction espagnole ne tarda pas. L'année qui suivra fut celle de la préparation d'une armée afin d'intervenir et de libèrer la métropole portugaise. Et sitôt la guerre déclarée, les troupes autrichiennes encore présentes en péninsule ibérique n'urent d'autre choix que de fuirent par la France. La flotte autrichienne ayant été coulée. Des toupes espagnoles partèrent du Mexique afin d'envahir le Californie, et des implantations commerciales bataves y furent détruites. Quant au front européen, il était plus que facile. Les milliers de soldats hollandais retranchés dans les forts portugais durent cèder. La victoire semblait assurée quand soudain, sans crier gare, le ministère des affaires étrangères décida de lui même de signer la paix avec la Hollande!! Incroyable incompréhension à Madrid, où Carlos II convoque ses ministres. Des sanctions contre les instigateurs de cette paix blanche sont immédiatement décidées : Potence et don de leur corp à la... faim des loups. Mais impossible de reprendre les hostilités. Que penserait l'Europe d'une telle situation? Amères, nous devons nous résoudre à respecter des engagements, pris malgrés nous par une poignée de traitres dont même les loups, parait-il, n'ont put digèrer la viande infecte..

Chapitre 2 : La vengeance contre Lisbonnes

Mais si l'Espagne n'hésita à venir en aide au Portugal (une fois de plus), nulle dotue que celui-ci ne le méritait pas. En effet, dans la guerre déjà ancienne opposant la France et l'Espagne, Lisbonne, non contente de l'attitude espagnole qui, pour lui épargner une guerre longue et peut être pénible, avait demandé à celui-ci de ne pas l'aider, décida de nous frapper dans le dos en donnant à la France des informations militaires nous concernant! Une fois la paix signée avec l'agresseur français, l'Espagne se vengea immédiatement en envahissant le Portugal et en lui arrachant dicats et le port relais de Goa, aux Indes. Et malgré tout cela, Madrid vint quand même au secour de Lisbonnes, quand celle-ci en eut besoin. Dieu est témoin de notre charité chrétienne.

Chapitre 3 : L'Asie et nos ports

L'Océan indien est vaste mais peu d'iles y ont été localisées. Aussi, l'Espagne, trés tôt dans son aventure coloniale pris la décision de coloniser certains postes jugés clés. Ainsi, Bourbon, Maurice, etc... furent colonisées. Des ports ouverts aux amis de l'Espagne. Deux villes espagnoles sont également présentes en Inde. Dont Goa, prise de guerre. La présence espagnole est donc limitée en Asie, en nombre de villes, mais nulle doute que nos riches ports sur ce continent font envie à certain.

Chapitre 4 : L'impossible aventure d'Afrique

Mis à pat le Maroc, tout au nord, l'Espagne n'eut jamais de politique africaine. ce continent a été jugé inninteressant et ne fut donc jamais la cible d'une mission coloniale. Peut être dans le futur, si des opportunnités se font jour, mais les acteurs déjà présents n'apprécieraient sans doute pas qu'un nouveau pays vienne avancer ses pions sur ce continent sauvage et sans grandes valeurs économiques selon nos experts.

Chapitre 5 : Nos fières Amériques

Sans doute la fierté de l'Empire espagnol, la source de sa richesse, de sa puissance, et des moyens dont Madrid dispose pour se protèger de la France.

Organisation de l'Empire des Amériques (sud)
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L'or y coule à flots, des plantations immenses de canne à sucre assurent à l'Espagne un quasi monopole mondial de cette denrée devenue trés prisée des européens. Sans parler du tabac, du café et du coton qui emplissent les caisses Royales.

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Chapitre 6 : De nouveaux frères


Lassés par l'ingratitude de Vienne, fatigués des trahisons portugaises, et cherchant à renverser le jeu diplomatique européen, les espagnols durent se mettre en quête d'un nouveau partenaire. Un partenaire qui devait avoir une réputation solide, peu d'enemis déclarés, et qui pourrait apporter quelque chose à l'Espagne. L'Angleterre, nation navale et commerciale, était toute désignée. Loin d'être restée sur l'époque déjà lointaine où nos flottes se battaient continuellement en Atlantique, de l'époque où les armées espagnoles débarquèrent plusieurs fois sur l'ile imprnnable, l'Angleterre accepta notre idée de rapprochement. Nos deux pays ayant beaucoup à y gagner et nos ambitions étant complémentaires et non pas rivales.
Longue vie à cette nouvelle alliance.

1645 – 1671. Un nouvel essor



La Suède, nation pauvre et peu puissante :( , était sortie ruinée de ses 15 années de guerre contre l’Espagne, la Russie et enfin l’Autriche. L’herbe infecte qui faisait le délice de nos braves vikings commencait même à manquer : il fallait se ressaisir avant de sombrer définitivement :?: ! La paix était désormais nécessaire pour sauver notre économie et éviter de prendre un trop grand retard technologique sur les autres nations européennes, toutes bien plus puissantes et riches que nous.

Face à la menace barbare qui planait toujours sur nous, maintenant comme il y a 150 ans, une réaction énergique fut décidée : on fortifia massivement les frontières orientales de la nation. La ligne Gustave engloutit nos revenus de nombreuses années durant, mais, au final, une barrière existe désormais entre nous et les barbares : grande est notre détermination, grand est notre courage indomptable :) !

Le Peuple Libre s’est ensuite étendu un peu, pacifiquement, en Afrique occidentale et, surtout, a été récompensé de sa piété par le Seigneur Très Puissant lui-même : un centre de commerce est apparu dans notre province du Canada :clap: : oh, certes, peu riche mais nous sommes un peuple modeste habitué à la pauvreté et la misère qui est la notre depuis l’aube des temps. Pour pouvoir éventuellement défendre ces possessions nouvelles hors Europe, il fut décidé de renforcer notre puissance navale : un chantier naval fut construit à Stockholm, les effectifs de la marine ont été doublé.

Des efforts diplomatiques ont ensuite été lancés un peu partout et les résultats sont prometteurs. Une ambassade a été établie avec l’Espagne et les tensions qui existaient entre nos deux pays appartiennent désormais au passé, mais ce fut Londres qui nous réserva l’accueil le plus chaleureux : des relations de franche camaraderie ont même été établis et l’Angleterre nous a octroyé l’accès à tous ses centres commerciaux de par le monde ;) . Une ère nouvelle s’ouvrait enfin pour la Suède, qui relevait la tête hors de cete gadoue et misère qui fut notre triste lot pendant tant de décennies…Si le Seigneur le veut, il en sera encore ainsi à l’avenir !

Alain Decaux raconte :

Quand Louis XIV s'entretenait avec ses Ministres

France, 1671 :


Connétable Elvis parcourait les couloirs du palais d’un pas alerte et pressé…
On ne faisait pas attendre le Roi de France, Louis le Quatorzième…
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Y a pas à dire, il en jette ! (surtout quand on compare avec le portrait de Carlos II...)


Les gardes ouvrirent les portes de la salle du trône sans poser la moindre question.

Perruqué et poudré à la mode de la cour royale, l’illustre conseiller royal s’inclina devant son suzerain.

« Vous m’avez fait quémander, sire ? »

« Oui, Monsieur Elvis. Je suis las de ces courtisans qui ne cherchent qu’à s’attirer mes faveurs en ne m’annonçant que des nouvelles édulcorées.

Demain, je réunis le grand conseil royal, et j’ai besoin de connaître la véritable situation de notre royaume.

Nous savons que votre intégrité est à toute épreuve, ce qui vous a attiré quelques inimitiés au sein de la cour, mais cela vous vous en doutez…. »

« Sire, si vous parlez de cette affaire avec Monsieur le Comte de Breteuil…. »

« Allons, allons, nous savons que cette affaire, comme vous l’appelez, n’est que le résultat de la jalousie du Comte de Breteuil lorsqu’il a eu connaissance de vos avances auprès de la Comtesse… »

« Sire, mes relations avec la Comtesse ne sont que… »

« Allons, allons, Monsieur Elvis, mes espions me rapportent toutes les ‘petite’ aventures de la cour… »

Puis se penchant, avec un sourire malicieux, pour parler à voix basse à l’oreille de son ministre

« …et nous comprenons que la beauté de cette jeune dame, marié à ce vieux croûton de Breteuil, a su renversé votre cœur »

Puis se redressant et reprenant sa posture royale,

« Monsieur Elvis, accompagnez nous dans notre promenade, et raconter moi comment se trouve mon royaume »

Le Ministre se releva et pris le pas de son suzerain…

« Sire, votre royaume se porte à merveille : Nos frontières sont assurées, et nous n’avons plus aucun différend avec les royaumes voisins. Notre différend avec l’Espagne est résolu depuis le rattachement du Roussillon à la France. Si les relations avec Madrid sont encore frileuses, elles ne sont plus hostiles.

Les discussions constructives avec l’Empereur nous amènent à penser qu’une estime réciproque existe dorénavant entre nos deux royaumes.

Nos ambassades en Angleterre, en Suède, aux Pays Bas, au Portugal et dans l’Empire Ottoman sont également très productives.

Bref, nous n’avons pas d’ennemis. »

« Très bien, Monsieur Elvis, vous avez bien œuvré… Et nos colonies ? »

« Sire, la Nouvelle France est riche et pacifiée. Les frontières ont été également ratifiées avec nos voisins anglais et espagnols. La seule rivalité que l’on peut y noter est celles des marchands qui se battent pour avoir une place dans notre centre de commerce de Santee.

Nous menons actuellement une campagne de colonisation en Afrique australe, en collaboration avec l’Autriche, et nul doute que d’ici quelques années, ces lointaines provinces amèneront de nouvelles richesses au Royaume de France …»

« Excellent, Excellent…d’autres choses que vous devriez me dire ? »

« Oui, Sire… »

« Nous savions bien que vous garderiez les mauvaises nouvelles pour la fin… »

« Nous voulions également vous exposer la situation économique du Royaume… »

« Les caisses sont vides ? »

« Non Sire, au contraire, Monsieur Colbert nous a grandement assisté, et la France dispose aujourd’hui d’une forte économie, aidée de plusieurs industries. Industries qui ont contribué à renforcer notre force commerciale… »

« Donc, vous me dites que le Royaume de France est riche et puissant »

« Tout à fait Sire, l’Histoire saura reconnaître que votre règne aura su apporter richesse et opulence au Royaume de France… »

« Et bien, voilà d’excellente nouvelles.

Nous allons pouvoir nous consacrer à de plus ambitieux projets…

Monsieur Elvis, connaissez vous Versailles ? »

« Oui, Sire, c’est à quelques lieues de Paris, et je crois savoir que vous y disposez de nombreux arpents »

« C’est exact, d’ailleurs nous souhaiterions y… »

S’interrompant subitement, le Roi de France porta sa main au front pour se protéger du Soleil

« N’est ce pas Madame de Montespan que nous voyons là bas ? N’est elle pas ravissante ? »

« Certes Sire »

« Merci Monsieur Elvis, nous avons à faire… »



Le Ministre salua humblement, et s’éloigna…

Son devoir accompli, le Connétable Elvis regagna son carrosse.

Avant de s’engouffrer dans sa voiture, le Ministre s’adressa au cocher :

« Chez Madame de Breteuil ! »

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Les relations sulfureuses du Connétable Elvis avec la Comtesse de Breteuil inspireront de nombreux écrivains à travers les ages...

Ambassade de France

LA GUERRE DU RHIN : Aout 1680


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La Chambre des Réunions a décrété que les frontières de notre Royaume sont désormais fixées par les rives du Rhin.

Notre bon roi Louis XIV suit donc les recommandations de ses ministres.

La Lorraine, puis l’Alsace sont ainsi rattachées à la France après une courte guerre contre le Palatinat.



Une ambassade est envoyée à Vienne pour faire valoir nos droits sur les provinces occupées par l’Autriche. Malheureusement l’Autriche refuse toute discussion et face à l’intransigeance de l’Empereur, la guerre devient inévitable.



La Hollande est emportée dans le tourment par son jeu d’Alliance. Nous proposons aussitôt une paix blanche à Amsterdam qui refuse.

Soit, nous envisagions d’oublier toutes prétentions sur les Provinces Unies, mais de part la décision batave, elles seront donc traitées de la même sorte que leur alliée.



Nos armées avancent en territoire ennemi et affrontent les armées coalisées autrichienne, hollandaise, bavaroise, saxonne et badoise et celles du Palatinat....

Au Nord, la Suède est également entrée dans le conflit contre l’Autriche en respect de ses propres prétentions sur les rivages de la Baltique.



Après quelques batailles, nos armées ont pu défaire Bade, et sont maintenant en Flandre, au Brabant et au Luxembourg.

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Le Connétable Elvis, qui a laissé la Comtesse de Breteuil à Paris, conduit les armées francaise lors de la prise des Flandres.

A la demande de l’Empereur, aucune action offensive n’est menée sur la province de Palfz où des envoyés du Pape tentent de convertir la population au Catholicisme.





Cependant, le reste de l’Europe n’est pas indifférente au conflit. L’Angleterre et le Portugal refusent l’activité de nos commerçants, comme ceux des autres belligérants, mis à part les Provinces Unies.



Cette décision n’est pas critique car notre activité commerciale s’est focalisée sur les Centre de Commerce contrôlées par la France.

Néanmoins, nos Ministres discutent sur d’éventuelles mesures que nous pourrions être amené à prendre.

Mais avant, toute décision hâtive, nos ambassadeurs souhaitent s’entretenir avec ces royaumes qui nous ferment les portes de leur Centre de Commerce.



Situation à l'été 1680 :

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Nos revendications comprennent donc : Flandre, Brabant, Zeelande, Luxembourg, Palfz auxquelles s'ajoute Hinterpormmern pour la Suède.

La France est ouverte à toute discussion et attend les plénipotentiaires bataves et autrichiens pour discuter de l'issue du conflit.

Déclaration du Royaume d'Espagne
Devant un conflit opposant une partie de l'Europe, l'Espagne a décidé de proclamer publiquement sa neutralité militaire.
Néanmoins, la Suède ayant pris soin de mettre à flot une armada immense, nous nous inquiètons des desseins des ces querelleux vikings. Quel interet, pour une nation continentale comme elle d'entretenir une couteuse flotte? Si ce n'est menacer les interets outre-mer des Empire coloniaux, tels que ceux anglais, portugais et espagnols. Tant que la Suède ne se contentera pas d'une flotte de type Baltique, nous refuserons de laisser les marchands suédois venir s'enrichir dans nos villes, sachant que cet argent se retournera contre nous.

Les intentions suédoises sont trés claires pour Madrid, et nous ne pouvions rester passifs.

Madrid en profite pour rappeller que toute agression sur nos amis et alliés portugais et anglais sera trés mal supportée par le Roy d'Espagne, qui mettra ses armées à disposition de ces deux Royaumes si ils en font la demande.

L'Empire colonial portugais a été le fruit des appétits voraces de plusieurs nations, mais cette periode de charognage est révolue. Qu'on se le dise!
Les portugais sont des ibériques, comme nous, ils sont nos frères. Et si par le passé des heurts violents ont opposés nos deux Royaumes, et ce à cause de la France, rappellons le, nous sommes aujourd'hui liés dans un objectif commun: défendre nos interets outre mer face aux nouvelles puissances navales dont l'appétit menace nos revenus coloniaux.

Ambassade Francaise


La France prend bien noté de la décision anglaise d'embargoter l'ensemble des marchands belligérants, et bien que regrettant cette situation néfaste à l'expansion de nos activités commerciales, nous respectons cette décision.
Aussi, nous ne prendrons aucune mesure de rétorsion et nos centres de commerce restent ouverts aux marchands anglais, qui sont toujours les bienvenus.

Nous invitons également le Portugal a appliqué cette même impartialité, car selon nos rapports seules la France et la Suède sont pénalisées par Lisbonne.
Espérant donc qu'il ne s'agissent que d'un oubli passager de la part du roi du Portugal d'inclure les marchands hollandais et autrichiens ainsi que l ensemble de leur coallition.

Connétable Elvis

1670-1680 : Les forces du mal a l'assaut de l'empire

L'empereur Léopold Ier, aprés avoir assainis les finances de l'empire se tourna enfin vers la politique exterieure : depuis quelques années le palatinat avait considérablement étendus son influence dans l'empire, a tel point qu'il en était devenus l'un des états les plus importants. Kleves, Hessen, Mainz, Würzburg et l'Alsace faisait désormait partis de son territoire. Le prince avait ainsi privé 3 duc légitimes de leur pocessions : s'en était trop ! D'autant qu'en plus de celà il mener une campagne de conversion active a la religion reformée, le wurzburg et l'alsace était déjà tomber aux mains des protestant.

La guerre fut donc déclarée durant l'été 1681, sans trop de préparation car le temp presser l'empereur. Nos alliés de Bavière de Bade de Köln ainsi que notre amis et alliés le prince d'Oranje furent appelés dans la guerre. Tout ce passait bien, les forces alliés assiègaient le Wurtemberg alliés du Palatinat tandis que les troupes de l'empire progressaient au Würzburg et repousser les assaut incessant des troupes du prince renegat a Pfalz.

Malheuresement profitant de la guerre, le Roi de France, Louis XIV le félon déclara la guerre au palatinat 6 mois aprés nous, dans le but illégitime de forcer l'Alsace a rejoindre son royaume. L'empereur impuissant, emmelés dans une guerre a l'interieur même de l'empire ne pouvait réagir. Mais il se promit de venger cet affront dés que l'occasion se présenterait.

La suite de la guerre contre le Palatinat ne fut que formalitée bien que la Saxe s'en mêla et réussit a prendre Hessen (salopard de voleur de siège :enerve: ). Finalement le palatinat dû céder Kleves et fut forcé de preter serment de vassalisation a l'empereur en janvier 1675.

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Le prince du Palatinat offre sa fille a l'empereur en signe de soumission.

Mais a l'interieur de l'empire la révolte grondait en hongrie et éclata en février 1676 sous l'impulsion du Duc Imre Tököll : ce dernier avait réussis a soulever les provinces de Magyar, Presburg, Odenburg, Maros et Pest dans un esprit de fronde contre le roi d'Autriche. Devant cette révolte majeure - prés de 100 000 paysans et soldats avaient était lever par les nobles hongrois ! - l'empereur fut obligé de dégarnir ses frontières avec la france et d'amener la majeure partie de l'armée en Hongrie.

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Petar Zrinski, l'un des chef de la révolte Hongroise.

La révolte fut écrasée dans le sang, et Léopold en profita pour affermir la position Habsbourg en Hongrie : désormait le roi de Hongrie serait choisis par filliation salique, au lieu d'être élus par l'assemblé de Hongrie; et l'article 31 de la bulle d'or de 1222 fut abolis : il autorisait la noblesse de Hongrie a se révolter contre son roi si celui-ci violait le droit.

Profitant de la révolte des nobles de Hongrie le roi de france, louis XIV le félon, nous déclara la guerre durant l'été 1677. Ses revandications innacceptables et absurdes étant le duché du Luxembourg.
Le roi de Suède se joignit a la guerre du coté français tandis que notre alliés le prince d'Oranje respecta ses engagements et se mêla la guerre.
Ainsi débutta la guerre du Rhin.

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Les armées suédoises devant Wielkopolska, avant leur défaite

Les armées française profitant de leur élan initiale parvirent a faire chuter le Luxembourg, le Brabant et les Flandres, tandis que notre garnison amoindris par la révolte Hongroise ne pouvait qu'attendre les renforts. Au nord le suédois pris Hinterpomern et Wielkopolska aprés une brillante victoire autrichienne qui vit la mort de 35 000 suèdois, malheuresement il débarqua une armée forte de 110 000 hommes, nous obligeant a faire retraite.
Cependant malgré celà la guerre ne faisait que commencer puisque le dernier bastion des rebelles de Hongrie ne tomba que l'année suivante, nous obligeant a détourner nos éfforts de guerre.

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Le front nord.

Nous répondons aux éxigences du roi de France en faisant connaitre nos revandications :

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Le roi de France doit imperativement céder l'Alsace et Bern a l'empire, car illégitimement volés a des prince de l'empire. Nos revandications sur l'Artois sont en outre toujour intacte.

L'Angleterre dans un ésprit de "paix" nous frappa d'un embargos, l'empereur en apprenant la nouvelle hausse un sourcil et se demanda quelle mouche avait piqué le roi d'Angleterre : l'Autriche n'avait pas un seul marchand dans les centres de commerces anglais !

"Ce qui est vilenie pour les humbles est appelé politique par les Princes" (Proverbe bantou que je viens d'inventer) :lol:

La grande oeuvre de reconstruction de l'empire de notre Sultan porte ses fruits et parvient à son terme. Bientôt l'empire sera remis des terribles épreuves des deux derniers siècles, des défaites et du désordre qu'il a connu.

Enfin, à l'instar des pays chrétiens, le Sultan a-t-il pu imposer des réformes administratives sensibles. Les tribunaux impériaux vont remplacer les assemblées tribales partout où règne la loi de notre Sultan et d'Allah. Le plateau anatolien, joyeaux de l'Empire, s'est doté de très bonnes fabriques et reprend l'exportation. Les récentes conquêtes en Crimée et en Roumanie, qui ont permis de remplacer l'Anarchie polonaise et Russe par l'ordre bienvenu de notre Sultan, ont réorienté vers nos places commerciales de nombreuses denrées, dont nos marchands savent profiter.

Mais la Gloire du Sultan ne saurait être lié à la bonne santé du commerce des pâtisseries. Nos conquêtes vers l'Est des balkans ont lavé les affronts subis, même si il faudra étudier l'eventualité d'offrir aux princes moldaves l'autonomie qu'ils désire, sachant que les richesses que nos percepteurs rapportent sont sans commune mesure au désordre qu'il apportent à ces marches. De plus, il n'est pas dans l'interêt du Sultanat de laisser craindre à l'Empereur Autrichien une menace de notre part à ses frontières. En créeant un glacis de vassaux, nous ne ferons que lui rendre la politesse. Nos ambassades en Europe nous ont appris que les diplomaties chrétiennes connaissent actuellement un grave déficit de talents. Hormis les lointains royaumes d'Espagne, d'Angleterre et du Portugal, personne ne semble capable de nouer des alliances dignes de ce nom et tous se font la guerre et se taillent des croupières dans le plus complet désordre. Bien qu'il ne soit ni dans notre interêt ni de notre volonté de nous isoler des mots et gestes de ce théâtre, cette confusion n'est pas pour nous déplaire.

Désordre ! Quel mot affreux. Bien que vigilant à l'Ouest, notre Sultan a clairement exprimé son intention de se tourner à l'Ouest tout en poursuivant les réformes. Notre patiente politique militaire et diplomatique des décennies précédentes a porté ses fruits et nous a permis d'éviter l'emergence d'un concurrent perse. Un embryon d'Etat perse, sous notre contrôle, cohabite difficilement avec les restes d'Al-Konyu, qui a été contraint et le sera à nouveau de nous accorder droit de passage. Les routes vers les richesses et la soumission des Uzbeks, de Mughal Empire et de Gujarat nous sont donc ouvertes, bien que nous ne soyons pas parvenus à trouver de partenaire dans la région.


En méditerranée, quelques evenements méritent une place dans nos registres. Venise a cru bon de déclarer la guerre à notre vassal Raguse. Le Prince de cette province pauvre, mais absolument stratégique ayant beau nous detester malgré ses sourires fielleux à chaque fois qu'il paye le tribu, nous ne pouvions nous permettre de perdre cette clé de l'Adriatique et des Balkans. La guerre fut superbement menée par les assaults furieux et les sièges methodiques de Köprölö Fazil Ahmed.


Kara Mustapha repris vite le flambeau et obtint finalement, outre la paix à Raguse, Corfu et la Ionie, que nous tentons de convertir à la vraie foi. C'est une incontestable victoire qui sécurise la Méditerranée Orientale, qui est la notre.

Puis nos alliés de Tripoli et d'Al Jazira, braves et fougueux, se sont retrouvés en guerre contre le royaume corrompu de Naples. Bien que nous n'y ayant aucun interêt, nous décidâmes bien sûr de les assister. Kara Mustapha termine actuellement le siège de Naples.

Déclaration Suédoise


La guerre Austro-Suédoise est terminée, l'Empereur a accédé à nos légitimes revendications et va nous céder la province d'Hinterpommern.
Cette province était l'unique pomme de discorde entre Vienne et nous, la voilà enfin disparue. Des ambassades seront établies entre nos deux pays, l'un riant, accueuillant et riche, l'autre glacial, inhospitalier et pauvre.

La Suède attend donc avec la plus grande impatience la levée des embargos iniques qui l'ont frappée et profondément bouleversée, ces actions étant venues de pays que nous considérions comme des amis (facilités de commerce accordées à l'Espagne dans nos cots, échanges de cartes récents avec l'Angleterre etc etc)

1672 – 1680. L’agnelet Suédois lutte pour sa survie



Depuis des décennies et des décennies, le royaume protestant de Courlande souffrait de l’opression barbare de la Pologne catholique et ne cessait d’appeler à l’aide, mais ses cris désespérés se perdaient dans les plaines glaciales et désertiques de la région : ce royaume courageux était à bout de force et, dans une ultime tentative avant l’impitoyable agonie dans d’atroces souffrances :ouin: , rassembla ses dernières forces pour hurler leur désespoir né de cette épouvantable malédiction qui pesait sur leurs frêles épaules depuis la main mise des Polonais sur leur pays ravagé :( .

Miracle de la foi, ce cri fut si puissant qu’il parvient à traverser la baltique et parvient aux douces oreilles du Roi de Suède, homme délicat et raffiné qui ne saurait laisser son prochain dans le besoin, lui qui dirige un pays qui a tant souffert de la malédiction que dame nature a jeté sur notre glacial pays :ouin: . Une intervention fut décidée et, en 1672, la guerre reprenait : très vite, les barbares de Pologne furent balayés par les fiers vikings du nord et, épouvantés devant notre fureur, n’insistèrent pas trop et nous offrirent le contrôle de la Courlande, qui fut immédiatement intégré à notre alliance. Deux peuples courageux, mais pauvres venaient d’unir leur destin tragique…

Chose incroyable, la Courlande était encore plus mal en point que nous, et il apparut bien vite que nos maigres ressources ne parviendraient pas à rendre honneur et dignité à ce peuple martyrisé depuis des décennies : il fallait chercher ailleurs les richesses nécessaires pour sauver le protestantisme aimant dans la région. La province d’Hinterpommern était riche et grasse, de plus elle était jadis Polonaise : comme de plus normal que l’ancien bourreau paye pour sauver sa victime à peine libérée de son joug infernal :p: ?


La Suède fit connaître ses légitimes prétentions sur la dite province auprès de l’Empereur d’Autriche, nouveau maître d’Hinterpommern, mais le bougre refusa d’entendre raison, et cela même après le début de sa guerre contre la France. Une ultime ambassade fut reconduite manu militari par les Autrichiens, la guerre était devenue inévitable et elle fut déclarée en 1678.

Les opérations militaires commencèrent fort bien, même si, en Suède, l’on évitait de crier victoire : l’Autriche n’avait pas encore réellement réagi, empêtrée dit-on par une révolte en Hongrie. L’avance Suédoise n’avait ainsi rien à voir avec la blitzkrieg menée jadis en Russie : l’on avançait lentement, pas à pas, en narguant les espions ignobles qui rapportaient le moindre de nos faits et gestes à Vienne :tongue: … Ce fut à la fin de cette première année de guerre que l’Autriche réagit enfin : surgissant de la brume, Ferdinant d’Autriche se jetta contre nos armées.



La bataille de Wiekepolska


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De profonds désaccords au sein du haut commandement Suédois fut la cause de l’immense tragédie qui frappa nos preux : les armées arrivèrent en ordre dispersés et furent massacrés par les Autrichiens au moral d’élite :loose: , les soldats les plus redoutables d’Europe…

L’Empereur ordonna une contre-attaque généralisée pour pousser au maximum sur sa lancée : ses hordes se précipitèrent, mais, cette fois, se heurta à un haut commandement Suédois parfaitement unifié qui sut coordonner ses mouvements de la meilleure façon : pendant que la première armée résistait farcouchement et que la deuxième volait à son secour, la troisième se précipitait pour couper la retraite des Autrichiens qui allaient et devaient être vaincus :mrgreen: .



Ferdinant écrasé

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Ce fut la déroute complète pour les Autrichiens, complètement écrasés :clap: . La victoire Suédoise était totale, mais personne ne doutait qu’il ne s’agissait là que du seçond round de la guerre. Afin de lancer au mieux le troisième, l’on décida d’envoyer de nombreux renforts sur le continent… Ils n’étaient pas encore arrivés à Danzig qu’une terrible nouvelle vient les frapper de plein fouet : la flotte Batave venait de surgir en Baltique :?: et harcelait nos pauvres pêcheurs qui tentaient de gagner leur maigre pitance dans ces eaux glaciales et sombres qui sont les nôtres.

Naturellement, n’écoutant que leur courage indomptable :chicos: , nos fiers navires changèrent de direction et cinglèrent plein ouest, dupant une fois de plus les espions qui nous espionnaient toujours et qui allèrent de ce pas répandre le mensonge révoltant que les fiers vikings du nord voulaient attaquer la Hollande :?: . La flotte Hollandaise fut finalement rattrapée, alors qu’elle tentait de fuir, alertée par ces mêmes espions de notre furieux retour, mais, grosse et grasse du butin pillé sur nos côtes, elle ne parvient pas à nous échapper…



La flotte Batave écrasée


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Les Vikings du nord, une fois de plus victorieux, repartirent aussitôt à l’est (on raconte que les vils espions toujours embusqués attrapèrent à cette occasion un torticoli épouvantable tant nos mouvements étaient rapides :lol: ) et débarquèrent à Danzig. Juste à temps pour faire reculer les hordes autrichiennes qui venaient d’arriver, commandées par Charles de Lorraine lui-même : la deuxième bataille de Wiekepolska se termina par un véritable triomphe pour la Suède, qui s’empara ensuite de la dite province :) .

La poursuite des Autrichiens ne put cependant avoir lieu à cause de l’arrivée inattendue de 35.000 soldats Bavarois : ils ont été massacrés jusqu’au dernier pour avoir osé s’interposer entre nous et le fruit de notre légitime colère :enerve: .

C’est à ce moment que nos plus chers amis d’Europe, dupés sans doute par ces espions malhabiles qui ne comprenaient décidémment rien à rien et ne cessaient d’envoyer des rapports toujours plus stupides, toujours plus insensés à leurs supérieurs (certains d’entre eux auraient même prétendu que la Suède, nation continentale et terrestre, s’apprétait à fondre sur des empires coloniaux qui ne l’ont jamais intéressée :lol: ) décrétèrent un inique embargo contre notre pauvre mais fière nation, en guerre depuis deux ans et demi…

Nos chers amis d’Angleterre :( , eux qui nous avaient offert l’accès aux dits centres de commerce, nos tendres amis d’Espagne :loose: , à qui nous avions généreusement offert le monopole commercial dans notre centre de commerce du Canada pour permettre à leur pays ravagé d’améliorer son efficacité commerciale et nos frères Portugais, que nous avons soutenu avec tant d’énergie quand la tourmente s’abattait sur leurs têtes blondes innocentes (refu absolu de se joindre aux charognards qui se jettaient contre un pays en vacande de pouvoir)… Une telle ingratitude était impossible ! Sans nul doute, il ne s’agissait là que d’un horrible malentendu qui ne demandait qu’à être dissipé. L’on décida donc de prendre le temps de régler cela avant que les vieilles et fidèles amitiés ne disparaissent pour de bon, ce qui serait une réelle tragédie…

Une grande réunion au sommet eu lieu et, au sortir de celle-ci, la paix était retrouvée : l’Empereur accédait à nos demandes et nous cédait Hinterpommern :) afin de soulager l’immense l’immense misère du peuple de Courlande, les pays embargoteurs jurèrent sur la bible que tout cela n’était qu’un malentendu et que jamais ils n’avaient voulu causer le moindre tort à leur grand et cher ami de Suède, lui qui n’avait qu’amitié et même amour profond pour ces dignes compagnons qui avaient su concentrer entre leurs mains la quasi-totalité des richesses du monde hors européen et qui, loin de se battre entre eux, s’unissaient pour faire régner la paix à jamais dans le monde…

Quelle noble volonté, quelle fabuleuse idée ! En vérité, je vous le dis, mes frères, la guerre est désormais bannie de ce monde ! Démobilisons donc tous nos armées et faisons joyeusement, paisiblement, du commerce libre partout où l’on trouve quelque chose à négocier ! Une ère de paix sans précédent s’ouvre pour le monde :clap: , malheur à qui tenterait de la briser car il déclencherait notre juste colère ! Paix aux hommes de bonne volonté. Amen.

Déclaration du portugal :

Nous condamnons la guerre qui déchire l'Europe actuellement, et avons donc décidé de mettre sous embargo lensemble des pays en guerre afin de tarir leur ressources pour mieux les contraindre à signer la paix. Cependant, eut égard au fait que c'est l'alliance franco-suédoise qui a attaqué de la pire des manières l'ensemble austo-hollandais, nous avons décidé de n'embargoter que les attaquants.
Néanmoins, nous insistons sur le fait que si un paix n'est pas vite trouvée (quelques mois), alors l'embargo concernera TOUT les bélligérants.
Nous notons la bonne volonté suédoise et louons son exemple. Si celle ci fait la paix, alors nous lèverons immédiatemnt l'embargo.

Déclation du gouvernement républicain d'Angleterre


La république d'Angleterre a décidé de décreter un embargo général sur l'ensemble des béligérants de cette nouvelle guerre qui secoue l'europe jusqu'au retour de la paix

1) L'Angleterre loue le traité de paix signé entre l'Empire d'Autriche et le royaume de Suède. L'Angleterre levera immédiatement son embargo envers la Suède et les marchands Suédois seront à nouveaux les bienvenus sur les places commerciales et financières Anglaises. Nous espérons que la Suède rejoindra l'Angleterre dans sa condamnation ferme et sans équivoque de Louis XIV et de sa guerre d'invasion illégitime de la république des Provinces-unis et de ses ambition sur la rive gauche du Rhin

2) La république réformée d'Angleterre ne peut qu'apporter son plein soutien à la république réformée des Provinces-unis dans son juste combat de lutte et de resistance devant leurs envahisseurs à savoir els armées Française de Louis XIV. L'Angleterre refuse de reconnaitre les prétentions de Louis le Quatorzieme sur les provinces sud des provinces-unies.

Voici donc la décision du gouvernement Anglais

1) L'Angleterre réaffirme les droits naturels de La république des Provinces-Unis de gouvernerles provinces de Flandres et de zellande de population flamandes ainsi que le Brabant. A ce titre la république des provinces-unis ne se verra pas sanctionnée d'embargo pour soutenir son effort de guerre car elle est maniestement la victime de l'impérialisme de la France.

2) L'empire d'Autriche qui s'est engagée à défendre les droits Hollandais recevra de notre gouvernement la même bienveillance. A ce titre l'embargo commercial contre l'empire d'Autriche sera levée

3) Le Gouvernement Anglais déclare qu'a son sens, les prétentions françaises sur la rive gauche du rhin sont complètement infondée. Si Louis le Quatorzième ne signe pas immédiatement une paix blanche et jne renonce pas à ses prétentions sur la rive gauche du Rhin, l'Angleterre fermera tous les accés à ses centres de commerces au marchands Français tant que Louis le Quartorzième sera sur le trone de France.

Nous invitons les gouvernement d'Espagne et du Portugal à prendre des mesures similaires. Louis le Quatorzième doit renoncer imméditament à ses folles prétentions ou accepter que son royaume soit banni du commerce mondial tant qu'il sera sur le trone de France!

Lord Aedan
Lord protecteur de la république d'Angleterre

Déclaration Royale de France


Il semble que le gouvernement républicain d'Angleterre ne détienne pas l'ensemble des informations, ou s'est laissé entendre par quelques perfides langues venues narrer d'immondes contre vérités entre ces deux dernières proclamations anglaises espacées d'un peu plus de 24 heures.

La France n' jamais déclaré la guerre aux Provinces Unies, puisque c'est nous qui sommes agréessés par les armées hollandaises.

Malgré l'ensemble des nombreuses provinces que nous légitilmement revendiquons pour être rattachées au Royaume de France, nous avons demandé à l'Archiduc d'Autriche le Luxembourg.
Face au refus de toute négociation, et même de discussion, nous avons décalrer un état de guerre entre nos 2 royaumes.
La Hollande a rejoint le camp de l'Autriche et nous a déclaré la guerre à son tour.
Nous avons donc prestement envoyé un emissaire à Amsterdam pour proposer une paix immédiate avec les Provinces Unies.
Une paix, une paix immédiate, une paix permanente, une paix blanche...

Celle ci a été refusée, et bien que nous ayons assuré aux Bataves qu'ils n'étaient nullement nos ennemis ceux ci ont encore refusé la paix., bien que le sort des armes leur soit défavorable.
Soit, les Provinces Unies se sentent l'âme des défenseurs des titres de propritété autrichiens sur ces terres de la rive gauche du Rhin... Titres de propriété qui tout le monde le sait n'est que le résultat de la félonie de l'ancien Duc de Bourgogne voilà des centaines d'années....

La France ne serait pas dans son droit de réclamer après des siècle d'injustice le retour de ces provinces ? ...

Dans nos premières missives envoyées à Amsterdam, nous avions averti que le refus de notre dernière propossition de paix engendrerai des dommages aux Provinces Unies pour la poursuite de la guerre.

Enfin, il n'est pas sans rappeler que comme beaucoup, le Royaume de France s'est battu pour la libération des Provinces Unies du joug autrichien. Guerre coûteuse dont nous n'avons tiré nul profit.
Les Provinces Unies ont ensuite annexé Flandres et Brabant qui appartenaient alors à l'Autriche.

Nous avons envoyé voilà quelques jours une nouvelle proposition de paix à Amsterdam, qui si vous souhaitez le savoir comprenait les points suivants :
Brabant à la France
Reconnaissance officielle des frontières bataves et abandon permanent de toute prétentions francaises sur les Provinces Unies.
Protection des marchands hollandais dans nos Centres de Commerce.

Mais une fois encore, les bataves qui ont déclaré la guerre à la France nous ont répondu par la négative.

Nous ne pouvons faire plus en l'état pour démontrer la justesse et légitimité de nos prétentions ainsi que les nombreux efforts réalisés par la France pour aider à la résolution de ce conflit.

Fort donc de notre bon droit, la France conserve donc pour le moment ses revendications sur la rive gauche du Rhin et attend toujours les emissaires bataves et autrichiens pour discuter de la fin de cette guerre.
Aucun n'ayant encore atteint notre royal Palais, soit ils sont perdus, soit les austro bataves et leur horde d'alliés n'aspirent qu'à la poursuite de la guerre.

Enfin, nous rappellerons que la France dispose aussi de la faculté d'embargo sur des nations qui prendraient de façon partiale des mesures restrectives sur l'essor de notre activité commerciale.
Mesures que nous même pas voulu encore utilisé contre nos propres ennemis.


Discours de Louis Le Quatorzième recueillis par le Connétable Elvis

Déclaration impériale de l'Autriche :



A tous les souverains d'europe, et plus particulièrement les souverains Anglais, Espagnols et Portugais.

L'empereur tient a rapeller certaines évidences suite a la déclaration française.

Le royaume d'Autriche et les Provinces unis sont alliés depuis leur création, c'est donc tout a fait légitimement que les princes d'Oranje nous ont suivis dans cette guerre. En éffet nous sommes unis par les liens du sang et de la guerre, et le roi de France ose dire que les bataves sont responsables de la guerre ?

Qu'on se le dise haut et fort, Louis XIV doit être bien sôt pour penser que les alliance ne sont là que pour décorer. Chez nous, les princes des habsbourg d'Autriche recoivent une éducation stricte qui mentionne bien que la diplomatie ne doit guère être ignorée, et que les traités d'alliance sont aussi solide que le roc. Peut être que chez les Bourbons l'on enseigne la perfidie et le non respect des règles de sang, allez savoir.

Ainsi il n'est pas de déclaration de guerre de la part de la Hollande, il n'est qu'honneur pour eux d'avoir respecter leur engagement.


Dans tout les cas, notre légitimité n'est pas a remettre en cause, ni sur les terres que nous occupons actuellement, ni sur les terres que nous réclamons. Celles-ci appartiennent a l'empire et nul ne saurait s'en emparer sans représailles de notre part.
Nos diplomates ne sont pas allez vers Paris car nous considerons que cette guerre n'en est qu'a son balbutiemment, si le roi de France esperait gagner sans combattre il se leurer !

Malheuresement pour la paix en europe nous nous voyons obliger de continuer la guerre sans quoi la légitimitée de l'empereur et l'integritée de l'empire coureraient de grave danger. Mais que le roi d'Angleterre se rassure, il n'est nullement notre intention que de porter la guerre au delà de la frontière franco-autrichienne.

Par ailleurs nous ne menaçons perssone de repprésailes car nous comprenons l'horreur que la guerre cause chez certains. Il est tout a fait normal de vouloir limiter cette dernière.


Ainsi parla Léopold Ier de Habsbourg, de la voix de son chancellier Leazberg.

Déclaration du Tzar de toutes les Russies :



Moscow tient a rappeler au monde sa solidarité envers l'Empire d'Autriche et assure Vienne de son soutient économique dans la guerre actuelle. En outre, nous sommons la Suède de se retirer dès maintenant du conflit via une paix blanche ou nous pouvons dès maintenant l'assurer d'une longue et couteuse guerre aussitôt que le conflit présent aura connu son dénoument.

Déclaration du gouvernement républicain d'Angleterre

Voici la demande de l'Angleterre

Arret immédiat de la guerre. Les armées Françaises devront retourner en France et quitter les terres Autrichienne et hollandaises. La France signera une paix blanche avec ces deux puissances.

Si la guerre devait se poursuivre ne serais-ce qu'une journée de plus, l'Angleterre placera sous embargo commercial le royaume de France durant toute la durée du règne de son souverain, Louis le Quatorzième.

Lord Aedan
Lord protecteur de la république Anglaise.

Politique Espagne

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L'assainissement du Royaume d'Espagne est en bonne voie. Les finances sont revenues dans le vert, la dette diminue, l'inflation pour la première a cessé d'augmenter et a même entammé une courbe descendante!
Le mal qui ronge l'économie de l'Empire espagnol est donc en passe d'être réglé! Voilà le fruit d'une politique d'austérité et de limitation des dépenses. Politique qui a poussé l'Espagne a se retirer quelque peu de la scène européenne, afin de ne pas replonger dans une nouvelle guerre qui aurait été économiquement fatale à l'Empire.

L'économie redevenue satisfaisante, des éfforts ont put être éffectués pour l'armée. Si la flotte reste le parent pauvre de nos budgets, l'armée de terre, elle, est gatée. En effet, l'accért technologique entre l'Espagne et ses voisin tend à se creuser, et nous ne redoutons plus une déroute en cas de conflit armé terrestre. En revanche la flotte, elle, reste d'une affligeante qualité. Sa fonction reste donc celle du transport et de garder les côtes. Et Dieu sait que l'Empire en compte !

L'Europe...
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Si l'Espagne dut se retirer de la scène européenne, elle ne put néanmoins rester insensible à une vieille vengeance qui restait sur la table... Jadis, venise avait honteusement annexé la Tunisie, alors vassale espagnole. Devant la situation diplomatique en Europe et notre supériorité militaire contre cette répuiblique marchande, nous décidâmes d'enfin venger notre honneur et aprés quelques batailles, sur terre et sur mer, nous finîmes par arracher au Doge Chypre, qui aura pour vocation de devenir indépendante, la Tunusie, et aussi Mantoue, ces deux dernières provinces égalements ayant l'indépendance en ligne de mire. Ainsi l'Espagne aura encore une fois contribué à la liberté des petits Etats.
Signalons aussi, dans ce registre, la libération de l'ile de Corse, qui forme désormais un état souverain et totalement libre.
Des discutions ont lieu afin de décider du bien fondé d'une telle politique d'émancipation pour la Sardaigne, et qui sait? Pour la Sicile.

Chypre la belle, avre e paix chrétienne au sein de l'Empire Ottoman.
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Tunis! Ville riche et puissante du Maghreb, qui enfin redeviendra libre.
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Les colonies connaissent une croissance moins forte que dans le passé, en cause les économies budgétaires évidemment.

L'Asie du sud est et l'Inde. Portugal et Angleterre s'y partagent la plus grosse part du gateau.
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L'Amérique du nord, ou au fil du XVII ème siècle la France n'a cessé de perdre du terrain.
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La guerre Anglo-Portugaise

Les tensions commerciales entre l'Angleterre et le Portugal ne cessait de croitre tandis que les anciens ne pouvaient que rappeler les crimes ocassionés par la soldatesque portugaise dans les Counouailles sous le regne d'Elisabeth Tudor.
Le gouvernement vota les pleins crédit à l'amirauté. En 1635, l'Amiral Monck appareillait de Plymouth transportant le corps expéditionaire du général faifax fort de 60.000h au Portugal.
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L'Amiral Monck

La campagne militaire ne devait durer qu'une année. Lisbonne et le Portugal furent occupés ainsi que les indes portugaises. La flotte Portugaise évita la royal Navy et ne tentat rien pour gener les mouvements Anglais. La paix devait de solder par le départ du Portugal de l'Inde et la cession du riche centre de commerce de Ganges à l'Angleterre.

Cependant le royaume du Portugal avait été trahis par son alliance Française car Paris ne lui accorda aucun soutien contre l'Angleterre ni même la France. Le Portugal souhaita trouver une solution définitive à la concurence Anglo-Portugaise nefaste à sa sécurité et son commerce.

Finalement le gouvernement d'Angleterre acheta pour 2.500.000 livres sterling le centre de commerce portugais du Japon. Le different anglo-Portugais était alors définitivement terminé ainsi que les tristes souvenir de l'invasion Portugaise en Angleterre.

Le renouveau de la puissance Anglaise, les guerres franco-anglaises en amérique.

La 1ère guerre Franco-Anglaise

L'économie Anglaise redevenait prospère et enfin l'inflation était jugulé. La défaite du portugal et la réconciliation Anglo-Portugaise qui s'ensuivit permettait au royaume aprés s'etre assuré du monopole commerciale et militaire en inde, de se concentrer sur la plus belle des possession de la couronne à savoir la Nouvelle-Angleterre en amérique.

Helas, la Nouvelle-France s'était fortement devellopée au dela des Apppalaches, dans la régions des grands lacs et dans ce que nous commençons à appeler la Virginie et les Carolines. Pire les colons Anglais se plaignait que la plus grande place commerciale de la cote-est américaine se situait à Santee dans les terres Françaises et qu'ils devaient payer des droits de douane prohibitif.

L'angleterre devait agir. Lord Marlborouth débarqua en Nouvelle Angleterre avec 50.000h. La guerre à la France fut alors déclaré. Tandis que l'amiral Russel bloquait la flotte Française dans ses ports atlantiques, Marlborouth franchissait le Potomac et enlevait tout les forts Français en chargeant au son du tambour. Les forces colonilaes Française étaient nombreuses et fortes de 25.000h et defendaient les cols apalachiens en direction de l'Ouest. Marlborouth décida de porter la guerre ou se trouvait les Français et lança l'offensive àvant l'arrivée de l'automne. La Bataille dans les montagnes fut sanglante mais le genie militaire de Marlborouth fut décisif. L'armée coloniale française était détruite et les rares survivant refluèrent sur la vallée de l'Ohio...

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John Churchill Duke of Marlborough

Louis XIV ne pouvait plus sauver la Nouvelle-France et cedait la place de Santee qui était annexée à la nouvelle-Angleterre.

La guerre France/Suède vs Autriche/Hollande

L'impérialisme de Louis XIV était sans limite et des chambres de réunion Française avait déclaré que le sud des pays-bas et la rive gauche du Rhin étaient terres françaises ce qui était un non-sens juridique.

Les armées Franco-Suèdoises prirent l'offensives et le 1er choc fut catastrophique pour les Austro-Hollandais et leurs défaites semblaient inéluctable. Le gouvernement Anglais ne pouvait pas laisser faire une telle politique impérialiste et un embargo général fut déclaré contre tout les béligérants. Evidement nous ne doutions pas que l'effet de cet embargo serait bien plus sensible sur une économie trés commerciale comme celle de la Suède qui d'ailleur inquitéait l'amirauté en entretenant une flotte de 300 navires capable de disputer la supériorité maritime à la Royal Navy.

L'effet escompté de tarda pas à se produire. La Suède pour obtenir la levée de l'embargo de l'Angleterre qui menaçait de la ruiner décida de conclure une paix séparé avec l'Autriche qui céda cependant la Poméranie. La France resta alors seule et l'Autriche pu concentrer ses forces à l'Ouest contre la France qui cessa d'avancer avant de devoir reculer devant les forces Austro-Hollandaise. La guerre se termina finalement par une nouvelle défaite de Louis XIV qui abandonna des terres à l'empereur.

C'était une trés grande victoire de l'Angleterre. Par la seule arme économique et sans verser une goutte de sang anglais, l'embargo anglais avait contraint la Suède à la paix et provoqué la défaite in-fine de la France.

La Hollande n'était pas amputée et l'empereur d'Autriche était auréolé de gloire. L'Angleterre était pleinement satisfaite.... :)

Les guerres asiatiques

La guerre Gujarate

Le sultanat du Gujarat certainement manipulé par les cadeaux venu de France décida un embargo commercial contre l'Angleterre dans le centre de commerce de Kutch en Inde occidentale. L'Angleterre ne pouvait l'acceptait et leva une armée coloniale de Tamoul et sri-lankais sur l'Ile de Ceylan et qui fut placé sous le commandement du Prince Ruppert. La Campagne provoqua des pertes terribles parmis les troupes Anglaises qui heuresement ne comportait pas de "véritable anglais" de métropole sauf parmis les officiers. Les soldats tamouls souffrir terriblement dans les desert du Pakistan et du Baloukistan... les sièges furent long et aprouvant et l'armée Gujarate forte de plus de 70.000h se montra intraitable. Le prince Ruppert atteind du Choléra devait périr sur les rives de l'Indus. Finalement renforcée de contingent indiens levés dans la région de Bombay, l'armée Anglaise occupa tout le Gujarat dont le Sultan fut contrain à se déclarer vassal de l'Angleterre et qui dut évidement lever son embargo commercial. Les conseils militaires français trouvé dans la capitale Gujarati furent expulsés du pays!

La guerre Malaise

La guerre Gujarate venait de se terminé mais les conseillers français expulsés n'était pas rentré en France mais s'était rendu à Malacca pour reprendre leurs travails souterains contre les interets anglais. Le nouveau sultan Malais déclara alors un embargo commercial dans la place de Malacca contre les interets Anglais. Une nouvelle guerre était necessaire. L'Ile de Ceylan qui était devenu le principal pole de puissance de l'Angleterre en Asie devait fournir les 30.000 hommes (indigènes évidement) nécéssaire à la campagne de conquète de la péninsule malaise. Aprés une 1ere rencontre délicate avec des pirates malais dans le détroit de Malacca, la campagne se déroula sans aucune difficultée et le sultan Malais du se reconaitre vassal de l'Angleterre et réouvrir son centre de commerce de malacca aux marchands de la couronne

La 2eme guerre Franco-Anglaise

La 1ère guerre Franco-Anglaise avait offert de centre de commerce de Santee à l'Angleterre mais cette place commerciale était coupée du reste de la nouvelle-Angleterre par les terres française du Roanoke. Aprés les crises en asie formentée par les Français, le nouveau roi d'angleterre de hollande et d'écosse, Guillaume III d'Orange, était décidé à assurer la perennité de la Nouvelle-Angleterre.

Une armée coloniale de 30.000 h fut levé dabs les Colonies tandis que lord Marlborouth rassembla 70.000h en Cornouaille.

La guerre fut déclaré à la France et les forces coloniales franchirent à nouveau le Potomac en direction du sud. La France avait abandonné ses populations et ses maigres forces militaire s'était retranché à l'Ouest de l'Ohio River.

En europe, l'Amiral Benbow commandant de la home fleet forte de 220 vaisseaux appareilla de Plymouth pour tenter de debusquer la flotte française de l'amiral Tourville et dont les 44 vaisseaux était au mouillage dans la rade de Brest.
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L'Amiral Benbow

Mais Tourville qui n'était pas un sot prefera rester protégé des defenses cotières de la rade et refusa de tenter de sortir.
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Amiral Anne Hilarion de Tourville

L'Amiral Russel avec 100 navires suplémentaires appareilla de Bristol au Pays de galles et embarqua l'armée de Marlborouthà destination de la Bretagne. Marlborouth aussi débarqué lança l'assault aux murailles de Brest qui cédère rapidement laissant entrer les forces Anglaises. Mais l'arsenal Brestois était solidement défendu et Tourville pu encore diferer son apareillage esperant des renforts venu de l'Est. Mais Louis XIV n'avait pas réagit et les forces Françaises d'Ile de France et du nord n'avait pas encore entamé le moindre mouvement. Tourville à cours de ravitaillement ordonna à la flotte française d'appareiller à la tombée de la nuit.

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L'Amiral Russell

L'Amiral Benbow attendait au large de Brest et comprit la manoeuvre Française. Cependant les vents d'Ouest fort en cette saison empechait aux navires Anglais de s'approcher de la cote tant les lames et les rochers pouvaient couller un grand nombre de navire anglais. Tourville connaisant trés bien la région en profita et longeant la cote, il parvint à échapper à la vigilance anglaise. Quelques boulets dans la nuit sans lune furent échangé mais tous ne trouvèrent que des vagues commes cibles.

Au petit matin, Benbow ordonna la poursuite de la flotte Française qui cinglait vers le golfe de Gascogne. Mais Tourville était un trés grand amiral et en tout cas bien plus habile que Benbow. Par 3 fois, Benbow engagea le combat et par 3 fois, Tourville lui échappa sans essuyer de perte malgrés des effectifs 5 fois inéférieurs. Finalement Tourville trouva refuge dans la rade de Lorient.

Marlborouth quitta Brest et rembarqua pour l'Angleterre avec en Projet de débarquer en Picardie pour foncer sur Paris et enlever la capitale Française d'assault par suprise. Pendant ce temps enfin Louis XIV avait envoyé son meilleur général (Villars) pour dégager Tourville et libérer la Bretagne. Villars et 38.000h fonça en direction de Brest tandis que Villeroy et 20.000h prenait position dans le fort de Lorient pour defendre Tourville.

Encore une fois Louis XIV avait envoyé certe son meilleur général vers l'Ouest mais avec des forces bien insuffisante par rapport aux moyens terrestres dont dispose la France et en plus avait divisé ses forces.

Les navires espions Anglais avaient repéré la manoeuvre. Russel qui transportait Marlborouth et son armée fit demi-tour au large de Cherbourg et fonça sur Lorient. Marlborouth débarqua entre Vannes et Lorient et livra combat à Villeroy dont les 20.000h furent exterminés par les 55.000h de Marlborouth.
Marlborouth ne lança pas l'assault contre Lorient afin de forcer Tourville à affronter une nouvelle fois la Home Fleet de Benbow et ses 220 vaisseaux. Non Marborouth prefera foncer vers le nord ouest dans le but de pieger Villars à la pointe de la Bretagne lui qui piétinait toujour devant Brest (toujours anglaise)
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Le général Villars à la tête de ses troupes tente de forcer le passage vers la route de Rennes


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Louis Hector de Villars --- Sir John Churchill, Duc de Marlborough



Villars compris alors dans quelle positions despérés il se retrouvé coupé du reste de la france par l'avancée de l'armée Anglaise. Le général catinat apportait bien quelques maigres renforts mais ils se trouvait encore à l'Esst de Rennes et arriverait trop tard.
Villars dans le "cul-de-sac breton"ne pouvait s'echapper et du accepter la bataille. Elle fut terrible, 12.000 Anglais périrent mais 35.000 Français sur 38.000 furent tué dans cette terrible bataille. Villars et 3.000 desepérés forcèrent le passage vers l'est iméditament poursuivit par 43.000 anglais. Il ne faisait aucun doute que la prochaine bataille verait la destruction des forces Françaises et la mort du brillant général Villars qui venait d'etre rejoins par Catinat.

Mais il n'était pas de la volonté de l'Angleterre d'écraser la France. La Virginie Française était conquise, Brest occupé, Tourville était enfermé dans Lorient et sa flotte menacée de destruction par la royal Navy et enfin Catinat et surtout Villars pouvaient etre rejoins et tué dans quelques jours. Le gouvernement Anglais fit parvenir les conditions de paix de l'Angleterre à savoir la session de toute la Virginie française à l'exeption du port de Savanah.

Louis XIV dont les armées avaient été batut en France métropolitaine et dont son meilleur général était en si facheuse posture ne pu que signer la paix aux conditions de l'Angleterre.

Benbow rendit hommage au brillant amiral Tourville qui avait su preserver ses navires et ses équipages malgrés une situation trés défavorable pour la France. Marlborouth reçu lui son homologue français Villars à son campement de Brest. Les deux grands chefs de guerres parlèrent longuement des qualités de chefs de guerre de Louis le Quatorzième qui devenait légendaire en europe pour sa propension à avoir de grands projets mais de ne jamais lever et mobiliser les effectifs militaires suffisants pour ses grandioses projets. :)

1695 l'Union dynastique avec l'écosse.

Sa majesté Guillaume III d'Orange était souverain d'Angleterre, d'Ecosse et de Hollande. Conservant la Hollande comme appanage personnel, il devait décider en 1695 d'unir ses couronnes d'Ecosse et d'Angleterre en une seule couronne: le royaume-uni d'Angleterre et d'écosse. Cependant le Pays de Galles et l'Iralande du nord n'était pas satisfaite et le roi du faire des consessions.


Le roi Guillaume (William) III, roi d'Angleterre, d'Ecosse et de Hollande.

En 1695, Guillaume III d'Orange proclama la naissance du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande et un nouveau Drapeau fut réalisé par la fusion du trandition St-George Cross de l'Angleterre et des drapeaux écossais, Irlandais et gallois donnant naissant à l'UNION JACK.
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La prise d'effet de l'act d'Union étant fixé pour le 1er janvier 1701.

L'Acte d'union entre en vigueur

Le 1er janvier 1700 entrait en application le décret royal de 1696 à savoir l'union Officielle des royaume d'Ecosse et d'Angleterre et la formation du royaume de Grande-Bretagne et d'Irlande.

Les guerres commerciales.

La république de Venize décrétait en 1699 un embargo commercial contre l'Angleterre. L'ambassadeur anglais, sir Rudolph Dunford fut éconduit avec le plus grand irrespect par le doge quand il demanda des explication. A Londre pour le gouvernement Dosière, il ne faisait aucun doute qu'encore une fois, c'était de Paris quétait parvenu les consignes pour le doge qui était d'ailleur officiellement allié à la France.

La guerre fut donc voté au Parlement et Marlborouth s'embarqua à Southampton sur la flotte de l'amiral Rooke avec 40.000 soldats. Aprés avoir franch ile détroit d'Otrante, Rooke pulvérisa les 13 galères vénitiennes qui tentèrent de disputer le passage à son armada de 120 vaisseaux.
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L'amiral Sir George Rooke

Marlborouth débarqua à Venize et lança imméditament l'assault sur la ville. Mais la lagune avantageait fortement la defense et il du se resoudre a un siège qui fut assez court, le général anglais étant expert en siège, les vénitiens durent rapidement se rendre. Marlborouth re-embarqua pour la crete dont la capital Candie fut assiégée.

Cependant pendant ce temps en Asie, la Perse a son tour fermait ses portes au commerce de l'Angleterre. Marlborouth laissa le siège de Candie a un de ses subalternes et appareilla imédiatement pour Ceylan. Arrivé au printemps 1700, le général devenu Britanique, prenait la tete d'une armée de 30.000h dont 10.000 anglais et 20.000 sri-lankais. Franchissant le détroit d'Ormuz, Marlborouth débarqua à l'Ouest d'Ispahan et mis le siège à la ville qui devait se rendre 4 mois plus tard en même temps que la dernière forteresse Ventienne de Crete.

A l'été 1700, L'Empire Britanique Vassalisait la Perse et obtenait du shah la levée de l'embargo. En Europe Venize cédait la Crète qui devenait une importante base navale de la Royal navy en mediterranée ainsi que 150.000 ducats d'indemnités.

La guerre de succession d'espagne

Le général Marlborouth était encore en Perse quand il fut rapellé en urgence en europe car de biens sombres nouvelles parvenaient d'Espagne. En effet les espions espagnols travaillant en France signalait une importante levée de troupe et de mobilisation de force militaire en france et d'une prise de position dans le sud-Ouest Français. Une offensive de Louis XIV sur l'Espagne semblait iminente.

Le dernier Roi Habsbourg de la branche de Phillipe II venait de déceder et les espagnols avait preferé placer sur le trone le prétendant Habsbourg d'Autriche au lieu du petit fils de Louis XIV, le prince Philippe de Bourbon.

Louis XIV exédé déclara la guerre à l'Espagne en même temps que l'Empire Ottoman. L'Autriche engluée en Finlande dans sa guerre contre la Suède ne pouvait réagir. La Hollande ne bougea pas. Seul le Portugal pris fait et cause pour l'Espagne et le prétendant Habsbourg.

L'Empire Britannique ne pouvait que valider la succession espagnole et ne pouvait prendre le risque d'une fusion future des royaumes d'Espagne et de France en cas de monté sur le trone du prince bourbon. Sa majesté Guillaume III ne put que déclarer la guerre à la France.

La guerre en amérique

Les forces britanniques de Nouvelle-Angleterre se montait à 10.000h et aucune offensive sur la Nouvelle-France ne semblait possible car franchir l'Ohio defendu par les français et realiser la conquete de la Nouvelle-France semblait comptement hors de porté Mais la France se montra impétueuse et imprudente et commis une erreur décisive.
Les forces Française de Nouvelle-France franchirent la frontière formée par l'Ohio River et marchant vers l'est entrèrent en Virginie. Les forces coloniales Anglaises se replièrent en bon ordre au nord du Potomac et purent s'organiser. Dans toutes les colonies du nord du Potomac, la milice coloniale fut levée et bientot les forces anglo-américaine disposait de 30.000h. Les Françait piétinait toujours dans l'Ouest de la virginie quand les forces Anglo-américaine franchirent le potomac dans la région du Roanoke avant d'obliquer vers le nord-ouest et marcher contre les Français. Les Français tentèrent de s'enfuir vers l'Ohio mais furent rattrapé et la bataille bien que terrible se termina par une déroute française. Les lambeaux de l'armée coloniale tentèrent de s'echapper vers le sud mais furent rattrapé et de nouveaux batut sechement. Désormais les français étaient désemparé sans pouvoir rentrer en nouvelle-France et seuls certains purent échapper à la mort en franchissant la frontières de la Floride et se réfugiant sur des terres inospitalière espagnole.

Pendant ce temps, la Nouvelle-France était désormais sans defense puisque son armée avait été sacrifiée sur l'autel de l'offensive. Les forces Britannique devenu de Virginie et Espagnole venue de Louisiane pouvait investir la colonie.

La guerre en europe. La destruction de la marine Française

Des la déclaration de guerre, l'amiral Rooke appareilla de Southampton pour mettre sous blocus la flotte française de l'Amiral Tourville enfermé dans le port de Lorient.Mais des vigies espagnoles aperçurent une flotte de 44 navires Français au large de la Corogne sur les cotes de Galice. Rooke quitta précipitament Lorient (dont le blocus du port fut alors assuré par la flotte de l'amiral Russel) et se porta sur la galice dans l'espoire d'intercepter les navires Français avant qu'ils ne s'échappent. Quand il arriva à La Corogne, inexplicablement les navires Français n'avait pas bougé et la surprise fut totale. En 2 heures, la flotte française avait perdu 32 navires sur 44 et se décida à se replier sur Bordeaux. Mais elle fut rattrapé à nouveau dans le golfe de Gascogne et complètement coulée.

La France venait de perdre 44 navires, la royale Navy... 3

Des navires Espagnols avait également detecté dans les Antilles une escadre Française forte de 13 vaisseaux commandé par le brillant corsaire Dugay-Trouin. L'Amiral rooke renvoya 70 vaisseaux vers l'Angleterre et en gardant 50 il décida d'appareiller de La Corogne en direction des Caraibes. Dugay-Trouin était remonté vers le nord et ses navires patrouillaient au large des cotes de Virginie quand Rooke le surprit surgissant des bancs de brume au petit matin. Ce fut un 2eme terrible desastre pour la marine Française et l'escadre de Louis XIV fut entièrement coullée et le grand corsaire Dugay-Trouin sombra avec ses navires. La France venait de perdre 13 vaisseaux suplémentaires... l'Amiral Rooke n'avait perdu qu'un seul navire.

Louis XIV est devenu fou.

Lord Marlborouth attendait à Londre avec 60.000h ses instruction avant de débarquer sur le continent quand se produisit une chose inimaginable. Louis XIV venait d'ordonner au général Catinat de traverser le détroit du Pas de Calais avec 28.000h sur de vulgaires péniches en absence de toute protection navale Françaises et profitant du fait que le détroit ne semblait pas gardé en apparence.
L'Amiral benbow pourtant croisait avec 100 vaisseaux au large de Southampton et mis le cap sur le Pas-de-Calais avant de recevoir l'instruction de stopper son mouvement.
Catinat voulait débarquer en Angleterre? et bien laissont le venir se jeter dans le piège...
Catinat débarqua dans le Kent avant de s'apercevoir la marche sur lui de Marborouth venu de Londres avec ses 60.000h alors que lui même n'en disposait que de 28.000. Mais la retraite vers la France était devenu impossible car désormais Benbow bloquait le détroit. Catinat du accepter la bataille et son armée fut anehentie et lui même trouva la mort. Les français venait de perdre 28.000h et l'Angleterre 5.000 ....

(a suivre)

Chroniques du Royaume d'Espagne.

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"Dieu, que les Pyrénées sont terribles! Dieu que de Pyrénées..."
Louis XVI

Non! Les étrangers ne pourront placer sur le trone espagnol qui bon leur semblera! Quelle insolence de penser pouvoir nous imposer un Roi!
Louis XIV a osé tenter l'aventure. Que Dieu lui pardonne! En tout cas, nous ne lui avons pas pardonné, nous, et les dizaines de milliers de corps de soldats français en train de pourrir sur nos terres sont là pour rappeller que nul en ce monde n'est apte à envahir notre trés Sainte Nation.
Dieu et les Pyrénées veillent sur nous. Puissent nos enemis s'en souvenir.

La lignée des Bourbons ne sera donc pas notre prochaine dynastie, et l'Espagne reste fidèle aux Habsourg.

La France paye son insolence par la libération, enfin! de la Savoie.
Pays ignoblement annexé il y a des années. Justice est rendue.
Quant à l'ignoble Empire du Mal, la Turquie, celui-ci, pour avoir làchement tenté de profiter d'un conflit européen pour avancer ses pions a dut làcher l'Albanie.
Et l'Espagne annonce dés à présent son intention de libèrer la Grèce.
Que la Turquie cède sur le champ Hellas et la Morée à l'Espagne, sinon quoi une nouvelle guerre fera rage entre nos deux pays.

Que cela soit dit!

La métropole espagnole.
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Camarades, compagnons! ! !


Depuis maintenant 31 longues années, notre riant pays est la cible des envahisseurs Autrichiens et Russes : ceux-ci espéraient une victoire facile, leurs forces armées sont de trois à quatre fois plus nombreuses que les nôtres, mais ils sont tombés sur un os :tongue: . On estime actuellement à un demi-million le nombre de ces envahisseurs qui sont déjà tombés, loin de leur patrie, loin de leurs familles, pour assouvir la folle soif de sang de leurs monarques :?: .


Récemment encore, plus de 100.000 Austro-Russes se sont élancés, bousculant tout sur leur passage, pour atteindre Stockholm, notre merveilleuse capitale : ils ne l’ont jamais atteinte et 1800 Autrichiens seulement ont réussi à retourner en Russie ! 1800 survivants sur une armée de 100.000 hommes :=(: ! Que les générations futures n’oublient jamais notre exploit, notre courage indomptable et notre moral d’acier : qui vient en Suède avec des intentions hostiles en repart les pieds devant, qu’on se le dise :tongue: !


Le scélérat Eugène a échappé au désastre : tant mieux ! Nous avons ainsi eu l’occasion de la battre encore et encore, notamment en Livland, reconquise de haute lutte par nos armées, où plus de 60.000 Austro-Russes ont été massacrés lors de deux titanesques batailles :chicos: !


En vérité, camarades, compagnons, nous vous le disons en toute modestie : après 31 ans de guerre, nous sommes plus fort que jamais ! La victoire est proche :clap: ! Nous lutterons et nous vaincrons !


Des agents maléfiques soutenus par les envahisseurs ont malheureusement provoqué une crise sans précédent au sein de notre royaume : la contestation atteint des niveaux jamais atteints (maudit event :enerve: ). Mais cela n’est rien :mrgreen: ! Dans moins de 5 ans, nous vous le disons, la situation sera rétablie : rien ne pourra nous empêcher de vaincre ! Qu’est-ce 5 ans de galère sur un conflit qui devrait durer minimum 50 ans :siffle: ?


Nous lutterons sur mer, sur terre et dans les airs, sur les plages et dans les plaines, de nuit comme de jour : nous ne cesserons pas le combat tant que tous les envahisseurs, jusqu’au dernier troufion, n’ait été renvoyé chez lui à coups de canons !


La victoire est proche ! Déjà toute la Scandinavie a été libérée et les cadavres des 500.000 tués Austro-Russes jonchent la Baltique, Livland aussi a été récupérée ! Dans 15 ans, nous ferons notre entrée triomphale dans Moscou et, en vérité je vous le dis, dans 35 ans nous camperons devant Vienne :chicos: !



Vive la Suède ! Vive le Peuple Libre ! Vive l’Empereur du Grand Nord !

Chroniques de la Sainte Mère Russie


1680 - 1690 : L'émergeance économique :


A partir de 1680, un nouveau décret du Tzar écarte l'Etat de toute politique commerciale, en effet, même après des années d'investissement et de luttes commerciales, il convient de remarquer qu'au sein même de notre Empire, il nous est difficile d'assurer le maintient de nos établissements commerciaux et ce même à Moscow :loose: . En somme, entre les aides aux négociants et les investissements sur notre politique économique, le budget dédié au Commerce pèse plus qu'il ne rapporte. Dès lors, les fonds autrefois dirigés vers cette filière de notre économie sont redirigés principalement au bénéfice de notre politique Coloniale. Durant la décénie 80, ce choix politique portera rapidement ses fruits puisque nos recettes finiront par augmenter de 30 %. Ces bons résultats sont aussi à mettre sur le compte du protectionisme et de l'appuie apporté à la production nationale. En 1690 donc, la Sainte Mère Russie n'a jamais été aussi riche, si riche que les recettes de cette décénies permettront de financier au delà des 10 premières années de la Grande Guerre de Scandinavie sans que nous n'ayons jamais à devoir faire appel aux banquiers Moscovites ou à devoir puiser dans le trésor.


1690 : La Grande Guerre


Depuis déjà plusieurs décénie le projet d'une Grande Alliance était à l'étude à Moscow et à Vienne, la vanité et l'orgueil des Suédois et principalement de leur dirigeants criant à la lâcheté et à la pitié lorsqu'ils se trouvaient en position de faiblesse, et vomissant le pêché d'orgueil dès qu'ils se retrouvaient en position de force, cette orgueil et cette vanité étaient devenues insupportables tant pour les Autrichiens que pour les Russes. D'autant plus que nos deux Empires s'étaient vus raffler des territoires qui leur étaient chèrs au moyen de guerres que les Rois Suédois étaient bien prompts à mener mais sur lesquelles ( j'ai lutté pour traduire ça j'espère que c'est bon :enerve: ) ils étaient les premiers à pleurer et à menacer de suicide si de telles guerres leur étaient menées. Le Tzar prêt à sacrifier l'ensemble de la Russie mais incapable de supporter la responsabilité du suicide d'un Prince de Sang noble était donc bien prêt à mener une guerre impitoyable contre la Suède mais il ne put jamais être question de faire appels à d'autres alliers que les Autrichiens. Cependant, si Moscow était encore animé de noble chevalerie, nous savions pertinament que certains de nos voisins n'attendaient que cette guerre pour nous sauter à la gorge. Après cette décénie de prospérité nous nous préparions donc à jouir de la décénie suivante pour consolider nos appuis et nos amitiés à l'Est, notamment avec la Pologne et l'Empire Ottoman.

Cependant, dès Janvier 1690, Vienne nous pousse à la guerre avant la fin de l'année. Selon les Autrichiens, il faut profiter du calme rélatif de l'Ouest pour s'attaquer aux Suédois et ce avant que leur Grande Réforme de l'Armée ne soit mise en place. Moscow accepte donc de se mettre en guerre avant la fin de l'année mais doit accélérer ses entreprises diplomatiques. Des négociations en cours avec l'Empire ottoman concernant des provinces du caucases sont remises en question auprès d'Istanbul que la Russie presse les Ottomans d'achever afin de leur arracher la neutralité dans le conflit qui s'annonce. Malgré des siècles de bonnes relations avec la Sublime porte, cette dernière semble faire traîner volontairement en longueur ces négociations. Dans le même temps, via une suite d'importantes ambassades en Pologne, une nouvelle et subite amitié finit par liés nos deux pays :chicos: , un mariage royal est meme contracté. Enfin, de nombreuses troupes sont mobilisés en urgence, et notamment dans le sud et dans le Caucase pour faire peser d'avantage notre pression sur Istanbul. Cependant, nous ne parvenons pas à arracher la neutralité Ottomane avant le début de la guerre...

Des morts sur le sable...

-Mon Capitaine! Mon capitaine! Les indiens!! Les ind... rghaa...
Et ce malheureux s'éccroula, touché en pleine poitrine par une flèche de ces féroces sauvages.
-Sergent! Faites sonner le clairon bon Dieu! A la défense!
Le Capitaine Ortega. Grand et solide basque ayant voué sa vie à la cause de la couronne madrilène... chose que sa famille de la petite bourgeoisie de Bilbao de lui pardonna jamais. Soit, son coeur est de toute façon pris... par le devoir.
-Avec moi! Derrière les chariots! Vite, derrière les chariots!... Vous, Caporal, disposez les fusillers... Mendietta, venez! Il y a des blessés là bas, faites les ramener.
Et tous s'éxècutèrent. Les officiers hurlaient sur leurs soldats, beaucoup paniquant devant les hordes largement supérieures de cavaliers Navajos leur fonçant dessus. Les blessés étaient ramenés au sein de la formation, s'étant retranchée derrière les chariots placés en cercle tant bien que mal, et tout cela sous le tir frénétique des indiens. Et pourtant, nombreux étaient ceux fauchés par les fusillers espagnols retranchés derrière leurs abbris et dégommant leurs balles de silex mortelles. Mais encore plus nombreux étaient les cavaliers surgissant de derrière la colline et remplacant ceux déjà tombés.
Ce flux de sauvages enragés semblaient ne jamais pouvoir se tarir, comme si le désert les crachaient violemment.
Et l'assaut durera jusqu'au soir. Les indiens se retranchant dans le désordre en accompagnant le soleil qui se couchait par delà l'horizon.

Des complaintes... Voilà ce qui emplissait l'air à présent... sous cette chaleur encore horrible malgré l'heure avancée. Comment Dieu put-il créer pareils sauvages? Pareils criminels?

Mais... que faisait cette troupe espagnole, là, au milieu de nulle part, dans cette vaste région riche de son sable rouge, de ses rochers coupants... et de rien d'autre? Comment le Gouverneur du Mexique a-t-il put exiger de ses propres hommes que l'infinie région peuplée des cavaliers Navajos soit conquise par les courageux soldats de la couronne. Et d'ailleurs, il n'y avait rien à conquérir. De l'espace... et cela au prix de la mort de milliers de fils ibériques que leurs mères pleureront, quand dans quelques mois, un navires revenus en Espagne leur apprendra la nouvelle.

Non, décidemment, il n'y avait rien à comprendre. Et le Capitaine Ortega ne s'y éssaya même pas. Dans son carnet de route, qu'il tenait quotidiennement à jour, il résuma cette journée ainsi:

"Enième attaque Navajo. Nos éffectifs continuent de fondre, mais pas aussi vite que notre eau et nos vivres. Les munitions manquent et il faudra bientôt engager l'enemis à la baionnette. Si les anciens Aztèques avaient raison et que le Soleil est Dieu... alors Dieu ne cesse de vouloir nous consummer. Nous avons dut achever 3 blessés nous même. Il n'y a plus de sel pour faire sècher les plaies des amputations, les pauvres seraient morts de délire et de gangrènne. Nous n'avons plus vu un seul autre homme blanc depuis 3 mois, nous sommes incapables de nous situer et il y a fort à parier que jamais nous ne pourrons rentrer au Mexique. La nuit tombe et avec elle la certitude d'une attaque dans quelques heures, avant que le jour ne se lève. La terreur règne dans le camp. Les hommes savent ce qui les attend si ils se rendaient, et savent que jamais nous ne pourrons tenir encore longtemps. La mort est notre avenir. Nombreux sont ceux à espèrer qu'une flèche vienne les libèrer de leur horrible destinée en ce lieu. Si ce n'est une flèche, avec sa mort rapide, ce sera la soif ou la faim... lentes et horribles... mais pas autant que le scalpage des blessés que les Indiens retrouvent. Seigneur, tu nous as abbandonné."