Il y a pas mal d'events (notamment tout ce qui est révoltes et usurpations), et les monarques/chefs sont historiques. Enfin j'ai eu une "petite" surprise à ce sujet dans ma partie, c'est... surprenant. Le bug est remonté à Ageod. :o:

Bref, monarques historiques, mais dates de mort variables: Constance a régné une éternité en Orient, par exemple... C'est un peu gênant quand les deux Empires sont en union personnelle, mais après tout c'est sensé finir assez vite de toute façon.
Les monarques peuvent aussi mourir sur le champs de bataille, tout comme les généraux -qui sont aussi historiques, puis aléatoires quand il n'y en a plus dans le Pool-.

Quel talent, mais quel talent :clap:

D'un côté, tu sembles plus spectateur des événements qu'autre chose ( quel est exactement ton champ d'action? Envoyer des missionnaires, bénir l'Empereur, construire des monastères...), mais d'un autre côté on te sent bien engagé dans la conquête des âmes, l'aar est génial à lire, donc tu t'impliques et le jeux te plait :o:

C'est un des points qui m'avait dérouté sur ce jeux, on ne sait trop quels objectifs se fixer. Clairement, il ne s'agit pas ici de conquérir le monde, vieux délire de certains mégalomanes :mrgreen:, les cycles historiques sont les plus forts... Ou pas. Le christianisme va t-il s'imposer? Affaire à suivre :o:

Mon champs d'action est en effet strictement religieux pour le moment: construction de bâtiment et envoi de missionnaires. Vu que j'ai 3-4 missionnaires par ans, le rythme de jeu est honorable. Il est vrai que je pourrais faire plus, mais gérer les deux Empires me fait un peu peur, même si celui d'Orient aurait bien besoin -vous verrez- d'une intervention humaine...

Je compte de toute façon prendre les Francs si l'Empire d'Occident chute. Oui, je commence à douter de sa chute, c'est dire! :lol:

Concernant les objectifs:
Et bien... Ce n'est pas un jeu bac à sable puisque comme tu le dis, on se fait rattraper par le temps, du fait du système de déclin. Donc pour gagner selon les critères du jeu, il faut obtenir des points de victoire, lesquels sont conditionnés à l'occupation de certaines zones (Hispanie pour les Wisigoths, Gaule pour les Francs...), puis faire son deuil du pays patiemment mené et prendre la relève avec un autre.