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Pour Chal!(un peu de nostalgie)
Un superbe poème avec une musique de fond absolument géniale....envoutant! (dommage qu'il n'y soit pas sur youtube car je l'aurais bien mis en lien :( ) Claude Nougaro PLUME D'ANGE Paroles: Claude Nougaro, musique: J.C. Vannier, 1977 Vous voyez cette plume? Eh bien, c'est une plume... d'ange Mais rassurez-vous, je ne vous demande pas de me croire, je ne vous le demande plus. Pourtant, écoutez encore une fois, une dernière fois, mon histoire. Une nuit, je faisais un rêve désopilant quand je fus réveillé par un frisson de l'air. J'ouvre les yeux, que vois-je? Dans l'obscurité de la chambre, des myriades d'étincelles... Elles s'en allaient rejoindre, par tourbillonnements magnétiques, un point situé devant mon lit. Rapidement, de l'accumulation de ces flocons aimantés, phosphorescents, un corps se constituait. Quand les derniers flocons eurent terminé leur course, un ange était là, devant moi, un ange réglementaire avec les grands ailes de lait. Comme une flèche d'un carquois, de son épaule il tire une plume, il me la tend et il me dit: "C'est une plume d'ange. Je te la donne. Montre-la autour de toi. Qu'un seul humain te croie et ce monde malheureux s'ouvrira au monde de la joie. Qu'un seul humain te croie avec ta plume d'ange. Adieu et souviens-toi: la foi est plus belle que Dieu." Et l'ange disparut laissant la plume entre mes doigts. Dans le noir, je restai longtemps, illuminé, grelottant d'extase, lissant la plume, la respirant. En ce temps-là, je vivais pour les seins somptueux d'une passion néfaste. J'allume, je la réveille: "Mon amour, mon amour, regarde cette plume... C'est une plume d'ange! Oui! un ange était là... Il vient de me la donner... Oh ma chérie, tu me sais incapable de mensonge, de plaisanterie scabreuse... Mon amour, mon amour, il faut que tu me croies, et tu vas voir... le monde!" La belle, le visage obscurci de cheveux, d'araignées de sommeil, me répondit: "Fous-moi la paix... Je voudrais dormir... Et cesse de fumer ton satané Népal!" Elle me tourne le dos et merde! Au petit matin, parmi les nègres des poubelles et les premiers pigeons, je filai chez mon ami le plus sûr. Je montrai ma plume à l'Afrique, aux poubelles, et bien sûr, aux pigeons qui me firent des roues, des roucoulements de considération admirative. Je sonne. Voici mon ami André. Posément, avec précision, je vidais mon sac biblique, mon oreiller céleste: "Tu m'entends bien, André, qu'on me prenne au sérieux et l'humanité tout entière s'arrache de son orbite de malédiction guerroyante et funeste. A dégager! Finies la souffrance, la sottise. La joie, la lumière débarquent!" André se massait pensivement la tempe, il me fit un sourire ému, m'entraîna dans la cuisine et devant un café, m'expliqua que moi, sensible, moi, enclin au mysticisme sauvage, moi devais reconsidérer cette apparition. Le repos... L'air de la campagne... Avec les oiseaux précisément, les vrais! Je me retrouve dans la rue grondante, tenaillant la plume dans ma poche. Que dire? Que faire? "Monsieur l'agent, regardez, c'est une plume d'ange." Il me croit! Aussitôt les tonitruants troupeaux de bagnoles déjà hargneuses s'aplatissent. Des hommes radieux en sortent, auréolés de leurs volants et s'embrassent en sanglotant. Soyons sérieux! Je marchais, je marchais, dévorant les visages. Celui-ci? La petite dame? Et soudain l'idée m'envahit, évidente, éclatante... Abandonnons les hommes! Adressons-nous aux enfants! Eux seuls savent que la foi est plus belle que Dieu. Les enfants... Oui, mais lequel? Je marchais toujours, je marchais encore. Je ne regardais plus la gueule des passants hagards, mais, en moi, des guirlandes de visages d'enfants, mes chéris, mes féeriques, mes crédules me souriaient. Je marchais, je volais... Le vent de mes pas feuilletait Paris... Pages de pierres, de bitume, de pavés maintenant. Ceux de la rue Saint-Vincent... Les escaliers de Montmartre. Je monte, je descends et me fige devant une école, rue du Mont-Cenis. Quelques femmes attendaient la sortie des gosses. Faussement paternel, j'attends, moi aussi. Les voilà. Ils débouchent de la maternelle par fraîches bouffées, par bouillonnements bariolés. Mon regard papillonne de frimousses en minois, quêtant une révélation. Sur le seuil de l'école, une petite fille s'est arrêtée. Dans la vive lumière d'avril, elle cligne ses petits yeux de jais, un peu bridés, un peu chinois et se les frotte vigoureusement. Puis elle prend son cartable orange, tout rebondi de mathématiques modernes. Alors j'ai suivi la boule brune et bouclée, gravissant derrière elle les escaliers de la Butte. A quelque cent mètres elle pénétra dans un immeuble. Longtemps, je suis resté là, me caressant les dents avec le bec de ma plume. Le lendemain je revins à la sortie de l'école et le surlendemain et les jours qui suivirent. Elle s'appelait Fanny. Mais je ne me décidais pas à l'aborder. Et si je lui faisais peur avec ma bouche sèche, ma sueur sacrée, ma pâleur mortelle, vitale? Alors, qu'est-ce que je fais? Je me tue? Je l'avale, ma plume? Je la plante dans le cul somptueux de ma passion néfaste? Et puis un jeudi, je me suis dit: je lui dis. Les poumons du printemps exhalaient leur première haleine de peste paradisiaque. J'ai précipité mon pas, j'ai tendu ma main vers la tête frisée... Au moment où j'allais l'atteindre, sur ma propre épaule, une pesante main s'est abattue. Je me retourne, ils étaient deux, ils empestaient le barreau: "Suivez-nous." Le commissariat. Vous connaissez les commissariats? Les flics qui tapent le carton dans de la gauloise, du sandwich... Une couche de tabac, une couche de passage à tabac. Le commissaire était bon enfant, il ne roulait pas les mécaniques, il roulait les r: "Asseyez-vous. Il me semble déjà vous avoir vu quelque part, vous. Alors comme ça, on suit les petites filles? - Quitte à passer pour un détraqué, je vais vous expliquer, monsieur, la véritable raison qui m'a fait m'approcher de cette enfant. Je sors ma plume et j'y vais de mon couplet nocturne et miraculeux. - Fanny, j'en suis certain, m'aurait cru. Les assassins, les polices, notre séculaire tennis de coups durs, tout ça, c'était fini, envolé! - Voyons l'objet, me dit le commissaire. D'entre mes doigts tremblants il saisit la plume sainte et la fait techniquement rouler devant un sourcil bonhomme. - C'est de l'oie, ça..., me dit-il, je m'y connais, je suis du Périgord. - Monsieur, ce n'est pas de l'oie, c'est de l'ange, vous dis-je! - Calmez-vous! Calmez-vous! Mais vous avouerez tout de même qu'une telle affirmation exige d'être appuyée par un minimum d'en quête, à défaut de preuve. Vous allez patienter un instant. On va s'occuper de vous. Gentiment hein? gentiment." On s'est occupé de moi, gentiment. Entre deux électrochocs, je me balade dans le parc de la clinique psychiatrique où l'on m'héberge depuis un mois. Parmi les divers siphonnés qui s'ébattent ou s'abattent sur les aimables gazons, il est un être qui me fascine. C'est un vieil homme, très beau, il se tient toujours immobile dans une allée du parc devant un cèdre du Liban. Parfois, il étend lentement les bras et semble psalmodier un texte secret, sacré. J'ai fini par m'approcher de lui, par lui adresser la parole. Aujourd'hui, nous sommes amis. C'est un type surprenant, un savant, un poète. Vous dire qu'il sait tout, a tout appris, senti, perçu, percé, c'est peu dire. De sa barbe massive, un peu verte, aux poils épais et tordus le verbe sort, calme et fruité, abreuvant un récit où toutes les mystiques, les métaphysiques, les philosophies s'unissent, se rassemblent pour se ressembler dans le puits étoilé de sa mémoire. Dans ce puits de jouvence intellectuelle, sot, je descends, seau débordant de l'eau fraîche et limpide de l'intelligence alliée à l'amour, je remonte. Parfois il me contemple en souriant. Des plis de sa robe de bure, ils sort des noix, de grosses noix qu'il brise d'un seul coup dans sa paume, crac! pour me les offrir. Un jour où il me parle d'ornithologie comparée entre Olivier Messiaen et Charlie Parker, je ne l'écoute plus. Un grand silence se fait en moi. Mais cet homme dont l'ange t'a parlé, cet homme introuvable qui peut croire à ta plume, eh bien, oui, c'est lui, il est là, devant toi! Sans hésiter, je sors la plume. Les yeux mordorés lancent une étincelle. Il examine la plume avec une acuité qui me fait frémir de la tête aux pieds. "Quel magnifique spécimen de plume d'ange, vous avez là, mon ami. - Alors vous me croyez? vous le savez! - Bien sûr, je vous crois. Le tuyau légèrement cannelé, la nacrure des barbes, on ne peut s'y méprendre. Je puis même ajouter qu'il s'agit d'une penne d'Angélus Maliciosus. - Mais alors! Puisqu'il est dit qu'un homme me croyant, le monde est sauvé... - Je vous arrête, ami. Je ne suis pas un homme. - Vous n'êtes pas un homme? - Nullement, je suis un noyer. - Vous êtes noyé? - Non. Je suis un noyer. L'arbre. Je suis un arbre." Il y eut un frisson de l'air. Se détachant de la cime du grand cèdre, un oiseau est venu se poser sur l'épaule du vieillard et je crus reconnaître, miniaturisé, l'ange malicieux qui m'avait visité. Tous les trois, l'oiseau, le vieil homme et moi, nous avons ri, nous avons ri longtemps, longtemps... Le fou rire, quoi! :hello: |
Allez, une petite Aznavour, autre que la superbe "Emmenez-moi", mais elle donne autant envie de se saouler au genièvre:
Je bois. Je bois pour oublier mes années d'infortune Et cette vie commune Avec toi mais si seul Je bois pour me donner l'illusion que j'existe Puisque trop égoïste Pour me péter la gueule Et je lève mon verre à nos cœurs en faillite Nos illusions détruites A ma fuite en avant Et je trinque à l'enfer qui dans mon foie s'impose En bouquet de cirrhose Que j'arrose en buvant Je bois au jour le jour à tes fautes, à mes fautes Au temps que côte à côte Il nous faut vivre encore Je bois à nos amours ambiguës, diaboliques Souvent tragi-comiques Nos silences de mort A notre union ratées, mesquine et pitoyable A ton corps insatiable Roulant de lit en lit A ce serment, prêté la main sur l'Evangile A ton ventre stérile Qui n'eut jamais de fruit Je bois pour échapper à ma vie insipide Je bois jusqu'au suicide Le dégoût la torpeur Je bois pour m'enivrer et vomir mes principes Libérant de mes tripes Ce que j'ai sur le cœur Au bonheur avorté, à moi et mes complexes A toi, tout feu, tout sexe A tes nombreux amants A ma peau boursouflée, striée de couperose Et à la ménopause Qui te guette au tournant Je bois aux lois bénies de la vie conjugale Qui de peur de scandale Poussent à faire semblant Je bois jusqu'à la lie aux étreintes sommaires Aux putes exemplaires Aux froids accouplements Au meilleur de la vie qui par lambeaux nous quitte A cette cellulite Dont ton corps se rempare Au devoir accompli comme deux automates Aux ennuis de prostate Que j'aurais tôt ou tard Je bois à en crever et peu à peu j'en crève Comme ont crevé mes rêves Quand l'amour m'a trahi Je bois à m'en damner le foie comme une éponge Car le mal qui me ronge Est le mal de l'oubli Je m'enivre surtout pour mieux noyer ma peine Et conjurer la haine Dont nous sommes la proie Et le bois comme un trou qu'est en tout point semblable A celui que le diable Te fait creuser pour moi Je bois mon Dieu, je bois Un peu par habitude Beaucoup de solitude Et pour t'oublier toi Et pour t'emmerder toi Je bois, je bois |
Actuellement, j'ecoute Frankie Goes To Hollywood - Welcome to the Pleasuredome
Un vieux CD retouvé, et remis dans ma bibliothèque I-Tune J'aodre la chanson Welcome to The Pleasuredome - 13 minutes... "Welcome To The Plesuredome" The world is my oyster........ Ha ha ha ha ha........ The animals are winding me up The jungle call The jungle call Who-ha who-ha who-ha who-ha In Xanadu did Kublai Khan A pleasuredome erect Moving on keep moving on-yeah Moving at one million miles an hour Using my power I sent it by the hour I have it so I'm mocking it You really can afford it-yeah Really can afford it Shooting stars never stop Even when they reach the top Shooting stars never stop Even when they reach the top [Repeat] There goes a supernova What a pushover-yeah There goes a supernova What a pushover [Repeat] [1]-We're a long way from home Welcome to the Pleasuredome On our way home Going home where lovers roam Long way from home Welcome to the Pleasuredome Moving on Keep moving on I will give you diamonds by the shower Love your body even when it's old Do it just as only I can do it And never ever doing what I'm told Keep moving on Got to reach the top Don't stop Pay love and life-oh my Keep moving on On again-yeah Shooting stars never stop Shooting stars never stop Shooting stars never stop Even when they reach the top There goes a supernova What a pushover [Repeat] [Repeat 1] Who-ha who-ha Welcome to the Pleasuredome WELCOME........ha ha ha ha ha........ Long way from home WELCOME TO THE PLEASUREDOME !! Bien entendu, il y a toujours les double sens très 'sexuel', typique des chansons de FGTH, mais j'adore surtout le refrain - très à la mode dans ce contexte politique libéral actuel : Shooting stars never stop Even when they reach the top There goes a supernova What a pushover Les Etoiles filantes ne s'arretent jamais Meme quand elles atteignent le sommet Elle deviennent des supernovas C'est d'une facilité Bref, ne jamais se satisfaire de la situation actuelle, et toujours visé plus haut... |
Jcrois parler au nom de moi-même, Guitt et Mthebest pr dire que ze very good chanson en soirée reste l'apologie de Matmatah !! :hippie: :fume2: :fume2:
Mais ma chanson reste Dreaming of you de The Coral The Coral - Dreaming of You What's up with my heart when it skips a beat Can't feel no pavement right under my feet Up in my lonely room When I'm dreaming of you Oh what can I do I still need you, but I don't want you now When I'm down and my hands are tied I cannot reach a pen for me to draw the line From this pain I just can't disguise Its gonna hurt but I'll have to say goodbye Up in my lonely room When I'm dreaming of you Oh what can I do I still need you, but I don't want you now Oh yeah Ohhh Oh Ohhhh Ohh Ohh Ohhhh Ohh Ohhhh Up in my lonely room When I'm dreaming of you Oh what can I do I still need you, but I don't want you now Découverte dans un épisode de Scrubs ;) |
Zut je voulais mettre un lien vers Youtube !:loose:
Allez hop il est jms trop tard : http://www.youtube.com/watch?v=KRy8N1P1EUI |
Très bon The Coral :ok:
Je vous propose cette chanson du groupe d'Anathema. Elles sont toutes tellement magnifiques que le choix est difficile à faire...Etonnant pour un groupe qui a débuté par du doom death / doom métal et qui est maintenant dans le style rock atmosphérque/alternatif... ---------------------------------------------- Anyone, Anywhere No one seems to care anymore I wander through this night all alone No one feels the pain I have inside Looking at this world through my eyes No one really cares where I go Searching to feel warmth forever more The wheels of life they turn without me Now you are gone... eternally No... Don't leave me here The dream carries on Inside I know... Its not too late Lost moments blown away Tonight Mankind, with your heresy Can't you see that this is killing me There's no one in this life To be here with me at my side ------------------------------------------------ Et le lien de de la chanson. Malheureusement les vidéos qui y sont associées (il 'existe apparement pas de clip original..seulement des types qui se sont amusés à y coller des vidéos) sont totalement nulles, j'vous conseille d'écouter sans regarder l'image :yeux:... http://www.youtube.com/watch?v=n_VIeQ7Sbf8 (des bouts d'vidéos du seigneur des anneaux...mais c'est trop nullllllllll :ouin: :enerve: ) |
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Mon ami Léo (et pépé Ferré son singe)
Avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va on oublie le visage et l'on oublie la voix le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie l'autre qu'on devinait au détour d'un regard entre les mots, entre les lignes et sous le fard d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit avec le temps tout s'évanouit avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens avec le temps, va, tout va bien avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va on oublie les passions et l'on oublie les voix qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid avec le temps... avec le temps, va, tout s'en va et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu et l'on se sent glacé dans un lit de hasard et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard et l'on se sent floué par les années perdues- alors vraiment avec le temps on n'aime plus |
Je suis pas un grand fan de Radiohead, mais j'aime bien creep :
When you were here before, Couldn't look you in the eye You're just like an angel, Your skin makes me cry You float like a feather In a beautiful world I wish I was special You're so fuckin' special But I'm a creep, I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here I don't care if it hurts, I wanna have control I want a perfect body I want a perfect soul I want you to notice when I'm not around You're so fuckin' special I wish I was special But I'm a creep I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here, ohhhh, ohhhh She's running out again She's running out She runs runs runs runs... runs... Whatever makes you happy Whatever you want You're so fuckin' special I wish I was special But I'm a creep, I'm a weirdo What the hell am I doin' here? I don't belong here I don't belong here... traduction : Quand tu étais là, avant Je ne pouvais pas te regarder dans les yeux Tu es comme un ange Ta peau me fait pleurer Tu flottes comme une plume Dans un monde merveilleux Je souhaiterais être spécial Tu es si spéciale Mais je ne suis rien, je suis un cinglé Qu'est-ce que je fais ici Je n'appartiens pas à ce monde Peu importe si ça blesse Je veux avoir de l'autorité Je veux un corps parfait Je veux une âme parfaite Je veux que tu remarques Les moments où je ne suis pas là Tu es si spéciale Je souhaiterais être spécial Elle s'enfuit en courant Elle s'enfuit en courant Cours, cours ... Peu importe ce qui te rend heureuse Peu importe ce que tu veux Tu es si spéciale Je souhaiterais être spécial Mais je ne suis rien, je suis un cinglé Qu'est-ce que je fais ici Je n'appartiens pas à ce monde Je n'appartiens pas à ce monde Et également, une chanson brésilienne : (meme si la traduction détruit un peu la mélodie des paroles brésiliennes) Chega de Saudade Vai, minha tristeza E diz a ela que sem ela não pode ser Diz lhe numa prece que ela regresse Porque eu não posso mais sofrer Chega de saudade, a realidade É que sem ela não há paz, não há beleza É só tristeza, e a melancolia Que não sai de mim, não sai de mim, não sai Mas se ela voltar, se ela voltar Que coisa linda, que coisa louca Pois há menos peixinhos a nadar no mar Do que os beijinhos que eu darei na sua boca Dentro dos meus braços os abraços Hão de ser milhões de abraços apertado assim Colado assim, calado assim Abraços e beijinhos e carinhos sem ter fim Que é pra acabar com esse negócio De viver longe de mim Não quero mais esse negócio De você viver assim Vamos deixar desse negócio De você viver sem mim traduction : Va-t-en, ma tristesse, et va lui dire Que sans elle, moi je n'existe plus Dis-lui dans une prière de me revenir Car je n'en peux plus de souffrir Au diable le chagrin! C'est que, sans mon amour, pas de paix, pas de beauté, Il ne me reste que tristesse et mélancolie, Qui ne me lâchent plus, ne me lâchent plus, me lâchent plus. Mais quand elle revient, quand elle revient, Comme ça devient beau! Comme ça devient fou! Y a bien moins de poissons qui nagent dans la mer Que tous les baisers que je poserai sur sa bouche... En t'enlaçant dans mes bras, Il faudra qu'il y ait des millions d'étreintes Fortes comme celle-là, serrées comme ça, tendres comme ça, Des baisers, des caresses et des étreintes tout le temps. Ça doit finir cette histoire-là où tu vis sans moi. Je n'en veux plus de cette histoire où tu vis comme ça. Je n'en veux plus de cette histoire où tu es loin de moi et bien sur presque l'intégralité du repertoire de brassens, avec une préférence pour les moins connues! Un roi d'Espagne, ou bien de France, Avait un cor, un cor au pied; C'etait au pied gauche, je pense; Il boitait aù faire pitie. Les courtisans, espace adroite, S'appliquerent aù limiter, Et qui de gauche, qui de droite, Il apprirent tous aù boiter. On vit bientot le bénéfice Que cette mode rapportait; Et de l'antichambre aù l'office, Tout le monde boitait,boitait. Un jour, un seigneur de province, Oubliant son nouveau métier, Vint aù passer devant le prince, Ferme et droit comme un peuplier. Tout le monde se mit aù rire, Excepté le roi qui, tout bas, Murmura:"Monsieur,qu'est-ce aù dire ? Je crois que vous ne boitez pas." "Sire, quelle erreur est la votre! Je suis crible de cors; voyez: Si je marche plus droit qu'un autre, C'est que je boite des deux pieds." .... Comment ca on avait dut une seule chanson ? :mrgreen: |
Une qui me fait tripper en ce moment c'est celle ci...
Je n'ai jamais pris une claque comme ca depuis Nirvana en 91 ! Je le conseil a tout les amateurs de ROCK engage... From Her Lips To God's Ears (The Energizer) Lyrics Artist:Against Me! Regime change under a Bush doctrine. Democratic installations. Constant war for constant soldiers. What are we gonna do now? De-escalation through military force. Increase the pressure. Oh Condoleezza what should we do about the situation in Iran and North Korea? Condoleezza? Democratic election under martial law. An Iraqi president out of control of our choices. After all this death and destruction do you really think your actions advocate freedom? The President's giving a speech in Georgia to remember the voice of a slain civil rights leader. Do you understand what the Martyr stood for? Oh Condoleezza, do you get the fucking joke? [No!] Condoleezza? Condoleezza? Condoleezza? Condoleezza? What are we gonna do now? Condoleezza? Condoleezza? Condoleezza?What are we gonna do now? Sinon je em suis replonge dans ceci il y a tres peu de temps... Djebel Berurier Noir Ils arrivent, ils arrivent Verts comme des chenilles Ils marchent, ils marchent en leopards La fievre sur les levres Ras dans le Djebel Ce soir tout est calme Djebel Djebel Djebel en feu... (2x) Ils cherchent, ils cherchent partout, nulle part L'alcool dans le regard Peut-etre la-bas, petit lezard Se cachent des fellaghas En djellabah, ombres algeriennes Le tombeau du soleil Mais l'aube est rouge et dans le ciel Comme un immense eclair Ils courent, ils tirent il n'y a plus rien Une tension pleine de guerre Tu crois, tu crois qu'il t'appartient Le territoire des fells Mais sous le ciel de Bab-El-Oued La mort violente te guette Sommeil de Pierre sur le jardin Zen Est-ce que demain sera le tien? Serpents crickets Sueur salee Desert de fer Rebelles d'Alger Gazelle de pierre, rafale tiree Cailloux brulants, chaleur plombee Soleil de sang sur des enfants Entends le chant de la vengeance Une ombre une nuit, assassinat Un autre fuit en djellabah Couilles dans la bouche et mouches a merde Gegene de brousse, torture de guerre Torture de guerre Le met a fond, m'en fout, mes voisins parlent pas francais de toute facon... La prochaine fois ca sera Creve Salope de Metal Urbain !:chicos:</a>:jumpy:</a> </a> |
Personne n'a encore cité l'une des chansons les plus reprises de l'histoire du rock. Dont la version légendaire du trés trés regretté Jimmy Hendrix.
Je veux parler du titre mythique: "Hey Joe". Une chansons que certains diront banales si ils ne se basent que sur les paroles. L'histoire étant celle d'un type (Joe) tuant se femme aprés l'avoir apperçue dans les bras d'un autre type, et fuyant au Mexique pour échapper à la Justice. Tragique, émouvant peut être, mais banal. Si le premier artiste à déposer le texte est Billy Roberts (1962), plusieurs détails (fautes de conjugaison typiquement afro-américaines dans le texte de base par exemple) laissent à penser trés légitimement que la chanson est plus ancienne encore. "Hey Joe" faisant donc partie des ces Hit anonymes qui hanteront longtemps (pour toujours sans doute) l'histoire du rock. Hey Joe, uh, where you goin' with that gun in your hand? Hey Joe, I said where you goin' with that gun in your hand? Alright I'm goin' down to shot my old lady you know, I caught her messin' around with another man, yeah I'm goin' down to shot my old lady you know I caught her messin' around with another man, Huh, and that ain't too cool Uh, Hey Joe I heard you shot your woman down, you shot her down, now H-hey Joe I said I heard you shot your old lady down, you shot her down to the ground,... yeah Yes I did, I shot her You know I caught her messin' round, messin' round town Uh-yes I did, I shot her You know, I caught my old lady messin' around town And I gave her the gun, I SHOT HER! Woo Ah...Hey Joe, alright Shot her one more time again, baby yeah Ah, dig it Ah Ah, ... Ooo, alright Hey Joe, said now uh-where you gonna run to now? Where you gonna run to? Hey Joe, I said Hey JoeOu vas-tu avec ce flingue en main ? Hey JoeOu vas-tu avec ce flingue en main ? Je vais tuer ma copine Tu sais Je l'ai attraper en train de baiser avec un autre mec Je vais tuer ma copine Tu sais Je l'ai attraper en train de se foutre de moi Hey Joe J'ai entendu que t'avais tué ta copine Hey Joe J'ai entendu que t'avais tué ta copine Oui je l'ai fait, je l'ai tuée Tu sais Je l'ai attrapé en train de traîner en ville Oui je l'ai fait, je l'ai tuée Tu sais Je l'ai attrapé en train de traîner en ville J'ai pris mon arme Et je l'ai tuée Je l'ai tuée Hey Joe Où vas-tu maintenant ? Hey Joe Où vas-tu maintenant ? Où est-ce que tu vas aller ? Aucun bourreau, Ne me passera la corde au cou Aucun bourreau, Ne me passera la corde au cou Je vais aller sur la route du sud Je vais descendre sur la route de Mexico Je vais aller sur la route du sud Je vais sur la route ou je peus etre libre |
Citation:
oh la la la.. oui oui, c'est All along the watchtower de dylan hendrix et même U2(dans l'album "rattle and hum") l'ont reprise ! ben quoi, j'ai bien droit à mon quart d'heure de necroposting moi aussi.. du coup je vais essayer de trouver une chanson fétiche, puisque c'est le but de ce topic |
bon prenons le postulat de départ qu'une chanson fétiche, c'est une chanson qu'on écoute un peu plus souvent que les autres, celle à laquelle on revient quand on ne sait pas quoi écouter, une valeur sûre quoi...
sans prétendre à ce qu'elle soit unique, disons qu'en ce moment j'ai tendance à revenir souvent à(restons dans le domaine dylan) Mama, take this badge off of me I can't use it anymore It's gettin' dark, too dark for me to see I feel like I'm knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Mama, put my guns in the ground I can't shoot them anymore That long black cloud is comin' down I feel like I'm knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door Knock, knock, knockin' on heaven's door reprise(entre autres) par Eric Clapton et Guns'n'roses. je pourrais citer d'autres chansons : quand je me permets un peu de mélancolie ou de nostalgie(c'est un sentiment de luxe de nos jours) "with or without you" (j'adore la bass dans ce morceau) ou quand j'ai pas trop le moral, un peu d'AC/DC, ça me regonfle (Back in Black, Hells Bells). ET quand tout va bien : tiii-re li pinpon sur le ch.... ..hhmmm mais je m'égare... |
A tout jamais, ma chanson rock fétiche qui est juste la plus grande chanson de la Terre du Monde de l'Univers de la Galaxie et je pèse mes mots :
London calling to the faraway towns Now war is declared - and battle come down London calling to the underworld Come out of the cupboard,you boys and girls London calling, now don't look to us Phoney Beatlemania has bitten the dust London calling, see we ain't got no swing 'Cept for the ring of that truncheon thing The ice age is coming, the sun's zooming in Meltdown expected, the wheat is growing thin Engines stop running, but I have no fear Cause London is drowning and I, live by the river London calling to the imitation zone Forget it, brother, you can go at it alone London calling to the zombies of death Quit holding out - and draw another breath London calling - and I don't wanna shout But while we were talking I saw you nodding out London calling, see we ain't got no high Except for that one with the yellowy eyes The ice age is coming, the sun's zooming in Engines stop running, the wheat is growing thin A nuclear era, but I have no fear Cause London is drowning and I, I live by the river Now get this London calling, yes, I was there, too An' you know what they said? Well, some of it was true! London calling at the top of the dial And after all this, won't you give me a smile? Et pour ce qui est de la chanson française : Gloire à qui freine à mort, de peur d'ecrabouiller Le hérisson perdu, le crapaud fourvoyé Et gloire à don Juan, d'avoir un jour souri A celle à qui les autres n'attachaient aucun prix Cette fille est trop vilaine, il me la faut Gloire au flic qui barrait le passage aux autos Pour laisser traverser les chats de Léautaud Et gloire à don Juan d'avoir pris rendez-vous Avec la délaissée, que l'amour désavoue Cette fille est trop vilaine, il me la faut Gloire au premier venu qui passe et qui se tait Quand la canaille crie haro sur le baudet Et gloire à don Juan pour ses galants discours A celle à qui les autres faisaient jamais la cour Cette fille est trop vilaine, il me la faut Et gloire à ce curé sauvant son ennemi Lors du massacre de la Saint-Barthélémy Et gloire à don Juan qui couvrit de baisers La fille que les autres refusaient d'embrasser Cette fille est trop vilaine, il me la faut Et gloire à ce soldat qui jeta son fusil Plutôt que d'achever l'otage à sa merci Et gloire à don Juan d'avoir osé trousser Celle dont le jupon restait toujours baissé Cette fille est trop vilaine, il me la faut Gloire à la bonne sœur qui, par temps pas très chaud Dégela dans sa main le pénis du manchot Et gloire à don Juan qui fit reluire un soir Ce cul déshérité ne sachant que s'asseoir Cette fille est trop vilaine, il me la faut Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins Et gloire à don Juan qui rendit femme celle Qui, sans lui, quelle horreur, serait morte pucelle Cette fille est trop vilaine, il me la faut Et bien sûr, "Tata Yoyo" d'Annie Cordy, mais là, c'est trop perso... |
ma chanson fetish : la danse des canards ...
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ce n'est pas ma chanson fétiche mais disons que je l'ai souvent dans la tête
I'm taking a ride With my best friend I hope he never lets me down again He knows where he's taking me Taking me where I want to be I'm taking a ride With my best friend We're flying high We're watching the world pass us by Never want to come down Never want to put my feet back down On the ground I'm taking a ride With my best friend I hope he never lets me down again Promises me I'm as safe as houses As long as I remember who's wearing the trousers I hope he never lets me down again We're flying high We're watching the world pass us by Never want to come down Never want to put my feet back down On the ground Never let me down, never let me down Never let me down, never let me down See the stars they're shining bright Everything's alright tonight essentiellement parce que la musique me file une pêche d'enfer mais que la phrase qui reste en tête c'est "never let me down again" :?: Edit : évidemment c'est Depeche Mode :) |
Une de mes préférées (autant pour le morceau qui prend de l'ampleur tout du long de ses 8mn et quelques, que pour son superbe solo de guitare) : Led Zeppelin, Stairway to Heaven
There's a Lady who's sure all that glitters is gold. And she's buying a stairway to heaven. And when she gets there she knows if the stores are all closed, With a word she can get what she came for. There's a sign on the wall, but she wants to be sure. 'Cause you know sometimes words have two meanings. In a tree, by the brook, there's a songbird who sings. Sometimes all of our thoughts are misgiven. There's a feeling I get when I look to the west And my spirit is crying for leaving. In my thoughts I have seen rings of smoke through the trees, And the voices of those who stand looking. And it's whispered that soon if we all call the tune, Then the piper will lead us to reason. And a new day will dawn for those who stand long. And the forests will echo with laughter. It makes me wonder... If there's a bustle in your hedgerow, don't be alarmed now, It's just a spring clean for the May-Queen. Yes there are two paths you can go by, but in the long run, There's still time to change the road you're on. Your head is humming and it won't go, in case you don't know. The piper's calling you to join him. Dear lady, can you hear the wind blow, and did you know, Your stairway lies on the whispering wind. And as we wind on down the road, Our shadows taller than our soul, There walks a lady we all know, Who shines white light and wants to show How everything still turns to gold. And if you listen very hard, The tune will come to you at last, When all are one and one is all, To be a rock and not to roll. And she's buying a stairway to heaven. Ce qui traduit donnerait plus ou moins ça (comme quoi chaque chanson devrait rester dans sa langue d'origine :yeux: ) : Voilà une dame, certaine que tout ce qui brille est d'or. Et elle s'achète un escalier vers le Paradis. Et lorsqu'elle y est, elle sait que même si les magasins sont tous fermés, D'un simple mot elle peut obtenir ce qu'elle est venue trouver. Il y a un signe sur le mur, mais elle voudrait être sûre. Car vous savez, les mots ont parfois un double sens. Dans un arbre, près du ruisseau, il y a un oiseau qui chante. Parfois toutes nos pensées sont remplies de doute. Je ressens quelque-chose lorsque je regarde vers l'ouest Et mon esprit pleure de s'échapper. Dans mes pensées j'ai vu des ronds de fumée à travers les arbres, Et les voix de ceux qui se contentent de regarder. Et on murmure que bientôt, si nous entonons tous le même air, Alors le cornemuseur nous guidera vers la raison. Et un nouveau jour se lèvera pour ceux qui seront là. Et des éclats de rire résonneront dans les forêts. Celà me pousse à m'interroger... S'il y a du chahut dans ta haie ne sois pas inquiète, Ce n'est que le ménage de printemps pour la Reine de Mai Oui il y a deux chemins que l'on peut emprunter, mais au final, Il est encore temps, pour toi, de changer de route. Ta tête vrombit et ça ne s'arrêtera pas, au cas ou tu ne le saches pas, Le cornemuseur t'appelle à le rejoindre. Chère dame, peux-tu entendre le vent souffler, et savais-tu Que ton escalier s'appuie sur le vent mumrurant. Et, alors que nous serpentons sur la route, Nos ombres plus grandes que notre âme, Voici, marchant,une dame que nous connaissons tous, Qui brille d'une lumière blanche et qui veut montrer Comment tout se transforme encore en or. Et si tu écoutes très attentivement, L'air finira par t'atteindre, Quand tous ne feront qu'un et qu'un sera tous, Pour être un roc et ne pas rouler. Et elle s'achète un escalier pour aller au Paradis. |
mano solo - Paris boulevards
Et Paris étale ses boulevards Devant mes yeux qui broient toujours la même histoire D'attendre qu'il se mette à pleuvoir Pour lever la tête et pour pouvoir pleurer Paris étale ses boulevards Pour tous ses fils bâtards, qui sont nés quelque part Entre le désir, la mort et l'ennui Paris étale ses boulevards Et ses tours de Babel en carton qui renferment Leurs milliers de solitudes glacées. Paris je t'aime, mais souvent je te hais Nous vivons dans ton squelette Et tu meurs un peu plus chaque jour dans nos têtes Paris mon père, Paris ma mère Paris mon frère, Paris tous mes enfants Je suis le fils de notre tristesse De cette grande famille en famine assoiffée de tendresse Emmurée dans sa migraine au point d'en oublier Son cœur et ses deux mains Paris, je te fuis, Paris je reviens Mais des fois je me dis que c'est toi Qu'es vraiment loin, loin de toi-même comme on l'est tous A plus vouloir savoir le goût que t'as dans la bouche Paris tu marches avec moi Paris étale ses boulevards Comme des coulées d'espoir coagulé Paris le monde entier t'appartient Pourtant tu le tiens au creux de ma main, hey Paris. |
Trois accords SASKATCHEWAN
Un beau matin Je suis parti au loin Aller mener mon troupeau En Ontario J'ai laissé ma femme En Saskatchewan Je lui ai dit bientôt Tu vas voir un chapeau Ça va être le mien J'vais êt' au bout du chemin Et tu vas dire v'là mon mari Qui arrive d'la prairie Mais à mon retour Mon bel amour M'avait sacré là Pour un gars d'Régina J'ai pris mon chapeau Puis mon lasso Et je noye ma peine Dans les bars de la plaine Saskatchewan Tu m'as pris ma femme Elle m'a crissé là Pour un gars d'Régina Saskatchewan Tu m'as pris ma femme Depuis qu'elle est partie Moi j'suis un gars fini Saskatchewan Tu m'as pris ma femme Mon cheval me parle plus Mes vaches me disent « tu » Saskatchewan Tu m'as pris ma femme Je vais prendre mon lasso Et j'vas t'crisser dans l'eau Saskatchewan Tu m'as pris ma femme http://fr.youtube.com/watch?v=Do-Zo3_VKQs ps: si vous avez le bonheur de l'écouter dans un bar à chansonnier à Quebec ou Montréal, vous comprendrez pourquoi elle est si belle..... |
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