Bah si partout mfi.
On était intégré au BEF !

A Gembloux, c'est nous autres.
A Hannut, je ne sais pas. Le site de Gilou est pas très clair en plus...

Bah vous étiez partout !
De toute façon soit on était quelque part avec les anglais, soit avec vous alors....:lol:

Oui, j'avoue que je ne m'y connais pas particulièrement en Histoire de l'Armée Belge ... :chicos: ... pourtant je suis sur qu'il y a matière à apprendre ...

... je sais en tout cas que durant la Première Guerre, les soldats allemands n'étaient pas particulièrement ravis de se retrouver face aux Belges !



Et il est reconnu que l'histoire des pilotes belges ayant pris part aux combats aériens de la Seconde Guerre mondiale au côté des Alliés en Europe, mais aussi aux Indes et en Afrique est l'une des plus glorieuses de l'aviation alliée (et je ne fais pas de lèche-botte, tous les articles que j'ai lu sur Internet vont dans ce sens). Quelques noms y reviennent, comme celui de Rodolphe de Hemricourt de Grunne abattu par un Messerschmitt le 21 mai 1941.

Le 10 mai 1940, le IIIe Reich attaque vers l’Ouest et détruit rapidement le potentiel aérien belge, prudemment desserré en campagne, mais qui plie sous le nombre, en dix-huit jours de résistance héroïque. Le seul espoir de continuer la lutte se trouve désormais en Angleterre ; les premiers pilotes belges y arrivent le 1er juin 1940. Des escadrilles repliées dans le sud-ouest de la France attendent de nouveaux appareils français et britanniques pour reprendre le combat. Les Britanniques acceptent de fournir des Hurricane, à condition que les escadrilles s’installent en Angleterre, ce que refuse le ministre belge de la Défense (on reconnait là les limites de la coopération inter-alliée qui à coutée si chère en 1940). L’Armistice de juin 1940 mettant fin à toute velléité de combattre à partir de la France, certains aviateurs déposent les armes, d’autres s’embarquent pour Londres par tous les moyens, désobéissant aux ordres de rester en France. Ils intègrent les unités aériennes de la RAF, initialement dans les unités de chasse et d’aviation maritime, puis dans toutes les autres.

Mi-juillet 1940 : c’est la Bataille d’Angleterre (du 10 juillet au 31 octobre). Les 29 pilotes belges engagés abattent 21 avions ennemis, et gagnent leurs premières Distinguished Flying Cross au prix du sacrifice de six d’entre eux.

Les réseaux d’évasion permettent de gonfler rapidement les effectifs (4925 belges vont rejoindre la Grande-Bretagne au cours des cinq années de guerre). Une école franco-belge à Odiham accueille et forme, dès novembre 1940, les nouveaux arrivants ayant peu d’expérience aéronautique. Progressivement, les aviateurs belges disséminés sont regroupés dans des unités de chasse comme le 609 Squadron (plusieurs fois commandé par des officiers belges) ou dans des escadrilles purement belges, comme le 350 Belgian Squadron, équipé de Spitfire puis de Typhoon, et plus tard le 349 Squadron.

Les aviateurs belges seront présents dans plus de cent unités aériennes britanniques, prenant part à tous les combats. Ils participeront aux premières missions défensives puis offensives jusqu’aux missions de reconnaissance à très haute altitude sur Spitfire, préparant les frappes du Bomber Command. Certains y seront associés sur Halifax et Lancaster, de jour et de nuit, bombardant Hambourg et ailleurs, la peur au ventre.

Les nombreux récits de combats aériens rappellent les principales heures de gloire de ces valeureux aviateurs, des hommes exceptionnels, prêts à tous les sacrifices. Sans oublier le rôle des jeunes femmes belges volontaires, versés dans les services auxiliaires, l’auteur aborde également de nombreux autres aspects de cette guerre totale (conduite des opérations, finances, organisation, grades, commandement...) qui cessera lorsque l’Aéronautique Militaire belge restructurée reprendra son envol sur son sol, à Beauvechain et ailleurs, couverte d’honneur.


Valà, on est souvent prompte à se foutre de la gueule des "petites" armées, mais elle compensent bien souvent leur faiblesse numérique et matériel par la valeur de leurs hommes (enfin bon, ça compense pas toujours quand-même ... :chicos: )

Amis Belges, je vous salue bien bas ... :hello: (ce qui m'est d'autant plus facile que je ne mesure qu'1m62 .... :lol: ).

Beaucoup de corps d'élite recrute des gens de petite taille (utile dans un sous-marin, je suppose ?)...

:hypno: Je suis choqué, moi qui m'imaginais Royal en gros dur avec le tatouage sur le bras et le marcel rayé bleu clair et blanc (vous savez les trucs ridicules que ne portent que ceux que personne n'ose critiquer), avec un foulard rouge malmené par des années d'eau salée et de bière vomie dans le roulis causé par les ondes de choc de mines sous-marines, je suis désillusionné ! Rendez-nous le Royalquiche de nos rêves :ouin:

Je l'ai toujours imaginé comme ça moi:

http://images.buycostumes.com/mgen/m...iser/17418.jpg

Oui oui, c'est le marin des Village People. :mrgreen:

:lol: :lol: ... " in the Navy ... "



.. mais vous êtes fous ... un sous-marinier d'1m90, ça finit à 35 ans dans un fauteil roulant ... :chicos: ... par contre pour le tatouage, c'est vrai ... ;)

Et puis, c'est pas les plus petits les moins hargneux - ex. en vrac : les chiens, Gimli, Pépin le Bref, Bonaparte, S...
Nooooon, je n'ai rien dit... Pas bannir, pas bannir... :ouin: